L’Iran annonce l’arrestation de deux espions français en Iran, travaillant pour Israël

L’Iran a publié une soi-disant «confession» d’un couple français qui confirme qu’ils sont entrés dans le pays pour encourager une protestation contre le régime. La France a réagi durement : « Les aveux ne sont pas fondés sur la réalité, ainsi que les raisons fournies par l’Iran pour l’arrestation des deux innocents ». La protestation en Iran continue et comprend également les écoles dont les élèves se rebellent contre les directeurs fidèles au régime.

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La République islamique d’Iran a publié hier (jeudi) une déclaration officielle dans laquelle elle affirme avoir réussi à arrêter deux espions français, qui, selon eux, opéraient pour le compte des États-Unis et d’Israël, afin de financer et d’encourager une tentative de coup d’État contre la régime divers, pour encourager la grande contestation, avec l’ambition qu’elle conduise au renversement du régime et à l’effondrement de l’Iran.
En réponse, la France a précisé que les aveux ne reflétaient pas la réalité et a laissé entendre que les deux personnes avaient été physiquement torturés ou trompés d’une manière qui leur avait fait avouer des actes qu’ils n’avaient pas commis. En France, ils ont déclaré que toutes les versions fournies par l’Iran quant à la raison pour laquelle les deux ont été arrêtés ne contiennent pas la moindre once de vérité. La France exige fermement que l’Iran libère les deux Français immédiatement.
Dans le même temps, la contestation continue en Iran malgré les efforts répressifs du régime. Ces derniers jours, la protestation s’est propagée des universités aux écoles, et dans de nombreux documents, vous pouvez voir des filles étudier dans les écoles de l’éducation publique en Iran, alors qu’elles marchent sur les photos de Khamenei, le chef suprême et le religieux suprême figure en Iran, ainsi que d’expulser du personnel de direction de l’école associé au régime, ainsi que des Basig qui ont été amenés pour leur faire la leçon et leur expliquer pourquoi il est du devoir national de réprimer la manifestation.
Mais alors que l’essentiel de l’attention est porté tôt à Téhéran et dans les grandes villes comme Chiraz, Ispahan et Qom, dans la ville de Zahabden, une répression agressive de la manifestation a été menée. Selon les rapports, des dizaines de manifestants et peut-être des centaines ont été tués dans la ville, lors de certaines actions de répression très agressives du régime.
Des pirates informatiques en Iran ont pris le contrôle de la diffusion de la télévision centrale ce soir, ont ciblé l’image en feu du dirigeant Khamenei et publié des photos de Mahsa Amini et d’autres personnes tuées dans les émeutes.
Ce samedi soir, la France a appelé ses citoyens à quitter l’Iran au plus vite, prétextant qu’ils s’exposent au risque d’arrestations arbitraires. « Tout visiteur français, y compris avec une double-nationalité, est exposé à un risque élevé d’arrestation, de détention arbitraire et de procès inéquitable », a déclaré le ministère français des Affaires étrangères. La France a attaqué l’Iran cette semaine, alléguant l’utilisation de « méthodes dictatoriales » et la prise en otage de deux de ses citoyens, après la publication d’une vidéo dans laquelle les deux sont vus « avouant » l’espionnage au milieu de semaines de troubles que Téhéran a liés à des ennemis étrangers. Par ailleurs, le ministère français des Affaires étrangères a appelé hier l’Iran à libérer ses deux citoyens.
infos-israel.news

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