1. Les Jordaniens are réclament la tête de Jibril Rajoub et dénoncent ce chef terroriste reconverti dans le Football pour avoir voter en faveur du corrompuSepp Blatter plutôt que pour le Prince Ali Bin al-Hussein au poste de Président de la FIFA. Nombreux sont les Jordaniens qui exigent que Rajoub soit considéré persona non-grata dans le pays et que sa nationalité jordanienne lui soit retirée. Rajoub prétend qu’il aurait voté pour le Prince Ali. C’est la raison en arrière-fond de la visite de damage-control de Mahmoud Abbas à Amman mardi.
Blatter a dû démissionner, quatre jours après sa réélection. La FIFA se choisira un nouveau président à un moment donné, au cours des 6-9 prochains mois. On s’attend à ce que Prince Ali sev lance dans la bataille.
Les tensions s’accroissent, entre la Jordanie et l’Autorité Palestinienne, à propos de l’élection pour la Présidence de la Fédération Internationale de Football (FIFA).
Les Jordaniens prétendent que Jibril Rajoub, président de la fédération palestinienne, n’a pas voté pour leur candidat, le Prince Ali, au cours du 65 ème Congrès de la FIFA, la semaine dernière à Zurich – une affirmation que Rajoub, détenteur de la nationalité jordanienne, a fortement démentie.
Les Jordaniens insistent sur le fait que Rajoub aurait voté pour Sepp Blatter, l’actuel Président démissionnaire de la FIFA.
Les organes de la presse jordanienne de ce mardi ont cité une source officielle à Amman, disant que Rajoub est déclaré persona non grata et banni de toute tentative d’entrée dans le Royaume.
De nombreux Jordaniens ont aussi appelé leur Gouvernement à révoquer la citoyenneté jordanienne de Rajoub et de lui interdire de façon permamente (à vie) toute entrée dans le royaume. =
Malgré cette décision, Rajoub a eu l’autorisation de rentrer en Judée-Samarie /Cisjordanie, lundi, en arrivant de Tunisie à l’aéroport international Reine Alia, selon le Jordan Times.
Il décrit que, dès que Rajoub est arrivé à l’aéroport, les autorités lui ont ordonné de remonter à bord du même avion, mais des médiateurs ont convaincu les Jordaniens de lui permettre de traverser la frontière terrestre pour rentrer en Cisjordanie.
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