Un chauffeur de bus écoute des sourates du Coran et en fait profiter ses passagers, malgré leurs protestations, tout le long de l’itinéraire.
Allah Akbar: nous sommes transportés !
Si vous ne raffolez pas du Coran, ne prenez pas le bus entre Aix-en-Provence et Marseille… Faites du stop ou utilisez votre voiture.
Le trajet entre Aix et Marseille dure 40 minutes. 40 minutes pendant lesquelles des chauffeurs normaux et bienveillants font passer de la musique. Mais cette fois-ci, ce n’était pas de la musique !
Dimanche 20 novembre, le chauffeur du bus avait branché son portable sur les hauts parleurs de son véhicule. Durant 40 minutes, il a infligé aux passagers des sourates du Coran. Comme mélodie, on connaît mieux.
Des passagers ont protesté : « Arrêtez, atteinte à la laïcité ! » Mais le très pieux chauffeur musulman les envoyait paître : « C’est mon bus, je fais ce que je veux ». Et il a ajouté : « Si vous n’êtes pas contents, vous n’avez qu’à descendre ».
Les passagers se sont tus de crainte que le chauffeur en colère ne fasse un accident. Quoique mourir au son des sourates du Coran soit quand même une belle mort. La régie qui exploite la ligne Aix-Marseille s’est contentée d’un communiqué embarrassé. Elle précise que le chauffeur était « un jeune contractuel ». Il a été gentiment convoqué pour un entretien. On aurait mieux fait de le virer sur le champ.
Causeur
Mais il faut lui mettre une tranche de jambon sur le siège !
Ça ressemblait à de la musique, mais ce n’était pas de la musique! Ça chantait pas « Allons au bar » mais « Allah Akbar »!
Mais en Afrique du Nord il ne se permettrait pas.
La france est livrée aux mains de ces prosélytes qui en profitent.
Mélenchon doit trouver ça normal, et la droite modérée baisse la tete de peur de…
Ces gens là ne connaissent que la force et nous ne montrons que la faiblesse et ils en profitent.
Dans ce cas précis, si on le renvoyait il hurlerait à l’islamophobie…
Ceci doit être DENONCé À LA DIRECTION. INCONCEVABLE. QUEL CULOT !!! EST ON ENCORE EN FRANCE OU EN AFRIQUE DU NORD. C’EST CET HOMME QUI DOIT DéGAGER, ET NON LES PASSAGERS..