Après une mise en doute, sur un seul cas mentionné, du contenu du Furosémide, commercialisé par l’Agence de produits pharmaceutiques TEVA, il s’est avéré que les milliers de boîtes ouvertes et re-testées par les laboratoires étaient parfaitement conformes et ne contenaient aucun adjuvent du somnifère. L’affaire pharmaceutique, à ce stade, s’arrête-là.

C’est sans compter sur la politisation de ce problème de traitement médicamenteux, par l’agence d’intoxication « France-Palestine-Solidarité-Bondy », succursale de BDS, tenue par le bon Jaques Jakubowicz. Celui-ci a jugé opportun de se jeter, avant toute expertise laborantine, sur la rumeur qui commençait de courir, pour dénoncer cette entreprise d’après sa nationalité : israélienne.

N’étant pas à une diffamation près contre cette société de génériques, dont il envie le positionnement sur le marché, en tant que « leader mondial », il mentionne le fait qu’elle a « défrayé la chronique avec les erreurs survenues dans le conditionnement » du produit. A ce jour, rien ne l’atteste.

Puis, enfilant la blouse, à la fois de« l’éthicien », du juriste en « droit international », il tente d’amener son propos fallacieux sur le terrain politique.

D’abord, mentionne t-il, Israël se livrerait à la colonisation « d’un autre pays, la Palestine » et serait « condamné par « la quasi-totalité des pays au monde ».

Jusqu’à preuve du contraire, et malgré la reconnaissance du statut « d’Etat » non membre, mais observateur, dans les instances de l’ONU, la Palestine n’est pas un « pays », mais l’entité en projet, formée par deux territoires distincts que rien n’unit politiquement. D’autre part, ces territoires sont dits « disputés » par les termes de la version officielle en anglais –et seule valide- de la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’ONU. Israël, à l’issue d’un accord avec l’ensemble des parties belligérantes, en 1967, devrait se retirer « de » et non « des » territoires. Reste alors, à passer accord. Et cela ne doit se faire que par la négociation et en l’absence d’état de belligérance. Il n’y a donc pas d’occupation stricto-sensu, mais conflit à ce jour non-réglé.

« Les Palestiniens sont enfermés dans leur propre territoire, entouré par un mur » : faut-il rappeler à M. Jakubowicz que cette barrière de sécurité ne remonte pas à l’époque du conflit en question (1967), mais à celle de la propagation d‘actes terroristes, relevant de crimes contre l’humanité, perpétrés par les groupes terroristes palestiniens, lors de la Seconde Intifada ?

D’autre part, à condition de n’être doté d’aucune intention terroriste ni arme pour ce faire, tout Palestinien peut se rendre en Israël, après avoir franchi un check-point et montré ses intentions non-belliqueuses.

C’est à ce point que les affirmations de ce représentant associatif deviennent particulièrement péremptoires à l’encontre de l’Etat d’Israël.

Il prétend, mensongèrement, que les Palestiniens n’ont pas « accès au soin » : toutes les organisations médicales israéliennes, y compris en temps de conflit, se sont toujours préoccupées de soigner quiconque, indépendamment de son appartenance et les médecins de Tsahal mettent un point d’honneur à recueillir les blessés des deux camps. A preuve, le travail effectué, en ce moment-même, à l’égard des victimes du conflit syrien.

D’autre part, les Palestiniens n’auraient « pas accès au soin », visiblement, lorsqu’ils se tournent vers leur propre médecine, si on en juge par les files qui s’allongent en direction des hôpitaux israéliens. Un simple recensement du nombre de personnes palestiniennes ou arabes israéliennes traitées par les hôpitaux israéliens suffirait à démentir ces allégations.

Vient ensuite un passage accusant l’UPJF de « publicité » pour Teva, pratique qui serait interdite pour des médicaments remboursés par la Sécurité Sociale.

Par contre, lui-même s’adonne, sans sourciller, à une campagne de contre-publicité mensongère contre la cible commerciale qu’il désigne. N’est-ce pas, là, une forme de « publicité » par la négative, à travers son appel au boycott, au nom de la race, la religion ou la nationalité, voire les idées politiques supposées des propriétaires de l’entreprise ?

En remettant les choses dans leur contexte, ce n’est que parce que « Boycott Désinvestissement Sanction » s’adonne à ce type de pratiques illégales, en droit français, que l’UPJF propose à ses lecteurs et adhérents de faire l’inverse : un contre-boycott, pour motifs politiques et non commerciaux.

Puis, M. Jakubowicz vient arracher la petite larme du crocodile à ses destinataires, en mentionnant le sort de Nelson Mandela, sur son lit d’hôpital, actuellement. Et de prétendre que c’est grâce au boycott que l’Apartheid est tombé. Peut-être. Cela dit, selon tous les textes du Parlement Européen, les mots ont un sens : l’Apartheid correspond à un système de hiérarchisation et de violence à l’encontre des individus selon leur race, qui a eu cours dans ce pays : l’Afrique du Sud. Il n’a rien à voir avec des mesures de sécurité arrêtées pour protéger ses citoyens, en fonction des formes vicieuses prises par le conflit, dans les années 2000-2006, entre Israël et les Palestiniens. Tout comme le mot « Shoah », il ne doit, en aucun cas, être dévoyé, galvaudé, détourné, si l’on veut affirmer une marque de respect envers Nelson Mandela, son histoire et les réels motifs de son action. Sans quoi, c’est le trahir, au moment où on prétend se souvenir…

En réalité, M. Jakubowicz trompe les pharmaciens, sur le plan de la pharmaceutique, de l’éthique, du droit international et de l’histoire, remise dans son contexte.

Marc BRZUSTOWSKI © JFORUM.fr

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TRACT DE FRANCE PALESTINE SOLIDARITE BONDY

JFORUM A MASQUE L’ADRESSE DE LA PHARMACIE PAR MESURE DE SECURITE

Centre Simon Wiesenthal-Europe.

COMMUNIQUE DE PRESSE – POUR DIFFUSION IMMEDIATE

Le Centre Wiesenthal à la Fédération internationale pharmaceutique : « Condamnez fermement la campagne de boycott menée par l’Association France Palestine Solidarité à l’encontre de la société pharmaceutique israélienne Teva. »

« Faites en sorte que la santé et la médecine demeurent en-dehors des questions politiques. »

Paris, le 4 juillet 2013

Dans une lettre adressée au Dr Luc Besançon, secrétaire général et responsable des affaires professionnelles et scientifiques de la Fédération internationale pharmaceutique (FIP), le directeur des Relations internationales du Centre Simon-Wiesenthal, Shimon Samuels, a dénoncé « une campagne de boycott menée par l’Association France Palestine Solidarité (AFPS) à l’encontre de la société pharmaceutique israélienne Teva, spécialisée dans les médicaments génériques ».

M. Samuels y faisait remarquer que « Teva avait déjà été la cible d’un boycott lors d’une session du Comité des Nations unies pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture). J’ai personnellement assisté à cette réunion, qui s’est tenue les 27 et 28 février dernier à Rome. »

La lettre expliquait qu’« un porte-parole de l’AFPS, Jacques Jakubowicz, aurait envoyé une lettre aux pharmacies des environs de Paris, exigeant qu’elles cessent toute vente de produits Teva au motif que le médicament Furosémide, produit par cette société, contiendrait un somnifère. Les tests effectués sur ces produits ont depuis disculpé Teva des charges retenues contre elle et la société a été mise hors de cause par la justice française.

M. Samuels ajoutait que « l’ordre donné par l’AFPS, signé de la main de J. Jakubowicz, explique ensuite que cette campagne est menée au seul motif de l’identité israélienne de cette société ».

Le Centre insistait en outre sur le fait que, « en tant que fédération internationale regroupant 127 organisations nationales de pharmaciens et de scientifiques du médicament, au service de plus de trois millions de praticiens dans le monde, entretenant des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé et l’Unesco, votre mission a pour objectif officiel d’“améliorer la santé mondiale en faisant progresser la pratique et les sciences pharmaceutiques afin d’améliorer dans le monde entier la découverte,le développement, l’accessibilité et l’usage rationnel des médicaments appropriés, de qualité et présentant un rapport coût-efficacité favorable”. »

La lettre se poursuivait en ces termes : « Votre “Déclaration de Vancouver en 1997″>Article original sur les produits sélectionnés par les pharmaciens et leurs substituts génériques” a pour seule base la qualité du produit. »

M. Samuels mettait l’accent sur ce point : « Notre Centre ne fait pas la promotion de Teva au détriment de tout autre fabricant de produits génériques ; par contre, nous nous opposons fermement à toute politisation de la pratique médicale. Il se peut que l’Association France Palestine Solidarité n’ait pas encore franchi un pas décisif en donnant l’ordre aux Palestiniens et aux autres Arabes de boycotter les hôpitaux israéliens, de peur qu’ils y soient rejetés. Ces patients – sans compter les Syriens blessés dans l’actuelle guerre civile qui ravage ce pays – affluent dans les établissements médicaux israéliens pour s’y faire soigner. »

Le Centre appelait donc la Fédération internationale pharmaceutique à « condamner formellement la campagne de boycott menée par l’AFPS et, ce faisant, s’assure que la santé demeure en-dehors de tout conflit politique, où que ce soit dans le monde ».

M. Samuels concluait sa lettre en ces termes : « Le boycott de Teva évoque singulièrement la campagne nazie des années 1930 : “Kaufen Nicht bei Juden” (“N’achetez pas chez les Juifs”). Ce qui avait commencé par un boycott s’était achevé par un génocide et la mort de plus de soixante millions de personnes, en Europe et au-delà. Il faut aussi signaler que le boycott actuel des produits israéliens est sans doute en violation des lois anti-discriminatoires de l’Union européenne. »

Cette lettre est également adressée au Dr Isabelle Adenot, présidente du Conseil national de l’ordre des pharmaciens de France.

L’affaire du Furosémide Teva fait flop

L’affaire du Furosémide Téva semblait définitivement close vendredi, après le classement sans suite par le parquet de Paris de l’enquête préliminaire sur ces boîtes de diurétique un temps soupçonnées de contenir des somnifères. ( Fred Dufour )

L’affaire du Furosémide Téva semblait définitivement close vendredi, après le classement sans suite par le parquet de Paris de l’enquête préliminaire sur ces boîtes de diurétique un temps soupçonnées de contenir des somnifères.

Le parquet a classé cette enquête en « l’absence d’infraction », a-t-on appris de source judiciaire.

Aucune trace de somnifère Zopiclone n’a été trouvée à la place du diurétique mis en cause début juin dans une pharmacie à Saint-Malo, et les enquêtes initiées par les parquets régionaux n’en ont pas détecté ailleurs en France, a-t-il été précisé.

« Teva se félicite des conclusions de l’enquête préliminaire le mettant hors de cause », souligne le laboratoire dans un communiqué, tout en jugeant que « l’origine non médicale de cette affaire ne remet pas en question le bien-fondé de la décision » de rappeler les boîtes du médicament par précaution.

Le groupe ajoute que son usine de conditionnement de Sens (Yonne) « n’est en rien impliquée dans la soi-disant substitution ».

L’alerte sanitaire avait pris de l’ampleur après l’annonce du décès de plusieurs personnes âgées sous Furosémide, alors que la substitution de ce produit (indiqué pour l’hypertension et les ?dèmes) par un somnifère peut présenter des risques sérieux pour la santé.

Fin de l’alerte

Mais le patron de l’agence du médicament ANSM avait décrété le 20 juin dernier la « fin de l’alerte » après le retrait de toutes les boîtes de ce médicament, aucun somnifère n’ayant été retrouvé dans plus de 200.000 comprimés examinés, ni dans les échantillons conservés à l’usine de Sens.
« Maintenant, nous savons que ceux qui ont pris du Furosémide Teva n’étaient pas en danger, qu’on a eu un phénomène isolé », avait-il expliqué en réponse aux interrogations sur le bien-fondé de cet emballement, basé sur un seul signalement par un pharmacien à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).

Depuis le cas malouin, aucune autre présence anormale de somnifère dans une boîte de diurétique Teva n’a été signalée.

Quelque 800.000 patients sont traités par Furosémide en France, dont environ 57.000 avec celui de marque Teva.

Plusieurs enquêtes préliminaires avaient également été ouvertes en province après l’annonce du décès de plusieurs personnes âgées sous Furosémide. Le parquet de Paris avait ensuite ouvert une enquête pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires ».

Mais les analyses toxicologiques effectuées après le premier décès suspect le 8 juin à Marseille, d’un nonagénaire qui prenait du diurétique Furosémide Teva, s’étaient révélées négatives, ainsi que celles concernant un patient de 78 ans décédé dans le Var.

Face aux doutes suscités par son témoignage, le pharmacien malouin s’est exprimé dans les médias pour défendre son témoignage.

Le Pr Maraninchi avait volé à son secours : « Il ne faut pas stigmatiser, il faut au contraire protéger les donneurs d’alerte, des personnes importantes, consciencieuses et qui permettent éventuellement de repérer un phénomène sanitaire ».

L’agence sanitaire comme le patron de Teva France ont jugé le signalement par un pharmacien d’un défaut de conditionnement suffisamment sérieux pour déclencher le retrait de deux lots du diurétique (le lot Y176 concerné par l’anomalie découverte et un autre Y175 fabriqué le même jour) avant finalement de les retirer tous par précaution, notamment vu la difficulté pour nombre de patients âgés de lire les numéros de lots.

Teva n’avait pas encore reçu vendredi d’autorisation de remise sur le marché de son Furosémide.

AFP

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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dafiduck

Il faut se rappeler que la communisme est une doctrine au même titre que la christianisme. Il s’agit donc d’un ex-juif qui force le trait afin de démontrer au PCF dont il est l’obligé, qu’il a véritablement laissé derrière lui ses oripeaux de Juifs et qu’il a bien épousé les thèses mensongères de l’islamo-marxisme.

Ces gens veulent nous faire croire qu’ils sont athées mais en fait ils ont juste changé de religion et adopté tous les traits qui s’y rapportent.

oxomars

S’il savait, ce trou du c.. le mépris que lui portent ces « protégés », mais bon, le chien est capable de tout pour être crédible auprès de ses nouveaux maîtres.

franco 47

Souviens-toi d’Amalek! cela s’applique d’abord à nous-même (Amalek, aprés tout, était aussi un descendant d’Avraham et d’Isaac) ; les pires antisémites se recrutent souvent chez nous, acteurs de leur selbsthass(haine de soi-même)

kravi

Pour nous médecins, c’est assez simple, Teva fabrique des génériques de presque tous les médicaments usuels. Il nous suffit de marquer sur les ordonnances :
médicament xxx Teva.
Les patients peuvent demander à leur médecin de préciser le nom du labo Teva sur l’ordonnance. Tous les génériques ayant la même action, il ne pourra pas refuser. Et s’il refuse, changez de médecin…

michel boissonneault

merci et bravo pour votre commentaire

schlemihl

M Jakubowicz n’ est pas pro palestinien , il est ennemi d’ Israël , ennemi des juifs et , à ce qu’il semble , ennemi de lui même .

C’ est curieux mais celà s’ est toujours vu : à chaque génération des juifs servent volontairement , sans contrainte , les ennemis du moment ; Qui se souvient de Weininger ou d’ Abraham Gancwajch ?

ABEL

Jacques JAKUBOWICZ, fidèle probabement à son maître à penser, GOEBBELS, chef de la propagande nazie, utilise comme lui, le mensonge, une arme redoutable avec tous les moyens d’information et de communication ! GOEBBELS a dit : Mentez, mentez tant que vous voudrez, il en restera toujours quelque chose ! » ; ce Jacques JAKUBOWICZ devrait être le premier sur une liste à détruire physiquement par tout moyen, car il livre une guerre impitoyable et odieuse, mensongère contre ISRAEL, et il serait grand temps qu’on le liquide comme un vulgaire rat d’égout ! Pour l’exemple ! Il serait grand temps aussi que l’on s’occupe des ennemis de l’intérieur, comme cela est écrit dans nos textes sacrés !
En ce qui concerne les soins dispensés par ISRAEL, il suffit simplement de se rendre dans n’importe quel hôpital pour constater, de visu, que la grosse majorité des patients, voire même du personnel hospitalier, sont arabes (israéliens ou palestiniens, du reste) ! C’est pour cela que j’insiste, que je dis que ces personnages comme le Jacques J sont de vils criminels, des salopards de la pire espèce, et qu’il serait grand temps de les liquider, de les éradiquer de la surface de la terre qu’ils polluent par leurs présences !

Charlesdalger1

N’en déplaise aux collabos crifards, dans la famille, nous sommes pharmaciens.
D’une part, nous porterions plainte pour antisémitisme contre un clien qui oserait refuser un générique TEVA.
D’autre part, les vermines antijuives, ça se détruit très bien à la hache, au marteau, ou plus simple, ça s’écrase très bien avec la première bagnole venue…

Armand Maruani

Ce genre de renégats et de traîtres me font gerber. Il ferait mieux de fermer sa gueule . Qu’il change son nom il nous fait honte .

Rebfil

que fait BDS avec les dizaines de milliers palos soignés chaque années dans les hopitaux israélien ! mais chutttttttttttttttttttttttttttttttttttt ! de ce sujet , il ne faut pas en parler ca risquerait de donner une image positive d’ israel ….

Youssef

{{Incroyable d’apprendre que Jacques JAKUBOWICZ est juif}}

Alors que bon nombre de JAKUBOWICZ furent gazés dans les camps d’extermination, un des derniers petit survivant ne trouve pas mieux que de salir leur mémoire en travestissant la vérité sur la Palestine terre d’Israël.

http://www.afmeg.info/squelettes/dicofemmesjuives/pages/notice/jakubowicz.htm

Le comble c’est que Jacques JAKUBOWICZ trouvera toujours refuge en Israël, qui l’accueillera à bras ouverts comme tous les juifs du monde entier, s’il venait à être persécuté comme tant d’autres avant lui.

Le blog de la honte et de l’ignominie http://jakubowicz.over-blog.org/

Titou

Qui disait que l’ennemi est parmi les nôtres ?

Raphy

Je suis époustouflé de voir comment un juif « renégat »peu agir de la sorte ,je crois qu’il sont plus dangereux que tout nos ennemis .Mais pourquoi ont les laissent avoir accès à des moyens d’expression ,alors que des personnes plus impartiales n’ont pas cette possibilité . N’existe t’ il pas dans notre société un moyen d’empêcher ce genre d’individu de nuire par le fiel de haine . Merci de faire le nécessaire. Raphynet.

S.LEVY

Encore je ne me conforme pas comment on puisse se laisser influencer ou même défendre ces tordus de Nazislamites!.

Mon point de vue: C’est simple on ne vend plus des médicaments ou quoi que ce soit d’autre aux arabes! On ne leur prête pas assistance médicale, on refuse de les servir dans les restaurants ou autres lieus publics. Ils veulent nous boycotter? Eh bien, nous pouvons leur rendre de la même monnaie. C’est compliqué? on trouvera un moyen.

En attendant laissons les crever et s’entretuer, c’est toujours du gagné pour le monde civilisé.

jankel

Ce Mr Jakubowicz a une très mauvaise signature . La graphologie n’est pas décisive, certes, mais un mauvais signe majeur y est toujours un bon signe diagnostic. Le comportement de ce juif extrémiste de Gauche sans doute héritier de la connerie de ses aïeux bolchéviques n’est pas non plus une circonstance atténuante….qui va réorienter le diagnostic graphologique…..
Il va être nécessaire d’agir pour faire cesser ces ignominies avant que comme dans les années 30 on ne se trouve débordé par une Propaganda Staffel décisive et irrépressible et ses sbires épargnés par l’Etat et sa Justice sic, pendant une décennie, ne se retrouvent aux commandes de l’Etat justement: Darquier et autres Déat ou Doriot….(Nos traitres juifs restent eux, aujourd’hui encore, cachés dans des Archives Fermées….!)

Rail

céder aux chantages c’est toujours perdre sa liberté ,