Ces développeurs prédisent que ce processus sera disponible dans moins de dix ans et que ce carburant deviendra la principale source de carburant liquide.
Les chercheurs de l’Université israélienne affirment avoir découvert une méthode révolutionnaire pour produire un carburant liquide alternatif, à partir de deux des substances les plus communes sur terre, l’hydrogène et le dioxyde de carbone.
Ce nouveau processus deviendra la technologie dominante pour produire du carburant liquide, a déclaré le Prof. Moti Herskowitz, qui occupe la Chaire Cohen d’Ingénierie chimique et de Doyen en R&D de l’Université Ben Gurion du Neguev, dans un communiqué, puisque de telles techniques, comme l’extraction de dioxyde de Carbone, à partir de sources aussi diversifiées que l’air et l’écoulement de l’eau, sont tout à fait réalisables, sur le plan technologique et économique.
Ce processus a été développé par Herskowitz, le Prof. Miron Landau, le Dr. Roxana Vidruk et une équipe du Centre Blechner de Catalyse Industrielle et de Processus de Développement de l’Université Ben Gurion.
Le Monde est en manque cruel de sources probantes de carburant alternatif, parce que le pétrole brut a une disponibilité limitée et que le transformer en carburant liquide provoque des dommages significatifs dans l’atmosphère, alors que les alternatives actuelles ne peuvent, tout simplement, pas prendre le dessus. Par exemple, l
L’équipe du BGU pense que sa nouvelle découverte peut être la solution, parce qu’elle n’est pas confrontée aux mêmes obstacles technologiques que les voitures électriques et d’autres options de carburant alternatif, de production spécifique et d’infrastructure de livraison. Son « alimentation verte », tirée des deux substances, est
Les chercheurs reconnaissent que toute la technologie nécessaire n’est pas encore en place pour rendre l’entreprise immédiatement réalisable dans sa forme idéale. En particulier, la technologie d’écoulement de l’eau qui rendrait compétitif le coût de production de l’hydrogène, par rapport à celui du gaz naturel, reste encore
Cependant, ils pensent que le processus pourrait être instauré par phases, « en commençant par le dioxyde de carbone, l’eau et le gaz naturel, la biomasse ou le biogaz, comme produits d’appels et en évoluant, pour finir, vers une technologie qui ne requiert que du dioxyde de carbone dérivé de l’atmosphère et de l’eau ».
Herskowitz a dit être confiant dans le fait que cette nouvelle technique, qui peut s’appuyer sur une technologie déjà disponible et commercialisée, deviendra réalité sous une période allant de cinq à dix ans.
Herskowitz a dévoilé cette percée par une présentation, lors du
PAR SPENCER HO 13 novembre 2013, 6:03 pm
timesofisrael.com Article original
Adaptation : Marc Brzustowski.
Pour le moment, c’est juste un effet d’annonce, à moins de préciser quelle sera la source primaire d’énergie pour transformer l’hydrogène et le dioxyde de (…) sous une nouvelle forme. Le solaire, l’éolien ?
Les voitures électriques permettront la mobilité pour de petits trajets urbain. Le nouveau carburant servirait donc pour des véhicules hybrides. Pour les distances en Israël, d’autres formes de mobilité serait infiniment plus performantes, avec possibilité d’exporter la réalisation. Un transport rapide, sûr, sécurisé maillant l’ensemble du territoire, et fonctionnant directement en électrique : [le monorail bi-tube->http://jeanpierre.becker.free.fr/monorail/index.html]
Le peuple d’Israel est comme toujours le phare de l’umanité.
Esperons que cette invention verra effectivement le jour avant que les leche-babouches occidentaux ne se soient usé la face à force de pratiquer.