Le politiquement correct, conforté par l’élection d’Emmanuel Macron, est en pleine forme.Construit dans le but de protéger les nouvelles minorités et plus particulièrement la culture islamique en Europe, ce prêt-à-penser s’interdit toute approche critique. Faire le lien entre l’insécurité dans le quartier parisien La Chapelle-Pajol et l’afflux de migrants depuis 2015 relève du blasphème.

Le politiquement correct, conforté par l’élection d’Emmanuel Macron, est en pleine forme.
Construit dans le but de protéger les nouvelles minorités et plus particulièrement la culture islamique en Europe, ce prêt-à-penser s’interdit toute approche critique.

Il est également inconcevable, pour les commentateurs comme il faut, de suggérer une relation entre le sexisme dénoncé par ces femmes du XVIIIe arrondissement et le machisme véhiculé par le Coran (voir mon blog de lundi).

Quant au terrorisme, qui a tué cette fois des enfants et des adolescents de Manchester (Angleterre) venus assister, lundi soir, à un concert d’Ariana Grande (22 morts, 60 blessés), il n’est pas question, pour le discours dominant, de le rapprocher de l’esprit guerrier qui marque de son empreinte de nombreuses sourates.

L’Etat islamique a revendiqué l’attentat, commis par Salman Abedi, 22 ans, britannique d’origine libyenne. Mais le chef de l’Etat français se contente de parler de « nos ennemis terroristes », sans être plus précis. Il dit vouloir accélérer la création d’une « task force » sous son autorité. Il a aussi annoncé, ce mercredi, sa volonté de légiférer pour « renforcer la sécurité face à la menace terroriste ».


Toutes les réponses resteront vaines si n’est pas posée la responsabilité de l’idéologie islamiste, conquérante et totalitaire. Se contenter de répéter que le djihadisme serait le produit de sociétés occidentales discriminantes, cette tarte à la crème du conformisme médiatique, invite les démocraties culpabilisées à se soumettre à une contre-culture s’affirmant comme « la meilleure communauté qu’on a fait surgir pour les hommes », et à y perdre leur âme.

Toutefois, ces réponses resteront vaines si n’est pas posée la responsabilité de l’idéologie islamiste, conquérante et totalitaire. Se contenter de répéter que le djihadisme serait le produit de sociétés occidentales discriminantes, cette tarte à la crème du conformisme médiatique, invite les démocraties culpabilisées à se soumettre à une contre-culture s’affirmant comme « la meilleure communauté qu’on a fait surgir pour les hommes », et à y perdre leur âme.

L’urgence est moins de moraliser la vie politique que de moraliser l’islam politique.

Quand Donald Trump, dimanche à Riyad (Arabie saoudite), exhorte ce pays qui a des liens financiers avec Daesch à lutter contre les extrémistes (« Chassez-les, chassez-les de vos lieux de culte, chassez-les de vos communautés (…) chassez-les de cette terre »), il met les musulmans de paix devant leurs responsabilités.

Comme le souligne également Pascal Bruckner dans Le Figaro de ce jour, la réponse au terrorisme « repose sur la capacité des musulmans à réformer leur religion ».


L’islam doit faire le ménage dans son idéologie. Cette politique impliquerait une dénonciation du wahhabisme, du salafisme, des Frères musulmans, mais aussi de l’islamo-gauchisme et de sa presse collaboratrice (Médiapart, Bondy Blog, Libération, Les Inrockubtibles, etc.)
C’est cette voie que le pouvoir devrait soutenir, au lieu de nier les filiations entre l’islam, l’islamisme, le sexisme, l’antisémitisme, le terrorisme

L’islam doit faire le ménage dans son idéologie. Cette politique impliquerait une dénonciation du wahhabisme, du salafisme, des Frères musulmans, mais aussi de l’islamo-gauchisme et de sa presse collaboratrice (Médiapart, Bondy Blog, Libération, Les Inrockubtibles, etc.)

C’est cette voie que le pouvoir devrait soutenir, au lieu de nier les filiations entre l’islam, l’islamisme, le sexisme, l’antisémitisme, le terrorisme.

L’historien tunisien Mohamed Talbi, qui vient de mourir, écrivait : « Je ne crois qu’au Coran et pas à la charia. Le premier est l’oeuvre de Dieu, la seconde n’est qu’une production humaine qui n’a rien à voir avec l’islam et dont les musulmans doivent se libérer ». La rationalité ne peut rester plus longtemps étrangère à l’islam. Anouar Kbibech, président du Conseil français du culte musulman (CFCM), travaille d’ailleurs à l’élaboration d’un « contre-discours » construit sur une « contextualisation ». Ce sont ces musulmans éclairés que le pouvoir devrait soutenir, au lieu de s’interdire de penser et d’aggraver, au nom de l’apaisement, des situations toujours plus conflictuelles.

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

2 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Maguid

Tout ce laïus interminable pour aboutir à cette idiotie infâme et marque de reddition. totale. Ce qui implique
que la France n’est plus chez elle. Si c’est tout ce qui lui reste, c’est de supplier l’envahisseur d’être un peu
moins cruel et plus clément avec l’occupé. C’est ce qu’on appelle: « le syndrome de Stockholm ». C’est comme
si on avait supplié l’occupant allemand, en 1942, d’être un peu moins brutal avec les pays occupés (dont la
France).

Elie de Saint Cloud

« L’Islam doit faire le ménage »
est une autre tarte à la crème lorsqu’on ne mentionne pas « quel ménage » !

Quel ménage l’islam doit-il faire ???

Ne pas préciser c’est pousuivre le fantôme, c’est garder la tête enfoncée dans le sable…
c’est persévérer le jeu de l’autruche qui perdure et fait prospérer l’islam prétendu radical.
Il n’existe aucun islam modéré, tous les islams sont radicaux.

DEUX LIGNES – DEUX LIGNES ET CHACUN SAURA CE QU’IL FAUT FAIRE…
ET CHACUN DEVRA DIRE A SON GOUVERNEMENT CE QU’IL DOIT FAIRE.

SIMPLE ? TRES SIMPLE ! SIMPLISTE, SIMPLISSIMO.

TAPER SUR GOOGLE :  » SOURATES CRIMINELLES »

Constatez vous-mêmes…… LA LISTE EST LONGUE.

Demander ensuite au gouvernement d’IMPOSER sous peine d’AMENDES SEVERES, toutes les mosquées, tous les imams, tous les vendeurs de corans d’avoir à faire disparaître les Corans qui n’auront pas été expurgés des sourates criminelles. (Bannir le nom « sourates criminogènes » qui masque le crime par un nom littéraire).

Faciie de dire que c’est Allah qui tue. Ordonner de tuer est un crime. celui qui relaye les sourates criminelles devient le donneur d’ordre. donc le criminel. c’est le donneur d’ordre qui tue, dont les imams modérés tuent lorsqu’ils enseignent les sourates criminelles.

DONNER UNE SEMAINE DE DELAI AVANT D’APPLIQUER LES AMENDES.

Le résultat sera édifiant…. ET LE TERRORISME SERA VAINCU…. par les amendes « pénales » qui devront être dissuasive.