L’Opération Prix à Payer contre Facebook Israël a débuté dimanche matin a rapporté le site Mizbala.com. Elle a été initiée par Rotem Gaz, alias « Mark Zuckerberg Israël, »

Des graffitis d’empreintes de mains rouges sang et des messages autocollants  disant « du sang sur les mains » sont apparus dur certains des murs des locaux de Facebook Israël 22 Tour Rothschild à Tel Aviv

Le PDG de Facebook Israël Adi Soffer Teeni loue quatre étages entiers dans le prestigieux bâtiment depuis mars dernier

Facebook Israel with the red Price Tag graffiti

Rotem Gaz est bien connu dans les couloirs de la direction générale de Facebook depuis Décembre 2011, où il avait trocké son nom véritable pour celui de Mark Zuckerberg, dans le cadre d’une campagne visant à faire capoter le procès de Facebook contre lui parce qu’il avait « liké » des pages en contradiction avec les réglementations du géant des réseaux sociaux.

Facebook avait laissé tomber sa poursuite inquiet de la publicité autour de l’affaire et la tournure que Gaz faisait prendre aux évènement en changeant de nom.

Maintenant Gaz le Terrible est de retour avec une nouvelle campagne contre son réseau social préféré, en raison de la vague généralisée d’incitation à la haine qui a lieu sur Facebook, émanant des terroristes arabes appelant à assassiner des Israéliens et des Juifs. Au cours des dernières semaines, une vague de terreur s’est emparée du réseau social, avec des centaines de milliers de pages d’incitations à nuire à des citoyens israéliens et des juifs dans le monde entier-sans qu’ils soient entravés par des normes éthiques d’utilisation de la part de Facebook qui interdiraient de telles pratiques.

Il semble que le représentant du réseau social en Israël ait choisi d’ignorer les incitations à la haine et décline toute responsabilité pour ces publications.

Jeudi dernier Mizbala.com a publié un enregistrement réalisé par des journalistes de Israël Hayom et d’autres médias en Israël, du chef du personnel de Facebook et de membres de la direction elle-même, qui ont refusé de répondre aux questions de peur d’être suspendus voir licenciés..

Rotem Gaz, aka Mark Zuckerberg Israel with “blood” on his hands

En dépit des nombreuses plaintes de centaines de milliers d’Israéliens, exigeant la suppression des pages incitants à la haine et à la violence, Facebook dans la plupart des cas permet à ces contenus de rester en ligne sans être inquiétés, et supprime arbitrairement et sans explication les messages des utilisateurs israéliens qui les dénoncent.

Quand des ordinateurs surveillent les pages des utilisateurs

Un cas concret: Liat Alon, un utilisateur très populaire de Facebook, a, comme beaucoup d’Israéliens, reçu des menaces de mort au cours de la première semaine d’Octobre, 2015. Un message ‘Cha’t envoyé à Alon par un opérateur ‘Hamas’ contenant de nombreuses fautes en hébreu disait à peu près ceci : « Aujourd’hui, je vais être dans votre maison et votre famille brûler. La Palestine est notre terre et nous avons le droit de vivre ici et vous brûler ici. Nous avons attendu pour cette heure temps déjà de rencontrer et de vous envoyer en enfer.

Alon avait laconiquement répondu : « Les hommes d’aujourd’hui sont si agressif. » Son Post a obtenu 5.000 like et des centaines de commentaires, et puis quelque chose d’étrange est arrivé, et qui est représentatif de ce qui arrive car Facebook utilise des robots pour surveiller ses pages : le message vraiment drôle de Alon était supprimé par Facebook, parce qu’il ne répondait pas aux normes de sécurité de la communauté du réseau social, et sa page a été bloquée pour 24 heures. En revanche celle de l’agresseur qui a ouvertement menacé sa vie, continue de fonctionner librement. et ce parce que les fautes de syntaxe n’ont pas permis à l’ordinateur de repérer l’incitation au meurtre. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les terroristes ont une syntaxe qui permet de brouiller les pistes et de fourvoyer les ordinateurs de contrôle.

Gaz émis un message disant: « Tant que Facebook maintient son refus de supprimer des pages qui incitent à l’assassinat des Israéliens et des Juifs, il devra se souvenir qu’il a le sang des victimes sur la conscience et ses gestionnaires aussi.

Ce post a été pulvérisé en peinture rouge sur le mur des bureaux de Facebook de Tel-Aviv par l’israélien Mark Zuckerberg et sa signification est claire: cessez d’être une plateforme pour les incitateurs au meurtre et peut-être Gaz refreinera son courroux.

Refusez de retirer les pages de la haine et le sang des victimes se répandra sur vos têtes « .

JNi.media

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