Énoncer sur un ton martial, hautain, prétentieux, qu’il est « hors de question » de laisser le FN « gagner une région », qu’il faut absolument tout faire, tout, pour empêcher le FN d’avoir « une » région, même une… ces propos en appellent pas seulement à l’éternel « barrage républicain », mais bel et bien à une politique factieuse et facétieuse digne d’une République bananière allant pourquoi pas jusqu’à bourrer les urnes comme cela se fait au PS et aussi en Algérie…
Comment peut-il y arriver ? En faisant déjà monter la pression, en « hystérisant » le combat comme Valls l’avait fait dans l’enceinte parlementaire lors des dernières élections municipales. En créant également des incidents comme cela a été le cas durant le mois d’octobre 2015 en empêchant de fait Marine Le Pen de parler sur France 2 alors que l’émission Des Paroles et des Actes déploie une problématique nationale et non pas locale.
Le PS avait réussi son coup en 2007 en semant une telle haine qu’il n’était pas rare de voir des tracts être jetés avec rage sur les marchés alors qu’ils étaient distribués par des militants UMP de l’époque même pas FN. Rappelons également les manifestations hystériques des « Antifa » empêchant littéralement Marine Le Pen de tenir des meetings.
Sans aller jusqu’à bourrer les urnes (sauf dans les endroits où il n’y aurait pas d’assesseurs FN et d’observateurs impartiaux) il est possible de créer une atmosphère de division, de haine, de tension, de peur, comme savent déjà le faire les chiens et chiennes de garde complètement enragés (par exemple Libération, l’Obs, Domenach, Ruquier, Bedos, et tant d’autres) tant ils/elles savent que leur avenir dans le parasitage et le détournement de l’opinion publique risque de ne plus aller de soi.
Il est temps que l’ONU, l’U.E, détachent des observateurs internationaux lors des prochaines élections tant la situation politique en France est considérablement dégradée.
Le Premier Secrétaire du PS parle de « bloc réactionnaire », il faut désormais parler de « bloc totalitaire » concernant Valls et consorts.
Par Lucien-Samir Oulahbib
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