Le Prix Israël 2025 récompense l’excellence dans les sciences, les arts et la danse
Le ministre israélien de l’Éducation, Yoav Kisch, a dévoilé les lauréats du prestigieux Prix Israël pour l’année 5785 (2025), mettant en lumière des figures emblématiques dans les domaines des sciences de l’ingénieur, des arts interdisciplinaires et de la danse. Ces récompenses célèbrent des contributions majeures à la société israélienne et au-delà, tout en soulignant l’importance de l’innovation, de la culture et de la créativité dans un monde en constante évolution.
Yonina Eldar : révolutionner le traitement des données
Dans le domaine des sciences de l’ingénieur, le prix a été décerné à la professeure Yonina Eldar, chercheuse renommée au département de mathématiques et d’informatique de l’Institut Weizmann des sciences. Ses travaux pionniers dans le traitement du signal et des données ont transformé la manière dont les technologies modernes capturent et interprètent l’information.
Traditionnellement, pour obtenir une reproduction précise d’un son, d’une image ou de données, un grand nombre de mesures (ou échantillonnages) sont nécessaires. Cependant, cette méthode exige des ressources considérables et limite l’efficacité des systèmes. Yonina Eldar a démontré qu’il est possible de réduire considérablement le nombre de mesures sans sacrifier la qualité de l’information. Ses découvertes ont des applications révolutionnaires dans divers secteurs, notamment les communications, l’imagerie médicale (comme l’IRM), les radars et même l’intelligence artificielle. Grâce à ses avancées, les technologies deviennent plus rapides, plus économes en énergie et plus accessibles, améliorant ainsi la vie de millions de personnes à travers le monde.
Belo-Simion Fainaru : l’art au service de la guérison sociale
Dans le domaine du design et des arts interdisciplinaires, le Prix Israël a été attribué à Belo-Simion Fainaru, un artiste dont les œuvres explorent l’héritage spirituel de la culture juive et le rôle des symboles dans la tradition mystique. Né en Roumanie, Fainaru a représenté son pays d’origine à la Biennale de Venise à plusieurs reprises avant de s’établir en Israël et en Belgique.
Le jury a salué son engagement en faveur d’un art qui vise à provoquer des changements sociaux et à favoriser la guérison. À travers ses créations, Fainaru interroge les liens entre le passé et le présent, tout en offrant une vision profondément humaniste de l’art. Ses œuvres, primées à de nombreuses reprises en Israël et à l’étranger, témoignent d’une quête incessante de sens et de beauté.
Shlomo Maman : la danse folklorique comme source d’espoir
Le Prix Israël dans le domaine du théâtre, de la danse et de l’opéra a été décerné à Shlomo Maman, chorégraphe et directeur artistique de renom, pour son rôle clé dans le développement des danses folkloriques israéliennes. Pour Maman, cette récompense est une reconnaissance tant personnelle que collective : « J’ai été abasourdi lorsque le ministre m’a appelé. La danse folklorique mérite cette reconnaissance, surtout après une année difficile. Elle apporte de l’espoir et de la joie à notre peuple. »
Le jury a souligné l’impact de son travail, qui fusionne la danse folklorique de scène et de masse, en faisant un art à la fois rassembleur et thérapeutique. Dans un contexte marqué par les défis et les tensions, la danse folklorique incarne une forme de résilience et de connexion culturelle.
Un prix marqué par la controverse en 2024
L’annonce des lauréats 2025 intervient après une année 2024 mouvementée pour le Prix Israël. Un scandale avait éclaté lorsque le ministre de l’Éducation, Yoav Kisch, avait tenté d’exclure l’entrepreneur Eyal Waldman de la liste des lauréats en raison de ses prises de position contre la réforme judiciaire. Sous la pression publique, Kisch avait finalement cédé, permettant à Waldman de recevoir le prix. Cet épisode avait soulevé des questions sur l’indépendance du processus de sélection et sur l’influence politique dans les décisions culturelles.
Le Prix Israël 2025 met en lumière des personnalités exceptionnelles dont les contributions transcendent les frontières disciplinaires et géographiques. Que ce soit à travers les avancées technologiques de Yonina Eldar, les explorations artistiques de Belo-Simion Fainaru ou les chorégraphies inspirantes de Shlomo Maman, ces lauréats incarnent l’esprit d’innovation et de créativité qui caractérise Israël.
Dans un monde confronté à des défis complexes, ces récompenses rappellent l’importance de soutenir la recherche, les arts et la culture, non seulement pour leur valeur intrinsèque, mais aussi pour leur capacité à inspirer, guérir et unir les communautés.
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Il va falloir créer le Prix Horreurs Falestiniennes pour décrire toutes les saloperies commises par ces dégénérés animalisés, et le faire connaitre sur toute la planète.
Pendant que le peuple d’Israël avance dans la modernité la plus pointue, l’innovation technologique et la médecine, les ordures de ce peuple inventé, avance dans le noir, l’horreur, les monstruosités, les crimes horribles, et s’en vantent.
Il n’y a qu’une seule solution pour mettre un terme à leurs horreurs : l’éradication !!