La décision rendue la semaine dernière par la Cour de cassation française concernait les condamnations de sept militants de BDS par la cour criminelle de Caen, en France méridionale. Chaque accusé écope d’une amende de 1 000 $ et d’une condamnation pour avoir appelé en 2010 à des actes discriminatoires au cours d’une manifestation à l’extérieur d’un supermarché qui vendait des produits israéliens.

Les sept militants de Caen ont été poursuivis après le dépôt final des plaintes pénales contre eux par le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, ou BNVCA, et deux autres organismes sans but lucratif : Alliance France Israël et Avocats Sans Frontières, a écrit BNVCA sur son site Web.

Dans une déclaration au sujet de la décision du 30 mars, BNVCA a défini le jugement « de nouvelle victoire sur le mouvement BDS, le rendant une fois de plus illégal. » La condamnation intervient six mois après une décision similaire par le même tribunal sur une affaire différente de 2009 et 2010 impliquant 12 partisans du mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions contre Israël, ou BDS.

Les condamnations sont basées sur la jurisprudence qui considère BDS comme discriminatoire et sur une loi de 2003 visant à étendre la législation antiraciste qui vise à décourager la discrimination et les boycotts contre les pays ou leurs peuples.

coolamnews

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gerardn

Il faut taper chaques militant de BDS au portefeuille avec des plaintes systematiques.BDS en France a beaucoup de retraités a force d’être condamnés ces vieux salauds iront certainement se faire voire ailleurs.