Le président américain a annoncé l’effacement partiel des emprunts étudiants.
Après des mois d’hésitation, mais en pleine campagne pour les élections de mi-mandat, le Président Biden a annoncé ce mercredi, un effacement de 10.000 dollars du montant des dettes détenues par quelque 43 millions d’étudiants et anciens étudiants. C’était une de ses promesses électorales il y a deux ans.
Les mesures ne couvrent que les dettes universitaires garanties par l’État fédéral. Les échéances de ces dettes avaient déjà été suspendues durant la pandémie. Le moratoire est du reste prolongé jusqu’à la fin de l’année.
43 millions d’Américains sont endettés aujourd’hui au titre du financement de leurs études. L’emprunteur moyen doit 37.000 dollars. Le montant total de la dette fédérale étudiante est de 1600 milliards de dollars.
La gauche du Parti démocrate estime que la Maison blanche aurait dû aller plus loin. Elle proposait d’effacer jusqu’à 50.000 dollars de dettes par étudiant. Les républicains dénoncent le «cadeau» offert aux étudiants en raison de sa portée clairement électoraliste et à leurs yeux injuste. Ils arguent que des millions d’Américains n’ont pas fait d’études supérieures en raison du coût de l’endettement qu’ils auraient dû assumer. Ces contribuables défavorisés se retrouvent de fait financer les dettes d’étudiants relativement aisés. Pour limiter cet effet, la Maison blanche a décidé que les emprunteurs aux revenus annuels supérieurs à 125.000 dollars seraient inéligibles aux nouvelles mesures. In fine quelque 15 millions d’étudiants devraient se retrouver libérés de leurs dettes.
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La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.
C’est l’affolement chez Biden et les « démocrates ». Apès la mise en danger de Taîwan de Pélosi en provoquant la Chine, les « enquêtes » contre Trump, et maintenant le cadeau aux étudiants, ils sont prêts à tout pour garder leur job et ce n’est sûrement pas finis quittes à tout faire exploser.
Une mesure électoraliste à l’approche d’ élections de mi-mandat.
La Loi de Pareto est implacable : moins de 20% de la population d’un pays produisent plus de 80% de la richesse nationale, et le 80% de la population restante ne produit pas 20% de la richesse nationale. Cela se vérifie quel que soit le domaine d’ activité. 20% des ingénieurs réalisent 80% de la technologie d’un pays, 20% des managers et cadres font fonctionner 80% de l’ économie, 20% des avocats assument 80% des affaires juridiques, 20% des médecins soignent réellement 80% de la population, et bien sûr 20% des universités d’un pays forment 80% de l’encadrement de ce pays. C’est une loi sociologique fondamentale : dans toute société, il y a une compétition perpétuelle pour être dans le 20%.
Les Juifs ont compris cette loi depuis des millénaires, et répètent chaque jour dans le Pirqéi Avoth, traité des principes ou maximes des Pères, au chapitre Pirqéi revii, verset caf: vehévi zanav la- arayoth ve-al-tehi rosh la-choualim, sois à la queue des lions et non à la tête des renards.
Pareto a été l’inspirateur des fascistes italiens, mais l’ Histoire a montré que tous les systèmes politiques égalitaristes, étatistes ou communistes, ne peuvent pas fonctionner. On a vu la chute du fascisme italien, du nazisme, des collectivistes asiatiques, de l’ URSS, peut-être même de la Chine autoritarisme, et l’ état actuel de la Russie.
L’ Amérique à dès sa création opté pour le libéralisme d’ inspiration biblique, aboli l’ esclavage et a un taux de corruption bien inférieur aux pays latins d’ Europe. Comme résultat, elle a vite atteint le premier PIB du Monde. Le coût des études dans les meilleures universités du Monde, comme Harvard, Princeton, MIT,etc.., atteint 50.000 dollars annuels, voire 65.000 dollars pour Stanford, non compris le logement, frais de vie et assurance maladie, mais ensuite les diplômés atteignent rapidement 100 à 200.000 dollars de revenus annuels et remboursent vite les emprunts contactés. Cela concerne les ingénieurs, financiers, managers, cadres dirigeants, etc..
Tout le reste est dans le 80%, avec des revenus trop faibles pour rembourser leurs emprunts, voire ne travaillent pas beaucoup, et c’est là-dessus que jouent les Démocrates pour des raisons électoralistes évidentes. Seraient-ils le parti des losers?