Des dizaines de millions de dollars en espèces appartenant à Daesh sont partis en fumée lorsque l’une de ses banques a été touchée par une frappe aérienne américaine, de la défense des États-Unis, ont dit les responsables militaires lundi.
Les terroristes coupeurs de têtes ont perdu une fortune dans une attaque qui a été lancée juste avant l’aube dimanche sur la ville irakienne de Mossoul tenue par Daesh , ont indiqué les responsables.
Selon le rapport de CNN, les Etats-Unis ont décidé qu’ils étaient prêts à «sacrifier» jusqu’à 50 morts parmi les civils dans l’attaque, en raison de l’importance accordée à la cible. Toutefois, selon différentes évaluations, seulement 5-7 civils ont été tués dans l’attaque. Pendant des semaines, des sources militaires américaines ont affirmé qu’ils seront toujours prêts à attaquer des cibles majeures, même si ces attaques mettent des vies civiles innocentes en danger.
Depuis Novembre, les forces américaines et de la coalition combattre daesh en s’en prenant à ses ressources financières et son argent ; ils ont frappé son système de contrebande de pétrole en bombardant les champs de pétrole détenus par Daesh et en ciblant des camions-citernes transportant l’or noir en Turquie.
Le renseignement a recueilli des informations précieuses concernant les finances de Daesh lorsque les commandos américains ont tués « le trésorier des terroristes, connu sous le nom d’Abu Sayyaf, en mai dernier dans un raid sur sa planque syrienne. Ils ont également capturé sa femme irakienne, identifiée comme Umm Sayyaf, et saisi plusieurs ordinateurs de leur composé.
Daesh utilise une partie de l’argent du sang pour payer les salaires mensuels des terroristes et fournir des subventions à leurs familles.
» Les combattants étrangers, qui sont les recrues les mieux payés dans les rangs de Daesh, gagnent 1000 $ dollars par mois, selon des sources syriennes.
Contrairement d’Al-Qaïda, Daesh règne sur de vastes territoires et son État à cheval sur le territoire syrien et irakien a besoin d’argent pour faire fonctionner les écoles et financer un système de protection sociale complexe qui lui permet d’acheter la loyauté de ses administrés.
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