Pendant toute l’Occupation, une quarantaine d’enfants, pour la plupart israélites, ont été cachés dans la « Pouponnière » de Nurieux. Et ils ont pu être sauvés. Âgés de 18 mois à 13 ans, accueillis par Rachel Revoy qui avait quitté la région parisienne, où elle travaillait dans l’un des deux hôpitaux des Diaconesses, pour s’installer dans cette maison qui deviendra un havre de bonheur et de sécurité pour les enfants. Ils ont été amenés là grâce à un réseau protestant, principalement des Quakers de Marseille, qui mettaient des enfants à l’abri des nazis et des autorités de Vichy. Contrairement aux enfants de la colonie d’Izieu, ils ont échappé à la déportation et à la mort.
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Je ne sais comment bénir des gens pareille , ils ont pris tout les risques pour sauvé des enfants ,et adultes , au risque de perdrent leurs vies , je pense qu’on le peut pas trouvé un seul de nos fonctionnaires du quai d’Orsay faire ça , càr eux travaillaient avec les nazis ét non jamais quitter leurs postes à aujourd’hui ,àvec ceux de l’AFP .