A cette heure, les Etats-Unis ont envoyé quatre navires de guerre lanceurs de missiles de croisière, qui se sont rapprochés des côtes syriennes. L’objectif est moins d’entrer de plain pied dans le conflit, ce que tous ont évité depuis 28 mois, que d’envoyer une mise en garde claire à Assad et ses soutiens. Aucune des options évoquées n’emporte une adhésion inconditionnelle.
Des sources militaires exclusives de
1) Frapper les unités syriennes qui ont commis la propagation de gas Sarin, mercredi dernier à l’Est de Damas.
2) Détruire les dépôts d’armes chimiques syriennes estimés à trois principaux.
3) Ou des attaques coordonnées contre les deux précédentes cibles.
Concernant les options 2 et 3, l’attaque devrait détruire tous les obus toxiques sans qu’ils n’explosent et diffusent leur contenu à travers de vastes régions de la Syrie et des pays voisins : la Turquie, Israël et la Jordanie. Le dictateur syrien est, tout-à-fait, capable d’avoir produit les mélanges de gaz à l’intérieur des obus et que ceux-ci soient armés et prêt à l’usage, de façon à maximiser l’impact meurtrier de ces gaz mortels à travers une vaste région du Moyen-Orient.
http://debka.com/newsupdatepopup/5447/ Article original
DEBKAfile 24 août 2013, 9:46 AM (GMT+02:00)