Visiblement la violence des Palestiniens ne préoccupe pas outre mesure ces eurocrates-diplomates.
Il y a deux semaines, un groupe d’ambassadeurs de l’Union européenne a rédigé une note recommandant que les Etats membres « envisagent la possibilité d’interdire l’accès à l’Union européenne de colons violents » (Jerusalem Post) Article original

Les diplomates de l’UE recommandent également que, dans le but de lutter contre la violence des Juifs-colons, les missions de l’UE à Tel Aviv, ainsi qu’à Jérusalem et Ramallah, renforcent le contrôle sur les autorités israéliennes dans leur lutte contre la violence des colons extrémistes.

Cela permet-trait à l’UE de disposer d’informations systématiques et fiables sur ces Juifs-colons.

Les diplomates souhaitent que les missions de l’UE puissent assister aux procès « des cas les plus graves ».

Tout en notant que le Gouvernement israélien condamne vigoureusement les actes de violence perpétrés par des « colons extrémistes », la note recommande que l’UE continue à exhorter les autorités israéliennes à respecter leurs obligations en vertu du droit international humanitaire.

Le mémo rappelle que l’UE condamne systématiquement et publiquement les attaques graves commises par les « colons extrémistes » mais veut durcir le ton de ces communiqués.

De plus, les États membres qui souhaitent émettre des déclarations individuelles, dans un souci de cohérence doivent harmoniser les termes des condamnations.


Image: bombe humaine palestinienne prête au martyre déclare à la télévision du Hamas: « … et nous savons qu’il n’y de sang qui nous est plus doux que le sang des Juifs ».

TAGS: Palestinisme Terrorisme UE Subventions Violences Implantations

Ashton Tel-Aviv Jerusalem Ramallah

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deretour

Mais ……n’est ce pas aussi s’occuper , décider au sujet d’un territoire qui n’est pas sous
la souveraineté de la France ? Qu’elle s’occupe plutôt de dresser une liste des individus
de la racaille qui empêche les gens de vivre normalement dans les banlieues !!

Les banlieues des villes françaises sont bien dans un territoire qui lui appartient !!

deretour

Mais ……n’est ce pas aussi s’occuper , décider au sujet d’un territoire qui n’est pas sous
la souveraineté de la France ? Qu’elle s’occupe plutôt de dresser une liste des individus
de la racaille qui empêche les gens de vivre normalement dans les banlieues !!

Les banlieues des villes françaises sont bien dans un territoire qui lui appartient !!

deretour

Mais ……n’est ce pas aussi s’occuper , décider au sujet d’un territoire qui n’est pas sous
la souveraineté de la France ? Qu’elle s’occupe plutôt de dresser une liste des individus
de la racaille qui empêche les gens de vivre normalement dans les banlieues !!

Les banlieues des villes françaises sont bien dans un territoire qui lui appartient !!

Kogan

{{Devinez qui a inventé les Les GTE Juifs homogènes « Palestiniens » (en 1941, on ne les traitait pas de colons »)!

Les groupements de travailleurs étrangers (GTE)
En application de l’article 1er de la loi du 27 septembre 1940,
relative aux groupements de travailleurs étrangers, « les étrangers de sexe masculin, âgés de plus de 18 ans et de moins de 55 pourront aussi longtemps que les circonstances l’exigent, être rassemblés dans des groupements d’étrangers s’ils sont en surnombre dans l’économie nationale et si, ayant cherché refuge en France, ils se trouvent dans l’impossibilité de regagner leur pays d’origine.
Sous réserve des formalités réglementaires, ils conservent la faculté d’émigrer dans un pays étranger ».
Les groupements sont donc constitués d’étrangers résidant en
France, appartenant à plusieurs nationalités, des Espagnols notamment.
Des Juifs étrangers y seront eux aussi incorporés. Dans ce cas, les GTE
ont pu constituer un vivier où les occupants et Vichy ont eu la possibilité
de puiser pour remplir les camps de concentration.
Le sort des Juifs
Le 2 janvier 1942, le gouvernement de Vichy décrète que « tous
les Juifs résidant sur l’ensemble du territoire et entrés en France après le 1er janvier 1936 seront, selon les cas, groupés dans des Compagnies de Travailleurs étrangers ou dans des Centres spéciaux. Cette mesure vise non seulement les Israélites étrangers, mais encore ceux qui, depuis leur arrivée dans notre pays, y ont acquis notre nationalité ». Cette mesure
s’appuie sur la loi citée ci-dessus.
Dans la zone libre, les instructions du 2 janvier 1942, signées par
le ministre de l’Intérieur, G. Pucheu, sont extrêmement précises. Le
recensement des intéressés et de leurs familles est effectué sous peine de
sanctions rigoureuses. Il est expressément indiqué que « les Israélites visés ne doivent pas être placés dans des Compagnies « diffuses  » mais dans des groupes homogènes ». Immédiatement après, le 10 janvier 1942, le colonel Tavernier, chef du Service national des formations d’étrangers donne des directives aux chefs de groupement : « Les groupes encadrés palestiniens seront composés uniquement de Palestiniens. Ces groupes sont, soit existant déjà, soit à créer. Chaque groupement me fera d’urgence des propositions.
La documentation Française : La Spoliation dans les camps de province / compte tenu de ce que l’effectif d’un groupe encadré nedevra pas être de plus de 300. »
*Mission d’étude sur la spoliation des Juifs de France ; présidée par
Jean Mattéoli ; Serge Klarsfeld, André Delahaye, (et al.)

Ainsi, les autorités vichystes ont recensé les Juifs étrangers, les
ont regroupés eux et leurs familles, les ont contrôlés, les ont fait travailler sous surveillance policière et les ont gardés à leur disposition dans ces groupes palestiniens dont la formation a concentré les menaces sur ceux qui en faisaient partie. Un rapport de la Commission des camps indiquera
d’ailleurs incidemment :
« Des Groupes de  » Palestiniens  » ont été créés. La création de ces
groupes palestiniens, parfois appelés  » Groupes juifs homogènes  » nous
donne les plus vives inquiétudes, l’expérience nous ayant prouvé que les
dits groupes juifs homogènes sont très souvent en fait de petits camps de
concentration infernaux et dont on ne sort pas. »
Les conditions particulières des Juifs
La particularité des GTE est le régime disciplinaire plus que draconien
qui en fait un véritable camp de travail. Certains camps ont même
adopté un régime d’une extrême dureté. Le groupe de travailleurs étrangers
de Ruffieux est de ceux-ci. Un dénommé Max Meyer qui se trouve au camp écrit au Comité International de la Croix-Rouge à Genève le
15 mars 1942 pour dénoncer les conditions de vie :
« Le soussigné, formant partie du Camp de travailleurs étrangers
à Ruffieux (Savoie) uniquement réservé aux israélites victimes des idéologies racistes, désirerait par la présente porter à votre connaissance les conditions arbitraires, vexatoires et inhumaines, auxquelles sont soumis un groupe d’environ 150 hommes.
Administration générale.
Le camp de Ruffieux, qui fut déjà mal dirigé l’année dernière,
vient de se trouver en face de changements depuis la mi-février qui en ont
fait une sorte de bagne. Tandis qu’auparavant les membres du groupe,
tout en étant affectés à un travail journalier, possédaient certaines libertés de circulation qui leur permettaient de se ravitailler à leur propre compte auprès des fermiers du canton dans la mesure du possible – et la population rurale, dans sa forte majorité, ne leur est point hostile – les nouveaux dirigeants en fonction depuis la mi-février nous ont contraints à abandonner ces libertés essentielles.
Nous sommes donc au régime suivant : lever à 6 h 30 Déjeuner consistant
de la ration journalière de pain (officiellement 350 grammes, mais rarement plus de 300 gr.) et d’un quart de jus de café. Départ au travail :
7 h. 15 (travaux de force tel que bûcheron, marais, routes). Rentrée vers
midi. Le repas du midi consiste en une soupe à base d’eau et de navets,
râves ou topinambours cuites à l’eau et servis sans appréciable addition
de graisses. Trois fois par semaine : un morceau minuscule de viande ou de poisson.
La documentation Française : La Spoliation dans les camps de province / Mission d’étude sur la spoliation des Juifs de France ; présidée par
Jean Mattéoli ; Serge Klarsfeld, André Delahaye, (et al.)
Départ au travail : 13 h. 15 Rentrée vers 18 h. Repas du soir :
même chose qu’à midi à l’exception des matières grasses.
Le ravitaillement susdit, est, comme vous en jugerez vous-même, totalement
insuffisant pour des travailleurs de force, et il me paraîtrait inutile
d’insister sur le fait que la population française, elle aussi, manque de
ravitaillement. Car le chef de groupe détient tous nos tickets d’alimentation délivrés mensuellement par la mairie et ces tickets comprennent, même en quantité supplémentaire légale pour travailleurs de force desrations de beurre, de fromages et d’autres denrées, dont nous ne voyons que les caisses entreposées au magasin sans que leur contenu soit proprement distribué. Il est un fait, que les dirigeants français du groupe vivent sur nos rations et récemment ces cadres français ont même obligé certains de nos membres à leur trouver au marché noir certaines denrées introuvables sous menace de leur retirer des permissions de week-end pour Aix-les-Bains, Lyon, etc.
Sous ces conditions, j’ai l’honneur de solliciter de votre bienveillance, de vouloir bien désigner un délégué de la Croix-Rouge pour but d’amorcer
une enquête et une amélioration des conditions désastreuses, sous lesquellesles membres de ce groupe, simplement parce qu’ils sont de religion israélite, et contrairement à ce qui se passe dans d’autres camps de travail, hébergeant des étrangers de religion catholique ou protestante, sont obligés de vivre aux dépens de leur santé.
Infirmerie.
Celle-ci dirigée par l’un ou l’autre membre du groupe désigné
par le chef et soumis à son autorité incompétente en médecine, ne possède
rien qui, en cas de besoin, peut prévenir épidémies ou accidents. Le soussigné même a récemment souffert d’un simple bouton qui, à défaut de traitement a d’abord dégénéré en furoncle et ensuite en anthrax à la nuque.
Il a dû subir une intervention chirurgicale à l’Hôpital Civil
d’Aix-les-Bains, où le traitement fut des meilleurs, sous des conditions
sanitaires sans reproche. Le manque de pansements, de médicaments, de
linge blanc, et même le manque d’eau potable dans l’enceinte du camp
font de l’infirmerie une épée de Damoclès suspendue sur nos têtes. » 42
Le régime disciplinaire de certains GTE s’avère particulièrement
répressif. Ainsi, « le GTE 706 à Aubagne (B.-du-Rh.) est un groupe disciplinaire.
 » Le traitement qui y est infligé dépasse l’imagination, tant l’attitude
des chefs est cruelle et injuste « , note Israël Salzer, Grand Rabbin de Marseille,
après avoir effectué une visite à Aubagne. Au printemps 1942 deux
décès en l’espace de quelques semaines y sont signalés à la suite de brutalités de la part des gardiens. » 43
La documentation Française : La Spoliation dans les camps de province / Mission d’étude sur la spoliation des Juifs de France ; présidée par
Jean Mattéoli ; Serge Klarsfeld, André Delahaye, (et al.)
Il est difficile de déterminer avec exactitude le nombre de Juifs
internés dans les GTE. Toutefois, « à la mi-mai 1942, l’aumônerie générale
(Juive) connaissait l’existence de 31 compagnies  » palestiniennes « .
Dans les prévisions de budget pour 1942, la Commission (juive) des
Camps précisait avoir en charge 12 000 internés israélites dans les Centres d’hébergement, camps d’internement et hôtels de Marseille sans
compter les quelques 15 à 20 000 travailleurs étrangers israélites disséminés dans de nombreuses formations de travailleurs étrangers en France libre ».
La liste des GTE répertoriés par département, où sont regroupés
les travailleurs juifs en zone libre a été dressée dans Le calendrier de la persécution des Juifs en France à la date du 26 août 1942.
Le traitement aggravé réservé aux Juifs se confirme donc. « Au
sein de la panoplie des GTE, à tous les égards, ce sont généralement les
groupes dits  » palestiniens  » où l’on constate les conditions les plus mauvaises.
» 45 Les groupes qualifiés « d’homogènes » – c’est-à-dire exclusivement
constitués de Juifs – « sont envoyés aux travaux les plus dangereux
et les plus pénibles, aux poudrières, aux usines d’arsenic à Auzon
(Hte-Loire). Des ouvriers réguliers y avaient droit à des vêtements spéciaux, à des douches et à un litre de lait par jour. Les T.E. furent évidemment exclus de ces avantages. Beaucoup y moururent. Quant à ceux qui
osèrent se révolter, ils furent envoyés dans des camps disciplinaires où l’on ne travaillait pas mais où, en revanche, on ne mangeait pas non plus » 46.
Les durs travaux ne procurent pas de « privilèges » aux Juifs
puisqu’ils ne sont ni mieux logés, ni mieux nourris que les autres internés.
Sans compter que pour les tâches épuisantes qu’ils sont contraints
d’exécuter, il n’est pas obligatoire de leur verser un salaire, mais uniquement une prime dite de rendement qui s’élève à trois francs par jour.
Cependant, la réalité est parfois bien différente et rares sont les travailleurs qui reçoivent cette somme. Ainsi, « au GTE 302 à Septfonds (Tarn), où vit un groupe presque exclusivement composé de Juifs allemands et d’Europe centrale, les50 centimes ne sont pas versés. L’administration sur place se réfère à un ordre qui serait venu du groupement n° 5 à Toulouse.
Dans tous les groupes, il est pourtant indispensable d’acheter de la nourriture pour améliorer l’ordinaire. Ceux qui sont obligés de vivre avec l’alimentation délivrée par les cuisines des camps perdent leurs forces en l’espace de quelques mois » 47.
La documentation Française : La Spoliation dans les camps de province / Mission d’étude sur la spoliation des Juifs de France ; présidée par
Jean Mattéoli ; Serge Klarsfeld, André Delahaye, (et al.)
Posséder quelque argent ne peut aucunement améliorer les
conditions de vie des travailleurs étrangers « car il était interdit à ces
hommes qui travaillaient durement pour la France, de faire des achats,
par égard pour la population française. D’autre part, les colis envoyés par
la famille étaient confisqués par le capitaine si ce n’est par l’adjudant, et le censeur s’emparait des tickets de pain contenus dans les lettres » 48.
Les Juifs internés dans certains GTE étaient contraints de payer
une certaine somme qui correspondait aux frais d’internement.
« Ces Israélites ne doivent pas se disperser et sont obligés de travailler
en groupes, ils n’ont pas de liberté, sont sous régime quasi militaire
et à la merci du Commandant du Groupe entre les mains duquel passe
tout leur argent, ainsi que leur matériel. En outre, depuis 18 mois, chaque ouvrier est tenu de verser une certaine somme pour frais d’administration,
assurance sociale, nourriture, etc. Les personnes qui emploient ces
travailleurs doivent payer au minimum 2 fr. – par jour, à part les
280 francs qu’elles doivent verser chaque mois pour le privilège d’avoir les ouvriers en question. Cet argent est en principe destiné à la caisse de la compagnie. » 49
Ces diverses circonstances génèrent une dégradation sanitaire.
« Dysentrie, cardiopathie, phtisie galopante, oedème de carence,
hernies, lésions cutanées infectées. En loques, sans chaussures, les pieds
entourés de chiffons ou de morceaux de vieux pneus, les hommes peinent
aux besognes malsaines. Ils sont en proie aux poux. On ne leur donne pas
de désinfectants, mais l’administration veille aux intérêts de l’État. Ainsi,
nous avons eu sous les yeux la note administrative suivante d’un G.T.E. :
 » Les travailleurs étrangers porteurs de poux seront rasés sur le corps
entier. Les poils ainsi obtenus seront conservés, soigneusement triés et
remis au dépôt… ». » 50

ça vous étonne, ce qu’il se passe en novembre 2012?

yaakova

Deretour. Entièrement d’accord avec toi !!!
Que Hachem protège Israël et tous Ses Enfants !!!

franck75015

Juden,

nous demandons la fermeture des ambassades en Israël des états membres ayant voté pour la destruction de la Nation-Juive Israël et son remplacement par un état terroriste nazi islamiste.

Par ailleurs, nous demandons, la réduction de la représentation de l’ambassade américaine en Israël afin de sanctionner l’administration américaine anti-Nation-Juive pour avoir orchestrer et fomenter cette situation désastreuse où plus des deux tiers des Nations du monde ont voté pour l’anéantissement de la Nation-Juive Israël.

Que Le Maître du monde et son Oint protège la Nation-Juive Israël.

deretour

Je ne sais ce que l’on appelle un Colon ! La France compare et assimile israel à sa
colonisation en Algérie ! Mais ce n’est pas la même chose . car la France , Paris et les
autres villes n’était pas sur le même lopin de terre . Elle avait une base de repli , et pas
une petite . Je ne sais pas ce que l’on appelle un colon extrémiste . Qu’il y est des
personnes excédées par la situation …..c’est compréhensible .

Je vois surtout que l’Europe se mêle de ce qui ne la regarde pas !!

deretour

Je ne sais ce que l’on appelle un Colon ! La France compare et assimile israel à sa
colonisation en Algérie ! Mais ce n’est pas la même chose . car la France , Paris et les
autres villes n’était pas sur le même lopin de terre . Elle avait une base de repli , et pas
une petite . Je ne sais pas ce que l’on appelle un colon extrémiste . Qu’il y est des
personnes excédées par la situation …..c’est compréhensible .

Je vois surtout que l’Europe se mêle de ce qui ne la regarde pas !!

Armand Maruani

Ces maladies incurables qui sont la collaboration et la délation ! Avec ou sans Israël , un Juif reste un Juif . Par rapport à 40 les ingrédients sont les mêmes , sauf la sauce a changé .