Le ministre israélien des Affaires étrangères appelle à une réponse internationale face aux menaces iraniennes

Lors d’une rencontre à Jérusalem avec ses homologues britanniques et français, le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a exprimé une demande claire : en cas d’attaque directe de l’Iran contre Israël, il est essentiel que la communauté internationale, sous la direction des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France, se mobilise non seulement pour défendre Israël, mais aussi pour mener des frappes contre des cibles stratégiques en Iran.

Katz a souligné l’importance d’une coalition internationale unie pour contrer toute agression iranienne, en affirmant qu’une telle riposte serait la seule manière efficace de dissuader Téhéran. Il a insisté sur le fait que toute attaque contre Israël doit entraîner des répercussions sévères pour l’Iran, tant sur le plan stratégique qu’économique, afin de s’assurer que Téhéran paie un prix élevé pour son agression.

Cette déclaration a été faite suite à une rencontre avec David Lammy, ministre des Affaires étrangères britannique, et Stéphane Séjourné, ministre des Affaires étrangères français, lors de leur visite en Israël. Ce déplacement survient alors que l’armée israélienne est en état d’alerte, se préparant à des représailles potentielles de l’Iran et de son allié, le Hezbollah, suite à des événements récents.

Katz a également souligné que l’Iran représente le principal danger dans la région et qu’il est impératif pour le « monde libre » de stopper ses ambitions avant qu’il ne soit trop tard. Cette rencontre a eu lieu alors que des négociations cruciales se déroulent à Doha, avec la participation d’une délégation israélienne, pour parvenir à un accord sur la libération des otages et une trêve de six semaines dans le conflit à Gaza.

Ces discussions, menées sous l’égide des États-Unis, visent à instaurer un cessez-le-feu durable et à prévenir toute escalade qui pourrait entraîner une guerre régionale. Cependant, Israël s’inquiète que la menace iranienne encourage le Hamas à durcir ses positions, compliquant ainsi la conclusion d’un accord.

Katz a conclu en réaffirmant l’engagement d’Israël à tout faire pour obtenir la libération des otages, tout en avertissant que le Hamas pourrait choisir de compter sur une attaque iranienne plutôt que de poursuivre les négociations. Cette situation complexe nécessite une vigilance constante et une coordination internationale pour maintenir la stabilité dans la région.

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Franck DEBANNER

C’est juste bon à insinuer l’ombre d’un doute chez les radirans. Car hélas beaucoup de cette coalition imaginaire espèrent, Hass vé shalom, qu’Israël subisse des dommages. Cela dit les arabes sunnites seraient plus fiables que les déchets antijuifs occidentaux, dans une telle coalition.