Trump a ordonné à Netanyahou de faire demi-tour
Frappe israélienne limitée à Téhéran
Dans un climat de haute tension au Moyen-Orient, une frappe aérienne israélienne ciblant un radar au nord de Téhéran a marqué un tournant inattendu dans la confrontation entre Israël et l’Iran. Cette action limitée, mais symboliquement forte, s’inscrit dans un contexte diplomatique tendu où les États-Unis, par la voix de Donald Trump, ont directement influencé la réaction israélienne.
Une attaque sous condition
Alors que des explosions retentissaient dans le nord de la capitale iranienne, des sources militaires israéliennes ont confirmé au Jerusalem Post qu’il s’agissait bien d’une action de l’armée de l’air israélienne. L’objectif : un système radar iranien, visé dans une opération qualifiée de « symbolique ». Cette frappe, bien que restreinte, répondait à une double exigence : montrer une fermeté face à l’agression iranienne tout en respectant la volonté américaine de contenir l’escalade.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a confirmé cette frappe et précisé qu’elle constituait une riposte directe aux violations du cessez-le-feu par l’Iran. En effet, peu après l’entrée en vigueur d’une trêve convenue à 7h00 du matin, l’Iran a lancé trois missiles en direction d’Israël. Deux d’entre eux ont été interceptés, le troisième s’est abattu dans une zone inhabitée. Aucun blessé n’a été signalé.
Trump exige une désescalade
À peine cette riposte israélienne entamée, Donald Trump a exigé que les avions de chasse de Tsahal quittent immédiatement l’espace aérien iranien. Selon des sources américaines, le président, manifestement inquiet d’un embrasement régional, a ordonné à Netanyahu d’annuler toute attaque supplémentaire. Lors de leur entretien téléphonique, Trump a réaffirmé sa « reconnaissance envers Israël » pour avoir atteint ses objectifs militaires, mais il a également fait part de son agacement face à l’initiative israélienne.
« Je ne suis pas content d’Israël », aurait déclaré Trump, reprochant à son allié d’avoir agi sans attendre la fin de la période de 12 heures qu’il avait lui-même fixée. Le président américain s’est également dit contrarié par l’attitude de l’Iran, soulignant que les deux parties devaient désormais faire preuve de retenue.
Des frappes avant le cessez-le-feu
Avant que le cessez-le-feu ne prenne effet, les forces israéliennes avaient mené une opération d’envergure au cœur même de Téhéran. Plusieurs installations du régime iranien ont été visées, et des centaines de membres des milices Basij ainsi que des agents des forces de sécurité auraient été tués, selon les informations relayées par des responsables israéliens. Cette attaque massive semble avoir précipité la réponse iranienne, dont l’un des missiles a causé la mort de quatre civils à Beersheba.
Une médiation via le Qatar
Pendant que les dirigeants israélien et américain échangeaient, des représentants américains de haut niveau ont contacté l’Iran par l’intermédiaire du Qatar. Le message transmis était clair : cesser immédiatement toute attaque contre Israël. Cette initiative diplomatique montre la volonté de Washington d’éviter un nouveau cycle de violence dans la région, alors même que les tensions restent palpables.
Une équation stratégique délicate
L’épisode illustre la complexité des relations entre Israël, les États-Unis et l’Iran. Pour Israël, il s’agissait de répondre aux provocations iraniennes sans déclencher une guerre ouverte. Pour Trump, il fallait empêcher son allié israélien de franchir un seuil potentiellement incontrôlable. Le résultat : une opération militaire maîtrisée, mais révélatrice des tiraillements stratégiques auxquels les protagonistes doivent faire face.
En fin de compte, cette frappe ciblée, bien qu’isolée, envoie un message politique fort. Israël a réagi, mais avec modération. Une modération qui, selon plusieurs observateurs, n’aurait été possible sans l’intervention directe de Donald Trump.
Jforum.fr
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Après Biden la marionnette perroquet qui a obligé Israël/Tsahal à un cessez-le-feu à Gaza, voilà que notre ami TRUMP fait la même chose en Iran.
Le premier était obsédé par sa réélection, le second par un Prix Nobel de la Paix.
Le problème, c’est qu’il revient toujours à Israël à se coucher.
Est-ce un hasard si dans les deux cas, c’est le Qatar-Terroriste-Voyou qui cherche par tous les moyens à obtenir une capitulation de Tsahal à Gaza et qui manipule les Présidents des Etats-Unis ???
Bon, je ne voudrais fâcher personne, mais le patron aujourd’hui est Donald Trump, et je ne m’en plains pas, obama et biden ont ils fait mieux..? A moins avis, non, tant à l’intérieur des USA qu’à l’extérieur…
C’est toujours facile de reprocher à quelqu’un qui a fait le job, d’être un dictateur, quand personne ne se met au boulot, la critique est trop aisée..
Mission accomplie ou inachevée pour certains, les avis diffèrent..
Pour moi, c’est mille fois mieux que rien !
Rien n’est terminé, affaire à suivre donc.
TRUMP est atteint du syndrome de la grosse tête, celle qui fait perdre la notion des événements, y compris les plus dramatiques.
La seule chose qu’il ne fallait pas faire, il l’a faite : obliger Israël à un cessez-le-feu au moment où il fallait donner le coup de grâce aux enturbannés, et ensuite, s’occuper de l’élimination des chefs politiques y compris Khamenei, et enfin, aider le peuple iranien à prendre son destin en mains pour se libérer de ces criminels.
TRUMP est obsédé depuis un moment par la signature d’un accord avec les mollahs, alors qu’ils se foutent de sa gueule et le baladent comme un toutou.
Une réunion est prévue la semaine prochaine pour reprendre pour la milliardième fois des négociations qui vont renforcer les ayatollahs au lieu de les achever.
Israël n’a d’autre choix que de suivre TRUMP qui malgré toute notre affection, est en train de péter les plombs en public, et de se conduire comme un clown déjanté.
TRUMP agit envers Israël comme s’il était un Etat américain, c’est lamentable…..
Bonsoir.
Quand on a un allié comme Trump, on a pas besoin d’ennemi.
Heureusement, que B. Netahanayou a agi contre la volonté de Trump en attaquant l’Iran et en réussissant a convaincre Trump d’attaquer l’usine de Fordo, je ne suis pas certain que Lapid ou Benett auraient eu l’audace de défier Trump.Compte tenu des dégâts , qu’ont fait les missiles balistiques iraniens, je n’ose imaginer les effets d’une attaque iranienne surprise. Maintenant, on peut aussi en étant moins rationnel remercier la providence divine, qui a fait, que le Hamas attaque Israël le 7 octobre 2023 cassant ainsi le plan iranien, qui prévoyait une attaque conjointe du Hezbollah, de l’Iran, du Hamas et des Hiuthis contre Israël. Le revirement pour ne pas dire la trahison de Trump pour de basses raisons mercantiles réduit a neant les espoirs du peuple iranien et prouve, qu’Israel ne peut compter, que sur lui même.