Tel-Aviv, ses fêtes, ses airs bohèmes, son business florissant. Et sa gastronomie. La cuisine ici pourrait faire partie des dix commandements tant l’on goûte à toutes les saveurs du monde.

On commence la tournée des grands ducs au marché couvert de Sarona, nouveau spot pour foodies totalement réhabilité avec ses stands pour gourmets et comptoirs véganes. Dehors, dans un grand parc arboré, boutiques et restaurants chics se sont installés dans les bâtiments d’une ancienne colonie allemande.

On poursuit en allant grignoter des légumes grillés au pied de la Grande Synagogue, sur la terrasse bondée du resto Port Saïd, fief d’Eyal Shani, connu « pour murmurer à l’oreille des tomates ».

Le chef détient une bonne partie des restos branchés de Tel-Aviv comme l’incontournable bistrot chic North Abraxas, ou encore Romano, sa nouvelle cantine-guinguette nichée au 2ème étage d’un bâtiment brutaliste non loin de Neve Tzedek.

Enfin, pour le parfum levantin, impossible de faire l’impasse sur le Shuk HaCarmel. Carmel, ses étals de légumes et d’épices, ses stands de street-food et gargotes éthiopiennes. Ou filer plus au sud, au marché Levinsky, créé dans les années 1920 par des juifs d’origine grecque et turque.

C’est ici que viennent la plupart des grands restaurateurs se ravitailler de dattes chez Mandjoul, d’épices chez Ketter ou de pâte d’amande chez Albert (sa pâtisserie date de 1935 !). On y trouve aussi, dans des sacs en jute ou des caisses en bois, les citrons noirs et les pois chiches permettant de reproduire les recettes du célèbre chef Yotam Ottolenghi.

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Dorane Vignando

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