Et son fond de commerce, c’est la « cyber-guerre ». NSO et ses dirigeants font profil bas et peu d’informations sont disponibles les concernant. Son activité consisterait à développer des logiciels espions, vendus à des gouvernements, des services de l’armée et des agences de renseignement. Bref, des clients à pouvoir d’achat, dans des pays où les droits de l’Homme ne sont pas toujours la préoccupation
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