« Si Israël bombarde notre aéroport nous attaquerons le sien » (ministre libanais)

ANWAR AMRO (AFP)
Le président de la Chambre des députés Nabih Berri (à gauche), le président de la République Michel Aoun (au centre) et le Premier ministre Saad Hariri, le 31 janvier 2019 au palais présidentiel de Beyrouth
Le président de la Chambre des députés Nabih Berri (à gauche), le président de la République Michel Aoun (au centre) et le Premier ministre Saad Hariri, le 31 janvier 2019 au palais présidentiel de Beyrouth

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Bonaparte

Souvenirs , souvenirs :

Rappel :

Le 28 décembre 1968, après de multiples menaces, Israël lance une opération commando contre l’Aéroport international de Beyrouth (AIB). Bilan: 13 avions civils détruits.

Il était 21 heures 30, le trafic à l’AIB était habituel. Rien ne laissait présager de ce qui allait se passer. Pourtant, très vite c’est la catastrophe. Un des avions de la MEA s’apprêtait à décoller lorsque les portes s’ouvrent devant un militaire libanais qui demande aux passagers de quitter l’avion immédiatement. Quelques minutes plus tard, l’appareil flambait au milieu de la piste de l’aéroport.

L’attaque israélienne est brutale. Bilan: 13 appareils complètement détruits en moins d’une demi-heure sans provoquer la moindre réaction des forces de sécurité libanaises.

Israël menaçait, depuis quelque temps, de s’en prendre au Liban en riposte aux fréquentes attaques des fedayin, mais personne ne s’attendait à une telle agression. Quatre hélicoptères israéliens s’approchent de la côte sans être repérés. Profitant du facteur surprise, ils surgissent sur l’AIB, dans un parfait ensemble. Ils avaient très bien orchestré leur opération. Deux des hélicoptères doivent s’assurer de n’être la cible d’aucune riposte pendant que les deux autres déposent des bombes incendiaires sur les 13 avions se trouvant sur la piste dont quelques-uns appareillaient pour le décollage. Une bombe placée sur un quatorzième appareil ne fonctionne pas. C’est la destruction de toute une flotte aérienne civile.

Bonaparte

Liban : “Si Israël bombarde notre aéroport nous attaquerons le sien”

Israël connait bien l’aéroport de Beyrouth : Ont ils la mémoire courte ?

Il faudrait que leurs avions puissent prendre leur envol déja .

Bonaparte

Les pauvres , je les plains .

Rosa SAHSAN

Vous pouvez toujours rêver le Liban. Le temps que vous receviez les ordres tout sera rasé.
Quant à bombarder l’aéroport Ben Gourion essayez toujours.
ROSA

reza pahlavi2

Prêt à délimiter ? Oui mais seulement si c’est dans le sens du Liban …
Les libanais se prennent vraiment pour des gens importants à qui on doit tout .