La coalition pourrait diviser les réformes judiciaires et voter sur une partie du projet de loi.

Le Comité de la Constitution envisage de voter d’abord sur les modifications du comité de sélection des juges, empêchant le tribunal d’annuler les lois fondamentales.

Les partis de la coalition ont annoncé qu’ils envisageaient de scinder les réformes judiciaires proposées par le ministre de la Justice Yariv Levin et de voter sur un aspect des réformes, de modifier la composition du comité qui sélectionne les juges de la Cour suprême et d’empêcher la Cour suprême d’annuler les lois fondamentales, Kan Reshet Bet signalé.

Le président de la commission de la constitution de la Knesset, le député Simcha Rothman, devrait annoncer prochainement qu’il sépare ces deux questions du reste des réformes afin que la Knesset puisse les voter et les adopter séparément.

Les discussions tenues par le comité sur les réformes judiciaires au cours des deux dernières semaines ont porté sur ces deux questions. Au départ, la coalition avait l’intention de discuter lentement des différentes sections de l’ensemble de la réforme, puis de promouvoir également le projet de loi initial dans son ensemble. Cependant, le plan a maintenant changé pour promouvoir des parties du projet de loi et voter sur ces parties plutôt que sur l’ensemble du projet de loi à la fois, afin qu’un vote puisse avoir lieu bientôt. La coalition espère pouvoir organiser un vote sur ces parties des réformes dans les deux prochaines semaines.

De hauts responsables de la coalition ont exprimé leur soutien à l’offre du président Isaac Herzog de servir de médiateur dans les négociations entre les différentes parties sur les réformes judiciaires chez les résidents du président, et ont déclaré que le projet de loi actuel proposé par le ministre Levin pourrait voir des changements substantiels dans le cadre d’un compromis, mais a déclaré que les efforts pour faire passer la législation ne seraient pas arrêtés pour permettre aux négociations d’avoir lieu.

La présidente de la Cour suprême, Esther Hayut, a exprimé son consentement à un tel dialogue, mais pas en même temps qu’un processus législatif la menace. Dans le même temps, des éléments de l’opposition critiquent vivement la conduite du président de la commission de la constitution, affirmant qu’il sabote les discussions au sein de la commission et nuit ainsi à la possibilité d’un dialogue politique.

Source : israelnationalnews.com

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Charles DALGER

ATTENTION ! ! !

Attention à ne pas perdre de vue l’essentiel, à savoir, couper la tête d’Esther HAYOT et de ses complices !

Pour les idiots, couper la tête, c’est au sens figuré…

Dans une vraie démocratie, contrairement à ce que beuglent les vermines gauchistes, le pouvoir législatif fait les lois, et le pouvoir judiciaire applique les lois. En toute séparation.

La monstruosité du système en Israël, c’est que depuis longtemps avant Bibi, les dirigeants et les électeurs, ont accepté, en bronchant très peu, que les rats de palais s’arrogent le pouvoir de casser les lois qui leurs déplaisent et aussi de déclarer qui peut être éligible, ou non.

Ainsi, ימח שמום les rats de palais ont interdit d’abord Hagadol Hador, Rav Meir KAHAN, H.y.d. et son parti Kach, puis, entre autres, au fondateur de Otsmah Yehoudit, le docteur BEN ARI, de se présenter aux élections. Par contre, contre l’avis de la Knesset, ces rats-de-palais à exterminer, ont à de trop nombreuses reprises, autorisé des représentants des déchets terroristes, à siéger à la Knessetr ! Honte à eux et surtout honte aux tarés qui continuent de respecter ces rats !