20 mars 2023. Le jour où le Gouvernement a failli tomber
Réforme des retraites
Hier 20 mars, au vu des titres de la presse internationale lorsqu’elle traita de la France depuis jeudi dernier, tous ceux qui vécurent en direct la séance publique à l’Assemblée savaient que le monde regardait ce moment inédit au cours duquel les députés allaient voter les motions de censure déposées par les oppositions contre le gouvernement, après son recours au 49.3 pour faire passer la réforme des retraites.
Elles étaient 2, lesdites motions, celle dite LIOT et celle déposée par le RN, chacune devant, pour être adoptée, recueillir une majorité absolue des voix, soit 287 en l’état des bancs de l’Assemblée. Les regards étaient tournés vers les députés LR, qui seuls pouvaient faire pencher la balance pour faire aboutir la motion transpartisane.
Chaque groupe, selon un planning et aussi un timing établis, allait, via un orateur désigné, présenter sa position avant que s’exprime la PM.
C’est Charles de Courson, désigné par son groupe LIOT, qui donna le La, dénonçant un “déni de démocratie”: “Vous avez échoué à rassembler”, “tordu les procédures”, fustigea-t-il.
S’il fut rappelé à E. Borne par la Députée RN que le 49.3 avait été utilisé 11 fois et que le couac des 1200 euros fut souvent rappelé, le Président fut présenté comme “l’artisan du chaos, porté disparu”, et lorsque Hugo ou le Caligula de Camus furent convoqués, ce ne fut jamais à son avantage: Emmanuel Macron fut bien aujourd’hui désigné comme le grand responsable de la situation, le “mépris” duquel il fit preuve revenant plus souvent qu’à son tour dans les prises de parole, Olivier Marlis, Président du groupe LR, ayant eu les mots les plus durs, évoquant “six années d’un exercice isolé, parfois narcissique et souvent arrogant du pouvoir, comme insensible à la vie des Françaises et des Français”, fustigeant un Président “sans respect des Français”.
Chacun se souviendra que lorsque la PM arriva au pupitre, tous les Députés NUPES quittèrent la salle, attitude qui se voulait méprisante mais dont restera l’image méprisable de ceux qui mirent dès leur arrivée le souk à l’Assemblée.
“Si vous voulez renverser le gouvernement, vous en avez désormais la possibilité”, conclut Elisabeth Borne après avoir défendu sa méthode et pourfendu le manque de tenue des nouveaux venus.
Au total, même si dix-neuf députés LR votèrent la motion de censure transpartisane, le compte n’y fut pas et c’est ainsi que a motion de censure du RN à son tour rejetée, la réforme des retraites fut considérée comme adoptée il était 19h28.
Seules neuf voix auront manqué aux oppositions pour obtenir la majorité absolue et ainsi réussir leur coup de force. Malgré cela, ce vote laissera des traces indélébiles dans le camp présidentiel. On parle déjà d’une démission d’Élisabeth Borne que le Président n’accepterait pas.
Source: TRIBUNEJUIVE.INFO
Ont voté pour la motion de censure déposée par le @GroupeLIOT_An :
– 88 députés RN
– 74 députés LFI
– 19 députés LR
– 31 députés Socialistes
– 22 députés écologistes
– 22 députés GDR
– 18 députés LIOT
– 4 députés non inscrits#MotionsDeCensure #DirectAN #RéformeDesRetraites— LCP (@LCP) March 20, 2023
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Et dire que la révolution française de 1789 a eu lieu en France !
Même les idées de la Révolution Française de 1789 ne sont pas françaises, mais ont été empruntées à des cultures et peuples étrangers. Nous Juifs, n’avons pas attendu la fin du 18ième siècle pour affirmer l’absolutisme des droits fondamentaux, l’égalité devant la loi, ou rendre les politiciens responsables de leurs actes devant le Sanhédrin. On peut donc comprendre combien les prétendus »Lumières » pouvaient être des antijuifs viscéraux. Les français ont tellement besoin de se sentir supérieurs aux autres, qu’ils ne respecteront jamais l’égalité de droits. Cela leur donne l’illusion d’exister et d’être quelqu’un. Chercher à nier les crimes français de l’impérialisme colonial ou du régime vichyste en avançant les soi-disant acquis de la Révolution de 1789, n’a aucun fondement.
La France n’est qu’une fausse nation de ratés, haineux, jaloux des Juifs, pervers et corrompus, bêtes et méchants, destructeurs et lâches. Ce pays est effondré politiquement, et l’effondrement économique qui s’ensuit est inévitable. Aucun entrepreneur sensé ne va y monter des affaires pour raquer les charges sociales pour financer les comptes en Suisse des médicaillons, et payer des impôts et taxes pour financer la cohorte des bons à rien et des planqués, et encore moins pour les Juifs de chercher à produire de la valeur pour engraisser la descendance des collaborateurs et des nantis corrompus, etc.., ce qui n’est rien d’autre que de l’esclavage. La violence de la réforme du système de retraite n’est qu’un signe manifeste de l’effondrement économique de ce pays, car si les français produisaient suffisamment de richesse nationale, il n’y aurait pas besoin de faire autant de remous pour maintenir les caisses de retraite.
Il est difficile de rêver que ce pays de ratés va remonter à la croissance économique, ni même qu’il pourra tenir encore des décennies dans la stagnation et la récession. L’évolution la plus radicale va être soit la guerre civile, dont les prémisses sont déjà-là, soit, comme Daladier en 1939 et Guy Mollet en 1956, de lancer la guerre contre un ennemi extérieur. On voit bien que des politiciens n’attendent que la moindre provocation russe pour jeter le pays dans une guerre, perdante dès le départ, avec mise de la France en économie de guerre et déclenchement de la mobilisation des jeunes.
Les Juifs sensés n’ont pas à gâcher leur vie à être les esclaves de la descendance des collaborateurs et des nantis corrompus. Ce pays de ratés, pervers, corrompus et antijuifs est trop bien pour eux. Ils ont intérêt à laisser les bonnes places pour les autres, et fuir ce pays de souffrance et de misère, comme leurs ancêtres l’ont toujours fait dans l’Histoire. Tout le reste n’est que du commentaire et de la littérature. Juifs, vos valises sont-elles prêtes?