Guerre rapide d’Albert Soued
Pour terminer cette guerre rapidement Israël aurait eu besoin de l’aide occidentale et reconstituer la coalition internationale active lors des précédentes attaques iraniennes, en octobre et avril 2024, pour aider à neutraliser les missiles balistiques, comme le Qassem Basir, un missile à combustible solide d’une portée de 1 200 kilomètres et dispose d’un guidage amélioré et d’une résistance aux contre-mesures.
L’Iran affirme que le missile Qassem Bassir peut pénétrer les défenses antimissiles avancées et peut frapper des cibles sélectionnées (par exemple, des pistes, des hangars d’avions) avec une précision « extrême » sans GPS,
Du côté américain Israël a besoin des puissantes bombes antibunker Bunker Blaster bomb GBU-57 pour détruire les installations souterraines comme Natanz et Fordow.
La GBU-43/B Massive Ordnance Air Blast Bomb (MOAB) est une bombe guidée à effet de souffle massif de 10,3 tonnes, capable de détruire des infrastructures militaires majeures, y compris les usines nucléaires iraniennes.
Seuls de gros bombardiers tel que le B-52 Stratofortress est capable de transporter cette bombe. D’où la demande d’Israël pour que les Etats-Unis seuls possesseurs de ces outils interviennent pour finir le travail, dans le cadre de cette occasion unique.
Ces 2 manques retardent la fin des opérations et entraînent des dégâts importants en 3 jours: plus de 30 morts, des centaines de blessés, une centaine de bâtiments atteints et des dizaines complètement détruits.
Par Albert Soued, écrivain
Source: www.nuitdorient.com
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Et oui, Israël doit frapper vite et très fort. S’il ne peut atteindre les installations nucléaires, il devra éliminer toute la mollahrchie, y compris couper sa tête. Trump devra peut-être choisir : fournir l’aide nécessaire à Israël, ou trouver la tête de Rhameynei sur son plateau de petit déjeuner.
Il est clair qu’obtenir l’aide occidentale fait partie du rêve irréalisable !