Le Point « Dans les pas d’Abraham, en Palestine »: le tourisme dévoyé
Une chronique touristique qui s’arrête à Bethléem sans même noter la présence de la basilique de la Nativité, c’est un peu comme un guide de Paris qui oublierait Notre-Dame ou la tour Eiffel… Pour l’aspect touristique, c’est raté.
L’hebdomadaire Le Point a consacré une partie de son numéro 2460 du 17 octobre au plaisir en apparence innocent des voyages. Le dossier « Spécial tourisme » s’est intéressé à quatre pays ou régions : Canaries, Palestine, Equateur et Bretagne.
Côté Palestine, Christophe Migeon, un globe-trotter expérimenté qui publie régulièrement des récits de voyages dans la presse, invite les lecteurs sur un sentier de randonnée jalonné de curiosités historiques dans son texte intitulé « Dans les pas d’Abraham ».
Le « sentier d’Abraham » complet est un itinéraire piéton qui retrace le périple du patriarche biblique à travers plusieurs pays du Moyen-Orient.
« We will return » n’est pas un slogan folklorique pour les touristes
Le texte se veut un récit de voyage à l’attention des touristes. Mais sous cet aspect « loisirs » anodin, les attractions sélectionnées reflètent un narratif bien particulier, celui de la « cause palestinienne ».
C’est d’abord la visite du « Camp de réfugiée d’Aqbat Jaber ». L’auteur reprend sans autres le récit des familles « réfugiées » qui ont depuis 1948 « l’espoir de retrouver un jour le pays perdu ». Et de décrire « une clé monumentale, qui clame le mantra de 5 millions de réfugiés palestiniens : « We will return » (« Nous reviendrons »). »
C’est une reproduction fidèle de la propagande palestinienne, qui opère grâce à des non-dits :
- les vrais réfugiés arabes de 1948 ne sont plus que quelques milliers, âgés de 71 ans et plus. Les Palestiniens sont les seuls réfugiés au monde dont le statut se transmet de génération en génération, d’où le chiffre de 5 millions qui comprend principalement les enfants, petits-enfants voire arrière-petits-enfants des réfugiés. Ils ont même pour eux la seule agence de l’ONU dédiée à un groupe de « réfugiés », l’UNRWA, là où tous les autres réfugiés du monde dépendent de l’UNHCR ;
- il n’y aurait pas eu de réfugiés arabes si les pays arabes n’avaient pas déclenché une guerre d’extermination contre Israël dès la proclamation de son indépendance en 1948 ;
- si les réfugiés arabes de 1948 devaient retourner en Israël, les réfugiés juifs chassés des pays arabes à partir de la même époque et jamais mentionnés lorsqu’il est question des « réfugiés palestiniens » devraient-ils retourner dans leurs « pays perdus » – en Irak, en Algérie, tous ces pays dont ils ont été expulsés dans la violence ? Lire la suite dans infoequitable.org
J’ai lu cet article et en fut assez choqué , parlant du père de la religion= chrétienne , juive et de l’islam
L’auteur de l’article aurait pu commencer par les Juifs…..
Cet article manque totalement de profondeur et de vérité ……..
Ce n’est plus le Point on se croirait à l’immonde! Marre de ces mensonges de journalistes militants qui sont la honte de leur profession ! Propagande immonde !la Vérité desservant leur cause ils mentent et travestissent les faits !
Rien de neuf sous le soleil, une bande d’antisemite et arriérée infeodée à leurs musulmans.