Ces pays n’ont pas demandé un cessez-le-feu en 1944
Tensions entre alliés occidentaux
Huckabee critique les appels européens à l’arrêt des opérations israéliennes à Gaza
Les tensions diplomatiques s’accentuent entre Israël et plusieurs pays d’Europe de l’Ouest. Mike Huckabee, ancien gouverneur et désormais ambassadeur américain en Israël, s’est exprimé avec virulence contre la position adoptée par le Royaume-Uni, la France et le Canada, qui appellent à la cessation immédiate des opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza.
Lors d’une interview accordée jeudi à la radio de l’armée israélienne, Huckabee a dénoncé ce qu’il perçoit comme une incohérence historique de la part de ces puissances. « Ces pays, attaqués par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, n’ont pas demandé un cessez-le-feu mais ont poursuivi une victoire totale, bombardant l’Allemagne jusqu’à la capitulation », a-t-il rappelé, critiquant l’appel au « cessez-le-feu immédiat » qui, selon lui, reviendrait à récompenser l’agression du Hamas.
Une déclaration conjointe mal accueillie à Jérusalem
La réaction de Huckabee fait suite à une déclaration conjointe publiée le 19 mai par Ottawa, Londres et Paris. Le texte appelle Israël à « cesser ses opérations militaires à Gaza » et à « permettre l’acheminement immédiat de l’aide humanitaire ». Il soutient également la création d’un État palestinien dans le cadre d’une solution politique à deux États.
Ce positionnement a provoqué une vive réaction du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, qui y voit une tentative de contraindre Israël à interrompre une guerre défensive alors même que, selon lui, les infrastructures militaires du Hamas n’ont pas encore été démantelées. Dans un communiqué, il a dénoncé « une prime accordée à une attaque génocidaire » et mis en garde contre les risques d’encourager d’autres agressions de ce type si Israël était contraint de reculer.
Une pression internationale croissante
Au-delà des prises de position individuelles, c’est tout un contexte de pressions diplomatiques qui se dessine autour d’Israël. L’Union européenne a annoncé cette semaine qu’elle réévaluerait l’accord d’association régissant ses relations politiques et économiques avec l’État hébreu. De son côté, le Royaume-Uni a gelé ses négociations de libre-échange avec Israël. Plus symboliquement, Londres a imposé des sanctions ciblées contre des habitants juifs vivant en Judée-Samarie (Cisjordanie), un geste qui a été perçu comme un signal politique fort.
Pour Huckabee, cette série d’initiatives détourne l’attention du véritable responsable de la tragédie actuelle : le Hamas. Il a exprimé sa position sur les réseaux sociaux, affirmant que le groupe islamiste aurait pu mettre fin au conflit dès le 8 octobre 2023, lendemain de l’attaque surprise menée contre Israël. « C’est le Hamas qui a prolongé la souffrance de la population de Gaza », a-t-il tweeté. « Et je suis indigné de voir la France, le Royaume-Uni et le Canada pointer du doigt Israël. Ils doivent cesser cette inversion morale et faire pression sur les terroristes. »
Entre histoire et actualité : la guerre des récits
Le recours à l’histoire de la Seconde Guerre mondiale par Huckabee n’est pas anodin. En évoquant la stratégie militaire des Alliés contre l’Allemagne nazie, il entend souligner que les grandes démocraties occidentales ont elles-mêmes, en leur temps, refusé de négocier avec des ennemis déterminés à les anéantir. Selon lui, Israël agit de la même manière aujourd’hui face à une organisation terroriste qui ne reconnaît pas son droit à l’existence.
Cette référence historique, cependant, n’a pas été reprise par les diplomaties européenne et canadienne, qui insistent sur la nécessité de protéger les civils palestiniens et d’ouvrir un couloir humanitaire durable. La communauté internationale est de plus en plus préoccupée par les conditions de vie dans la bande de Gaza, où les opérations militaires ont provoqué des déplacements massifs et une crise humanitaire aiguë.
Une fracture diplomatique qui s’accentue
Les déclarations de Huckabee, bien que faites à titre d’ambassadeur, révèlent un climat tendu entre Israël et certains de ses partenaires traditionnels. Alors que Washington affiche un soutien plus réservé à la position israélienne ces dernières semaines, la prise de parole musclée de Huckabee pourrait également refléter une volonté d’apporter un contrepoids au sein même des cercles diplomatiques occidentaux.
Qu’il s’agisse d’un rappel historique ou d’une critique politique directe, cette sortie de l’ambassadeur américain souligne une divergence de plus en plus visible entre les capitales occidentales sur la manière d’aborder le conflit à Gaza. Une fracture qui, à défaut d’être comblée rapidement, pourrait affecter durablement la coordination internationale sur la scène proche-orientale.
Jforum.fr
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Pourquoi les alliés ne se sont pas manifestés après le 7 octobre pour éliminer le Hamas, et du coup éliminer les tortionnaires de leur propre peuple
Exactement! Ils n´ont rien fait de bon!
parce qu’ils envoient l’argent des contribuables européens à leurs protégés snas se préoccuper de la destination finale, le Hamas!!!Israel doit se passer de l’europe qui l’a trahi depuis longtemps
Enfin Israël a décidé de gagner vraiment la guerre contre la barbarie nazislamiste.
Un cessez-le-feu n’a d’intérêt que pour permettre au vaincu de signer sa reddition. Le hamaSS n’a pas encore pris assez de claques pour signer, que je sache.
le hamas est une pieuvre tentaculaire! Pour l´éliminer, il faut toucher au coeur, à l´islam!
C’est bien vrai, imaginez que début du débarquement les alliés cessent brutalement le feu et accordent à l’Allemagne nazie la possibilité de se réarmer et de réattaquer.
Comment l’histoire aurait jugé cette action ?
Tout le monde s’en fout de la population de Gaza.Ce n’ est qu’un prétexte pour sauver les terroristes. Le problème de ces pays et des autres, c’est qu’Israël, pour la première fois, mène la guerre comme il faut, et veut détruire ses ennemis une fois pour toutes.Ce n’ est pas une simple sortie défensive où l’ONU et ceux qui la composent demandent un cessez-le-feu dés que le sort de la guerre n’est plus à l’avantage des génocidaires arabes et les sauver pour leur permettre de se réoorganisent et repartir à l’assaut. C’est ça leur motivation parce que dans leur esprit, ils pensent qu’un jour ou l’autre, ils vont y arriver ou qu’Israël va se fatiguer et accepter leurs diktats !
Tout à fait ils comptent nous avoir à l’usure, et certains hayalim militantistes gauchiasses et defaitistes leur donnent ces signaux de fatigue…Nous userons l’intégralité des 50 milles rats castrés(ou ce qu’il en reste) qui ne sauront CERTAINEMENT JAMAIS avoir raison de 9 millions(ou même en ne comptant pas nos gauchiasses mondialistes 4 millions) d’habitants…
Excellente réplique de l’ambassadeur US aux 3 félons occidentaux
Je rappelle que Macron a négocié 1 milliard d’Euro avec le Hezbollah la priorité pour la reconstruction du port de Beyrout à condition de mettre des bâtons dans les roues d’ISRAEL (peu importe si l’antisémitisme augmente en FRANCE).
Et il tient à sa com !!!
A bon entendeur…
Normal. La France, l’Angleterre et le Canada ont peur que les Islamistes qui se la coulent douce dans leur pays, ne se soulèvent s’ils ne critiquent pas ISRAEL.
Et puis fini les cadeaux généreux du Qatar pour les Dirigeants…
tout est dit ..
Non tout n’est pas dit. Il faut se rappeler qu’en 2006, après des tergiversations de Tsahal dues à un commandement déplorable et un président du conseil gauchiste, Tsahal avait enfin commencé à infliger une raclée au hezbollah qui était 100 fois moins puissant qu’en 2025 et sur le point d’être anéanti pour de bon. Mais voilà, le voleur magouilleur nommé chirac, a promis monts et merveilles à nos tarés de dirigeants pour arrêter l’offensive étant donné que ça devait lui donner des coliques de constater que le petit pays devait mettre en déroute une entité terroriste, parmi les plus puissantes, alors qu’à la suite de l’assassinat des 50 paras français, pour se venger l’aviation franchouillarde, a bombardé et tué 3 moutons. Voila-t-il pas que celui qui est devenu président par défaut avec le report des voix arabes de mélanchon, a voulu cloner le voleur chirac en tentant de sauver le hezbollah. A son grand désarroi, cette fois-ci, malgré mes plus grandes craintes, car nos dirigeants gobent toujours les promesses faites par ceux qui veulent nous anéantir, ça n’a pas marché , puisque le hezb. est quasiment liquidé, du moins militairement. Depuis et c’est plus que visible, le gesticulateur dans tous les sens dans le vent, en veut davantage qu’auparavant à Israël, donc aux Juifs