Ces documents se trouvaient à bord de la première sonde spatiale israélienne Bereshit lorsque celle-ci, manquant son atterrissage, s’est écrasée à la surface.
Convaincu que sa « bibliothèque lunaire » a survécu au crash, telle la boîte noire d’un avion, l’Arch Mission Foundation (AMF), organisme à l’origine du projet, a lancé une véritable chasse au trésor pour en retrouver la trace.
Le tout pèse à peine 100 grammes.
L’AMF estime que les disques ont pu être éjectés à quelques kilomètres à la ronde autour du site d’impact.
À cause d’un défaut de moteur, la sonde Bereshit aurait percuté le sol lunaire à une vitesse de plusieurs centaines de km/h, dans la mer de la Sérénité, son site d’atterrissage prévu.
Le président de l’AMF a mis en place un Google Doc partagé intégrant les spécificités de Bereshit et de la « bibliothèque lunaire », ainsi que les conditions connues du crash.
La sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) pourrait fournir de nouvelles informations lorsqu’elle aura survolé la zone, en repérant potentiellement un cratère d’impact ou des débris.
Ce qui est certain ce ne sont pas les arabes qui les auraient volés .