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Tortures au Bataclan : mensonges d’Etat ou vaste intox?

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ATTENTION EDITORS - VISUAL COVERAGE OF SCENES OF INJURY A French policeman assists a blood-covered victim near the Bataclan concert hall following attacks in Paris, France, November 14, 2015. Gunmen and bombers attacked busy restaurants, bars and a concert hall at locations around Paris on Friday evening, killing dozens of people in what a shaken French President described as an unprecedented terrorist attack REUTERS/Philippe Wojazer - RTS6X0S

Attentats de Paris: Y a-t-il eu des actes de torture lors de la prise d’otage du Bataclan?

VRAI / FAUX Des rumeurs, reprises par certains médias, affirment que les victimes de l’attentat du Bataclan auraient été torturées pendant la prise d’otage…

Illustration du mémorial en hommage aux victimes de l'attentat devant le Bataclan, le 26 novembre 2015.
Illustration du mémorial en hommage aux victimes de l’attentat devant le Bataclan, le 26 novembre 2015. – Alain ROBERT / SIPA

Des corps « décapités », « égorgés », « éviscérés », a raconté l’un des témoins de l’attentat du Bataclan. Interrogé dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire relative aux moyens mis en œuvre par l’Etat pour lutter contre le terrorisme rendue publique mardi dernier, ce brigadier-chef a laissé entendre que les terroristes avaient commis des actes de barbarie pendant la prise d’otages de la salle de concert. Une rumeur qui s’est depuis largement propagée dans la presse, du journal britannique The Sun au magazine français d’extrême droite Valeurs Actuelles. Mais ces éléments ne permettraient pas de conclure clairement à des actes de torture. Explications.

Que disent ces rumeurs ?

Elles reprennent en réalité deux témoignages. Le premier est celui de M. T. P., un brigadier-chef, qui était sur place le soir du 13 novembre et a témoigné devant la commission d’enquête parlementaire. Il raconte que « des corps n’ont pas été présentés aux familles parce qu’il y a eu des gens décapités, des gens égorgés, des gens qui ont été éviscérés. Il y a des femmes qui ont pris des coups de couteau au niveau des appareils génitaux. »

Le deuxième témoignage est rapporté par le président de la commission qui cite une lettre anonyme envoyée par le père d’une des victimes. L’homme affirme que l’institut médico-légal où il s’est rendu pour voir son fils lui aurait confié « qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré. » C’est à partir de ces deux éléments que la rumeur s’est construite.

D’où viennent-elles ?

D’après Le Monde, les premiers sites Internet à avoir fait circuler ces informations seraient français et tous les deux liés à la mouvance d’extrême droite. Les articles évoquant ces deux témoignages les présentent comme des informations que le gouvernement aurait cachées aux Français. Les deux sites qui seraient à l’origine de ces allégations sont Panamza, un site qui relaie des théories conspirationnistes, et Breizh Atao, tenu par le blogueur breton Boris Le Lay condamné en 2015 pour antisémitisme. De nombreux sites de la même sphère ont diffusé cette interprétation.

Pourquoi ces rumeurs ne sont-elles pas crédibles ?

Parce que le policier qui évoque ces actes de torture s’appuie sur le témoignage de l’un de ses collègues qu’il lui aurait décrit les blessures. « […] j’ai vu sortir un enquêteur en pleurs qui est allé vomir, a-t-il raconté lors de son audition. Il nous a dit ce qu’il avait vu. Je ne connaissais pas ce collègue, mais il avait été tellement choqué que c’est sorti naturellement. » Et il reconnaît ne pas en avoir été directement témoin. « […] Je suis entré au niveau du rez-de-chaussée où il n’y avait rien de tel, seulement des personnes touchées par des balles. »

Autre motif de prudence : le témoignage écrit du père de la victime n’est confirmé par aucune expertise de la part de l’institut médico-légal ni par la présence sur place d’armes blanches ayant pu servir à de tels actes. Interrogé par la commission, le procureur de la République de Paris, François Mollins, dément d’ailleurs formellement cette possibilité. « C’est une rumeur, a-t-il déclaré. Les médecins légistes ont été formels : il n’y a pas eu d’acte de barbarie, pas d’utilisation, notamment, d’armes blanches. Selon un témoignage, les testicules d’une personne auraient été coupés, mais aucune constatation n’a permis de le corroborer. » De même qu’aucun témoignage de personnes se trouvant elles aussi au Bataclan cette nuit-là.

Marthe Ronteix

20minutes.fr

Dernier article en Date : 

Attentat du Bataclan : les mensonges de l’Etat et des médias pour protéger l’islam

Pourquoi la salle du Bataclan, après la tuerie du 13 novembre 2015 qui fit 90 morts et d’innombrables blessés parmi les spectateurs, fut-elle placée dans un isolement total durant plusieurs semaines, avec interdiction aux journalistes, aux familles et aux avocats des victimes d’y pénétrer, et une partie des enquêtes officielles placées officieusement sous le sceau d’un Secret d’État ?

Quelle autre explication à ce linceul de silence qui recouvrit ce macabre attentat terroriste, que d’étouffer des révélations explosives risquant de déboucher sur une réaction islamophobe du peuple français contre la communauté musulmane en général ?

Comment croire à la thèse du complot, à des rumeurs et autres propagandes dites populistes, alors même que la presse étrangère, donc libre puisque placée hors des griffes de l’oligarchie élyséenne, a publié les zones d’ombre du rapport parlementaire français qui suivit, en apportant de surcroît des témoignages hallucinants de familles des victimes sur l’état des cadavres mutilés dont certaines dépouilles révélaient incontestablement des traces visibles de tortures physiques infligées à l’arme blanche ?

Au nom du « pas d’amalgame » et du « calmer-le-jeu », mais aussi pour protéger les intérêts stratégiques de la France et de l’Allemagne qui commercent avec les émirats du Golfe, mais aussi pour ne pas porter ombrage à la théocratie musulmane turque membre de l’Otan, et de façon plus générale pour ne pas noircir davantage l’image déjà passablement flétrie de l’Islam, ses intolérances et ses barbaries dans ses rangs terroristes, voire éviter des représailles patriotes contre la communauté musulmane intégriste retranchée dans les zones de non-droit, la vérité a été confisquée aux Français.

Pourquoi ? Parce que l’État barbouze et oligarque juge que les citoyens du terroir ne sont pas prêts à accepter cette réalité politiquement incorrecte, que le peuple électeur n’est pas assez mature et risque de sombrer dans un conflit de civilisation. Mais en filigrane, il s’agit également que ne soit jamais révélées les concussions de trop nombreux dirigeants, dont certains proches de François Hollande qui ont déjà été inquiétés au motif de corruption, d’enrichissement personnel, de blanchiment de bakchichs aux couleurs des pétrodollars et de fraude fiscale avec détention de fonds dans des sociétés offshore, et cela dès les premiers mois de la dernière élection présidentielle. La vérité lorsqu’elle dérange doit être désapprise, gommée, et tant pis pour les dégâts collatéraux !

De ce qui fut reconnu pour être de l’Info par Valeurs actuelles et de l’intox pour Le Monde par les médias étrangers, l’information, quelle qu’elle soit, est à prendre avec précaution, voire circonspection. Les victimes du Bataclan n’auraient pas seulement été tuées par balle ou par explosion, mais certaines d’entre elles auraient été préalablement torturées. Ces actes gratuits et racistes qui auraient été dissimulés par les pouvoirs publics, ne relèvent pas d’une surenchère populiste d’extrême-droite contre l’idéologie musulmane, ce qui arrangerait les prétendues bonnes consciences, mais d’indices concordants constatés par des familles de victimes et d’observateurs étrangers. En outre, les parents et proches des jeunes qui furent lâchement assassinés ne sauraient être assimilés à des comploteurs, et pas davantage les États membres de l’Union d’alors, comme la Grande-Bretagne ou la Belgique.

Valeurs actuelles a fondé ses allégations en épluchant le procès-verbal de la commission d’enquête parlementaire disponible en ligne (déposé le 5 juillet 2016 sous le numéro 3922, donc consultable sur l’internet). Quelques policiers font état de scènes insoutenables d’énucléations oculaires, d’émasculations et de décapitations. L’un de ces agents de la police judiciaire rapporte avec force détails : « Il y a eu des personnes décapitées, égorgées, éviscérées… Il y a eu des mimiques d’actes sexuels sur des femmes et des coups de couteau au niveau des appareils génitaux. Si je ne me trompe pas, les yeux de certaines personnes ont été arrachés ».

Un père de l’une des victimes relate sa démarche pour la reconnaissance de son enfant à la morgue, assisté par un psychologue qui l’a prévenu avec précaution que seul le côté gauche de son fils était présentable. Autrement dit, un œil avait été extrait de son orbite et le reste du visage écrasé. Nonobstant ces faits macabres qu’aucun parent n’oserait inventer en de telles circonstances, tout fut contesté en vrac par le préfet de police et par le directeur de la PJ : « Les blessures que décrit ce père peuvent aussi avoir été causées par des armes automatiques, par les explosions ou par les projections de clous et de boulons qui en ont résulté ». Oui mais… ces représentants de la Républiques ont-ils seulement fait la démarche d’aller examiner l’état de ces corps refroidis dans les tiroirs de cet institut médico-légal parisien ?

Pourtant, selon le député et magistrat (ancien premier juge d’instruction, puis procureur-adjoint au TGI de Bourg-en-Bresse et substitut général à la Cour d’appel de Lyon) Georges Fenech : « On lui aurait mis ses testicules dans la bouche ». Cette torture, aussi cruelle qu’infamante, était une pratique très courue parmi des membres du FLN contre les civils et militaires d’origine métropolitaine durant la guerre d’Algérie. Cela sous-entend que ce supplice hérité de l’histoire des Musulmans séditieux du Maghreb entre 1954 et 1962 est toujours enseigné dans les milieux intégristes musulmans, vraisemblablement dans certaines mosquées intégristes et les sombres quartiers des zones de non-droit essentiellement arabophones.

Pour enfoncer le clou, le Daily Mail (presse britannique) allégua que le gouvernement socialiste français aurait interdit aux médias de répandre de telles informations à propos des monstrueuses tortures infligées à plusieurs victimes durant cette attaque terroriste au Bataclan. Le Daily Mirror relate à son tour le témoignage de deux survivantes qui déclarèrent avoir entendu des hurlements de douleur qu’elles relient à de tels actes en l’absence de coup de feu. Enfin, sachant que les tabloïds anglo-saxons n’ont pas forcément bonne réputation, le site Heatstreet mena une enquête contradictoire mise en ligne, regroupant plusieurs autres témoignages aboutissant à la conclusion incontournable de mutilations, de décapitations et autres tourments physiques sur les malheureux enfermés durant plusieurs heures à la merci de leurs tortionnaires.

La presse dite mainstream (sous contrôle de l’État, consensuelle ou placée sous la menace de violence économique) emboîte le pas au Monde et conteste ces révélations insoutenables. Le procureur de Paris, François Molins, les nie en bloc, ce qui sous-entend une partialité, sachant bien que refuser de croire que ces terroristes, armés de fusils automatiques, ne soient pas équipés d’armes blanches offensives, est peu crédible. La vérité ne saurait siéger dans une affirmation à connotation politique, en rappelant que les magistrats de l’ordre administratif sont hiérarchisés, donc aux ordres de l’État. De sorte que le mensonge, par la voie de la dissimulation ou de glauques compromis – via Matignon – avec quelques responsables de la communauté musulmane, est aussi une spécialité de la justice administrative.

D’aucuns doutent de la probité des déclarations de certaines des familles des victimes, eu égard à leur temps de réaction tardif. Cependant, il faut comprendre ces familles qui n’imaginaient certainement pas en ces moments de douleur morale et de sidération psychique, que l’État français allait leur confisquer le droit de communiquer en interdisant aux médias de relayer leurs informations. Il en ressort que les médias dits alternatifs (les non-alignés du monde social-démocrate), lesquels ont pris le relais pour lever ce couvercle de silence, furent immédiatement taxés d’affabulateurs et de fomenteurs de trouble. Pourtant, nul doute que cette honteuse mystification des pouvoirs publics cache une autre vérité puisque derechef, l’Exécutif a lancé un appel à la « responsabilité » des médias à dessein d’éviter des « amalgames », cela afin de « contrôler l’émotion suscitée par ce carnage » ?

Les conclusions du rapport de la commission d’enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme ne sont pas simplement accablantes pour les services de renseignement français dont elles pointent les dysfonctionnements (1), mais elles attestent de la mainmise des pouvoirs publics sur les libertés fondamentales au nom d’un consensualisme patriote et multiculturel. Derrière cette omerta fatalement suspecte, vient se glisser des manœuvres frauduleuses venant de représentants élus par le peuple, et vraisemblablement en aval, des pratiques politico-diplomatiques de la chancellerie en vue de maintenir des relations économiques et commerciales avec les monarchies de la péninsule arabique, dont une partie des tractations vient grossir les portefeuilles moins patriotiques dans les paradis fiscaux à l’abri des indiscrétions.

Ledit rapport d’un millier de pages, mis en œuvre par l’État contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2016 (tome II), reproduit les comptes rendus d’auditions. Ce document n’est pas seulement accablant pour les services de renseignements qui ont mis en place la loi relative au renseignement depuis juillet 2015, complétant le Livre de la Sécurité intérieure (Voir de l’auteur : « La nouvelle pensée unique en social-démocratie – Haro contre le lobbying liberticide des faiseurs d’opinion ! » aux Éditions L’Harmattan, juillet 2016), mais il pointe l’incurie d’un système qui pénalise bien davantage les Français lambda à qui les hackers du Gouvernement siphonnent toutes les informations de leur existence, que les terroristes eux-mêmes, lesquels usent – et pour preuve les attentats qui se sont multipliés et rapprochés depuis – de procédés de communication qui échappent à la surveillance du Big-Brother de la place Beauvau.

La commission ad hoc aura auditionné quelque 190 personnes pendant plus de 200 heures durant près d’un semestre : fonctionnaires de police, témoins, parents et proches des victimes… Certains témoignages concordent pour corroborer la thèse complotiste, à savoir que les assaillants musulmans se seraient livrés sur leurs victimes à des actes de barbarie, dont l’acharnement ne saurait s’expliquer sur des victimes prises au hasard, lesquelles n’ont aucune relation avec l’Islam. Devant la déclamation d’un témoignage ahurissant : « On m’a dit qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche et qu’il avait été éventré », la logique voudrait que l’on ne saurait agir avec une telle fureur contre une personne que l’on ne connaît même pas. Pourtant, il suffit de lire le Coran pour comprendre que cela est possible, puis encore de s’informer de l’actualité mortifère au Moyen-Orient et en Afrique, pour reconnaître les mêmes pratiques chez les nébuleuses terroristes de Daesh ou de Boko-Haram et d’une vingtaine d’autres groupes islamiques qui ensanglantent la planète.

Pourtant, à la page 441 du rapport susvisé, il s’inscrit ces atroces constatations rapportées par un praticien indépendant à un parent de l’une des victimes présentée à l’Institut médico-légal de Paris : « La seule partie montrable de votre fils est son profil gauche », ou encore suivant les révélations qui suivent : « J’ai constaté qu’il n’avait plus d’œil droit […]. Il m’a été répondu qu’ils (les forcenés musulmans) lui avaient crevé l’œil et enfoncé la face droite de son visage, d’où des hématomes très importants que nous avons pu constater lors de sa mise en bière ». De telles blessures infligées ne sauraient provenir d’une arme de poing tirant des balles de gros calibre, sinon emporter tout ou partie le visage, et non pas arracher un œil sans perforation de l’autre côté du crâne ni de balle non retrouvée logée dans le cortex.

Afin de se dédouaner, le président de la commission s’est retranché derrière les officiels et les hauts fonctionnaires de police sous les ordres du ministre de l’Intérieur. Selon l’antenne française Russia Today (RT : chaîne de télévision d’information internationale), ce fut le préfet de police de Paris, Michel Cadot, directement en lien de subordination et nommé par le ministre de l’Intérieur, puis le procureur de la république, François Molins, désigné par décret simple du président de la république, ainsi que le patron de la police judiciaire de Paris, Christian Sainte, qui tous trois ont soutenu la thèse du complot afin de laver le culte musulman de tout lien avec les terroristes responsables d’actes de torture sur les victimes du Bataclan.

Or, ces trois hauts fonctionnaires n’ont jamais pénétrés dans l’enceinte de la salle des concerts immédiatement après les fusillades, et ne peuvent donc pas témoigner de ce qu’ils n’ont pas vu à l’instar des gardiens de la paix qui sont entrés les premiers sur les lieux du massacre. En affirmant unanimement n’avoir découvert quoi que ce soit en relation avec des tortures, ces trois personnalités judiciaires se posent en parfaite contradiction avec les fonctionnaires de la BAC (Brigade anti-criminalité, le Raid), qui ont attesté d’une vraisemblable décollation de l’une des victimes. Georges Fenech, (op. cit), président de la commission parlementaire demande : « Ce témoignage précis pourrait-il corroborer celui des fonctionnaires de la BAC, selon lequel des enquêteurs auraient constaté une décapitation » ?

En disqualifiant les témoignages des parents de victimes, en faisant de l’absence de preuves (photo, film, témoin oculaire) une certitude, les chiens de garde du Gouvernement transforment une plausible dénégation en conviction tangible, nonobstant les indices convergents sur le terrain. Alléguant qu’une blessure par balle peut infliger les mêmes lésions qu’une arme blanche, ces fonctionnaires en col blanc infirment toutes les lois de la balistique et font fi des sciences médico-légales. Cependant, les témoignages réunis dès la page 355 du rapport récoltés en audition de la commission du 21 mars 2016, font état d’une autre version de la réalité. Parmi ces témoins (désignés sous l’acronyme MTP), un brigadier-chef de la BAC, premier sur les lieux du drame le 13 novembre 2015, affirme avoir entendu des gémissements significatifs hors des lieux de la fusillade, alors que l’agent, confronté aux terroristes, se trouvait à l’entrée de l’une des issues supérieures du Bataclan (Passage Saint-Pierre-Amelot).

Alain Marsaud, député membre de la commission d’enquête, poursuit l’interrogatoire du policier, à savoir : « Si les actes de torture ont bien été perpétrés au 2ème étage du bâtiment » ? Et le témoin de répondre : « Je pense, car je suis rentré au niveau du rez-de-chaussée où il n’y avait rien de tel, seulement des personnes touchées par balles ». Cette déposition venant d’un agent professionnel des forces de l’ordre atteste de la capacité d’un policier à distinguer les blessures par balles même déchiquetantes, de mutilations de corps avec prélèvement d’organe ou de partie d’un corps (tête, sexe, œil…). En l’occurrence, des femmes ont reçu des coups de couteau au niveau de l’appareil génital, ce qui confirme les constatations des parents de victimes au 1er étage : « Des corps n’ont pas été présentés parce qu’il y a eu des gens décapités, égorgés, éviscérés ».

Une campagne médiatique d’intimidation et de menaces fut menée par le Gouvernement contre la diffusion des images et des prétendues « rumeurs » susceptibles d’inquiéter la politique de l’immigration, dont les milliers de réfugiés syriens et irakiens que l’UE, dont Angela Merkel et François Hollande en tête, avait réussi, nonobstant l’opposition et les craintes de l’opinion publique, à faire accepter ce flot d’immigrés sur le territoire de l’Union, sachant que des terroristes s’y trouvent infiltrés par Daesh. Afin que ce carnage ne nuise pas davantage à cette politique irresponsable, la police fut chargée, dès le 15 novembre 2015, de ne pas diffuser de photos ou de films autour de la scène de ce carnage, pouvant suggérer de telles horreurs ou conduire le public à un amalgame avec l’Islam.

À l’appui de cette politique de l’autruche, les autorités politiques au pouvoir et leurs sycophantes, se sont empressés d’accuser les sites alternatifs dits de réinformation (autrement dit les non alignés de la sacro-sainte coterie sociale-démocrate), en agitant l’épouvantail de la droite populiste et raciste ou en se faisant les défenseurs de la dignité des victimes et de leur famille, lesquelles n’ont pas accepté cette protection puisqu’ils se sont constitués partie civile contre l’État. Les Inrockuptibles, pourtant classés à gauche, dans un communiqué du 18 novembre 2015, affichèrent un compte-rendu cinglant quant aux communications irréalistes de l’État autour de cette tragédie. Tandis que le journal Le Monde s’est efforcé de défendre la position frileuse voire pusillanime du Gouvernement, notamment en la personne de Christiane Taubira, alors garde des Sceaux, qui s’efforça de ne pas accabler la communauté musulmane pourtant incubatrice de ces terroristes, comme en se retranchant derrière le martyr du petit réfugiés Aylan retrouvé noyé sur le littoral européen de la mer Méditerranée.

Passé la première vague d’émotion nationale, les médias au garde-à-vous sous l’enseigne sociale-démocrate se sont peu à peu tus, et les présomptions de tortures s’effacèrent de la mémoire collective. De sorte que les « témoignages glaçants des rescapés du Bataclan », selon l’expression reprise par Le Monde, perdirent de leur effet sur le public désinformé qui passa fatalement à d’autres sujets d’actualité. Ce fut ainsi que le témoignage d’une prénommée Alice (qui réclama l’anonymat pour sa sécurité), alors cachée pendant très de trois heures dans les toilettes de la salle des concerts, passa à la trappe. Or, cette dernière raconta dans le quotidien du soir : « À un moment, ils (les terroristes) se sont intéressés à notre porte. Ils disaient “Sortez, c’est le Raid” » !

Or, de l’autre côté de la cloison, alors que les chargeurs des kalachnikovs étaient vides, les massacres n’avaient pas cessés pour autant. « On entendait hurler, puis plus rien » expliquait Alice. Elle et ses compagnons d’infortune étaient alors persuadés que les assaillants achevaient les blessés. « Peut-être à l’arme blanche » suggéraient-ils. « C’était des francophones, des gamins qui riaient d’un rire d’adolescent en demandant à un mec de baisser son pantalon » précisa-t-elle. Comment de hauts fonctionnaires peuvent-ils ignorer que des jeunes terroristes décervelés qui se réclament de Daesh n’adoptent pas leurs mêmes pratiques barbares, par la décapitation et l’émasculation dont ils se sont rendus coutumiers ? Comment des élus, à qui les électeurs ont offert leur confiance, osent-ils brader la République en la répudiant, en violant le serment de la servir, de restituer au peuple la vérité, cela en les trahissant de la façon la plus sordide, par le mensonge, la dissimulation et l’imposture ?

Que nenni, aller vérifier des informations et pousser l’enquête jusqu’à son terme fut jugé dangereux pour lui-même par le pouvoir exécutif depuis les plus hautes sphères du pouvoir. Plus que cela, il fallait taire les réseaux sociaux après avoir convaincu, par le chantage du retrait de subventions, des aides d’État ou des attributions des faisceaux hertziens, la grande presse télévisuelle ou écrite ; un berlusconisme qui ne se nomme pas ! Twitter et Facebook, entreprises de droit privé mais placées sous le joug d’injonctions comminatoires, cédèrent l’un après l’autre en bloquant les tweets polémiques car révélateurs d’une horrible réalité politiquement insoutenable. Selon la politique du « contenu retiré en fonction du pays émetteur », la démocratie a perdu son âme, exactement comme le souhaitent les fondamentalistes musulmans promoteurs d’un grand khalifat théocratique, déjà donné gagnants sur ce registre à l’agonie de nos libertés, l’éradication des standards constitutionnels et l’effondrement de nos valeurs.

—–

(1) https://francais.rt.com/opinions/24050-terrorisme-faillite-services-renseignement-cooperation-internationale

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Myriam

Je suis islamophobe car l’islamophobie n’est-ce pas la peur de l’islam, dont on voit les ravages sanglants chaque jour au nom de cette croyance. Je ne veux pas de mal aux gens qui se réclament d’elle qui n’ont pas de mauvaises intentions mais n’est-il pas normal de dénoncer la dangerosité de ceux qui tuent en son nom?

Rony d'Alger

@ Sylvie.
Merci pour vos encouragements mais je pense que nous devrions être plus nombreux à relever les méconnaissances de tous ceux qui ont été culpabilisés par l’accusation « d’islamophobie », accusation inventée, de toutes pièces, par l’ayatollah rudlolah khomeini et destinée à empêcher toute analyse critique de l’islam et donc à instaurer, de fait, le délit de blasphème. Et comme, au bout d’un certain temps, le fait s’impose au droit, les islamistes de France espèrent empêcher le poindre murmure sur » la religion d’amour et de paix ». Encore faut il préciser de quel amour et de quelle paix il est question. Mais bien évidemment d’amour de la mort, et donc de la paix des cimetières., qui en est l’aboutissement logique.

aval31

Ca va tout simplement se terminer par le génocide des petits blancs et la nucléarisation des petits malins bobos qui auront survécus en collaborant.

sylvie

Rony d’alger j’adore vous lire
Cette façon cinglante de déglinguer l’islamo gauchiste est unique
Vous devriez déserter ce site de merde qu’est JSS modéré par l’idiot de service Gally qui donne toujours raison au plus con .
c’est devenu un repère de catho prosélytes faux amis d’israël et recruteurs d’extrème droite
Regardez votre dernière intervention très justifiée sur cette petite perverse d’amie de notre dame de sion qui insulte nos cimetières d’alger,d’oran ou d’orléanville ,c’est immédiatement la levée de boucliers des klébards du taulier : victor le simplet et son bouffon lourdaud yehoudi , les 2 voyoux pornocrates qui polluent tous les posts et font régner une ambiance de mafia
Regardez comment ce Charles Martel qui écrit les pires horreurs sur les juifs en France est publié sur le forum
Regardez comment un crétin nommé smolsky visiblement affecté par sa double origine vomit en permanence sur les sépharades , l’orient et réclame même des pogroms allant jusqu’à faire fuire de délicieux contributeurs sefs écoeurés de la modération

Rony d'Alger

Mais madame Dominique bonfils , il est exact que les islamo-nazis du fln, pendant le conflit en Algérie, entre 1954 et 1962, et même après, ont de façon quasi systématique, procédé de la sorte, en égorgeant et émasculant les soldats et civils français, en leur mettant leurs organes génitaux dans la bouche, car dans la société musulmane, hystériquement focalisée sur le sexe et maladivement obsédée par de nombreux tabous, toutes ces pratiques, où l’être humain est considéré comme un simple mouton égorgé lors de la « fête » de l’aïd el kebir, permettent, sans doute dans leur esprit simpliste, de se rapprocher de leur prophète, coutumier de ce genre d’horreurs. Vous n’avez que 50 ans et n’avez donc pas pas vécu pendant la rebellion du fln en Algérie. Prenez connaissance du massacre de Mélouza, où de malheureux villageois, arabo-berbères, soupçonnés d’être des sympathisants du MNA ( mouvement nationaliste algérien) de Messali Hadj, beaucoup moins violent que ledit fln, furent assassinés, femmes, enfants et nourrissons compris. Et comble de l’horreur, un fer rouge fût passé sur les pieds des victimes, afin de guetter le moindre tressaillement, pour être certains de leur mort. Et il y eut des centaines d’autres Mélouza, de moindre ampleur, qui n’eurent pas le même retentissement, laquelle tuerie de Mélouza avait fait près de trois cents victimes. Constatez tout simplement ce qui se passe actuellement en Irak, au Yémen, en Syrie, où la cruauté est systématique à l’égard de leurs « frères » arabes. Notons que ce dernier conflit a fait plus de 300 000 morts, sans que la gauche, et l’extrême gauche , françaises n’aient organisé la moindre manifestation de protestation. Silence total du parti communiste, toujours stalinien, de l’ami des islamistes, mélenchiotte, et de tous les autres politiquement pourris. A Alger, il était très courant de voir des musulmans mutilés, avec un appendice nasal manquant, car ils avaient été attaqué par des terroristes du fln, celui-ci ayant ordonné auxdits musulmans de ne pas fumer, afin de boycotter l’industrie française du tabac. Madame, manifestement, vous ne savez pas grand chose des pratiques des sociétés arabo-musulmanes; aussi, je vous invite à contacter des femmes maghrébines, victimes des fureurs de l’islam, et qui luttent courageusement pour leur liberté, et tout simplement pour leur vie.

mandelkorn

le bataclan avait pour dirigeant des propriétaires juifs

Marc

Egalement faux : ces propriétaires avaient vendu le Bataclan quelques mois auparavant.

Laurent

Cet article est tellement bourré d’amalgame et de raccourcis que, même si on y trouve de vrais infos (il semblerait en effet qu’il y ait eu des tortures), il perd toute crédibilité. Si vraiment l’auteur voulais dénoncer quelques choses, le fait de faire des raccourcis honteux, digne de l’extrême droite, rend sont discours complètement sans intérêt.

dominique Bonfils

Les civils et militaires d’origine metropolitaine pendant la guerre d’Algérie ? Je crois que tout est dit ! Je n’ai jamais préjugé quiconque, ni quelque religion que ce soit mais cet « article » est tellement odieusement anti musulmans qu’il n’a aucune crédibilité! J’ai 50 ans, je suis française et catholique de naissance et de coeur, et je ne lirais plus jamais sur ce site. Honteux!

André

C’est juste une mauvaise syntaxe ou tournure de phrase qui vous met dans cet état ? Franchement votre réaction est ridicule.

germon

Oui on camoufle, on ment, on protège les barbares mais on n »a pu empêcher le corps médical de nous faire part des affreuses mutilations des victimes attestant une collaboration à l’intérieur du Bataclan. Encore une fois le Pouvoir comme avec l’Affaire Dreyfus, l’incompréhensible défaite de la France en 40 (lire:  » cette étrange défaite » par Marc Bloch ») et autre manigances politiques depuis 60 ans, bafoue la République et ses citoyens.

pnak

Les citations en italique ne sont pas dans le procès-verbal de la commission d’enquête parlementaire numéro 3922. cet article semble etre faux …