Après des années dans l’armée et la police à avoir à faire face aux bombes et aux mines dans l’ex-Yougoslavie, au Liban et en Irak, Goran Mansson est maintenant de retour et donne des conseils aux Suédois sur quoi faire si ils trouvent une grenade non explosée dans leur rue ou dans une aire de jeux.

En tant que chef d’escouade antiterroriste dans la ville portuaire à l’ouest de Malmö, Mansson a été très occupé avec une douzaine attaques à la grenade au cours des derniers mois. Ils ont choqué ce pays nordique qui se targue de la sécurité, et conduit à des soucis sur la criminalité hors de contrôle qui ouvre la voix à une politique d’extrême-droite qui accuse les gangs d’immigrants de cette violence.

« Il est étrange de faire presque la même chose à Malmö que ce que je faisais en Irak », a déclaré Mansson dans son quartier général, où des grenades non explosées – fabriqués dans l’ex-Yougoslavie – étaient soigneusement alignés sur son bureau.

Les attaques, ainsi que d’autres bombes placées dans des voitures et des parcs, ont blessé deux personnes cette année, mais tué personne. Le motif des cibles – à partir appartements à bureaux et un bâtiment abritant une célébration du Ramadan – semble aléatoire. Personne n’a été arrêté.

La meilleure estimation, disent les experts, est une guerre de territoire de gangs rivaux.

D’origine irakienne Ghanem Almanei décrit l’attaque lors de la célébration du Ramadan, en présence de quelque 50 personnes: «Ce fut une très grosse bombe Il y avait les femmes, les filles à l’intérieur. ». Almanei dit, la voix tremblante, une demi-heure après les hommes sur des motos a lancé une grenade contre le bâtiment. «Je ne me sens pas en sécurité maintenant dans ce pays. »

Ces incidents ont attiré l’attention sur la violence liée aux gangs dans l’une des villes  de l Suède, où le taux de chômage atteint 40 %   principalement dans les zones immigrants.

La bombe et les attaques à la grenade  (6 en 2014) les tirs : dans la ville voisine de Göteborg deux hommes masqués ont ouvert le feu dans un bar, tuant deux personnes et en blessant au moins 10 personnes.

« Ces attaques créent la terreur et profitent à l’extrême droite », a déclaré Joakim Palmkvist, un journaliste suédois et auteur de guerre de Mafia. « L’effet général est d’effrayer le public dans une mesure qui a été inconnue avant. »

Alors que la plupart des Suédois sont ouverts aux immigrants, l’extrême droite des Démocrates de Suède est devenu le troisième plus grand parti au parlement lors des élections de l’an dernier, en partie en exigeant une répression sur l’immigration et la criminalité.

 

today’s zaman traduction JForum

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Laurence

L’immigration qui n’est plus une migration mais une conquète !

Au Bengladesh ils ont renvoyés des migrants dans leur pays !!!