© 2009 AFP (Jim Watson)
Le président américain Barack Obama a pesé de tout son poids sur les dirigeants israélien et palestinien qu’il a réunis pour la première fois mardi à New York pour les amener à se serrer la main et les presser de reprendre au plus vite les négociations.George Mitchell, l’envoyé spécial de Barack Obama pour le Proche-Orient, a reconnu mardi que des divergences persistaient entre Israéliens et Palestiniens pour une relance de leurs négociations, après un sommet à New York sous les auspices du président américain.
Tout en affirmant que des progrès avaient été accomplis, George Mitchell a ainsi reconnu que ce sommet n’avait pas donné lieu à une percée alors que les négociations entre Israéliens et Palestiniens sont arrêtées depuis fin 2008.
« Les deux parties cherchent à relancer les négociations le plus vite possible bien qu’il y ait des divergences sur la manière de procéder », a-t-il dit devant des journalistes.