Rabachée, comme d’habitude, « l’importation » supposée du conflit palestino-israélien qui ferait tache en matière de consensus pour la « lutte contre le terrorisme ». Ou l’aveuglement antisioniste, jusqu’au bout des ongles, tout autant que la prétention d’édicter des règles à un autre Etat, en matière de résolution (vote en faveur de l’Etat terroriste de Palestine, sans négociation avec l’intéressé), en France socialiste prête à tous les compromis avec la doxa islamonazie.
NDLR : En réalité, on peut croire que la concurrence liée à la campagne électorale interne, Lieberman et Bennett se décidant à faire preuve de solidarité avec la communauté juive, a eu, finalement, un impact positif, poussant Binyamin Netanyahu à forcer la main à un pays, la France, qui ne voulait ni de lui ni, d’ailleurs, d’Abbas, au départ, du moins.
Ce dernier, à l’invitation expresse de la France, pour ne pas laisser à Israël l’occasion de rappeler à quel point ce pays est marqué, historiquement, par l’empreinte du terrorisme palestinien sur les siens, est venu chercher une forme de brevet de « respectabilité », alors qu’il ne cesse, en arabe, de faire l’apologie des terroristes palestiniens. [Ce qu’il a récidivé, dès le lendemain, par compte Facebook du Fatah interposé, en faisant l’apologie de Dalal Moughrabi, qui a tué 37 IsraliensArticle original.
Mais, puisque Netanyahu venait, il ne pouvait pas faire moins que de tacher de le « marquer à la culotte » comme on dit dans le monde du rugby. D’où cette impression de confusion extrême, où le loup et l’agneau, en matière de terrorisme, semblent cohabiter ensemble pour ce grand selfie mondial sur lequel il fallait, à tout prix, figurer…
Des centaines de Juifs participent à une réunion d’information pour l’Aliyah, une question qui fait polémique.
. Dominique Faget (AFP). « French President Francois Hollande (R) welcomes Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu (L) at the Elysee Palace before attending a Unity rally “Marche Republicaine” on January 11, 2015 in Paris »
La France s’est initialement opposée à la présence du Premier ministre Benyamin Netanyahou à la marche historique de dimanche à Paris, a confirmé le Bureau du Premier ministre dimanche.
Selon la chaîne israélienne Arutz 2 citée par le site Times of Israel, Paris voulait éviter tout élément de « division », et toute mention du conflit israélo-palestinien à la manifestation organisée en solidarité et en défiance à la série d’attentats qui a couté la vie à 17 personnes.
Lorsque François Hollande a appris que le Premier ministre israélien avait l’intention d’assister à l’événement (option qu’il avait d’abord écartée, pour raisons de « sécurité »), il aurait personnellement invité Netanyahou à se rendre en France, selon le reportage.
En réaction au changement d’Idée de Netanyahou, l’Elysée aurait alors adressé une invitation au président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
Cette information survient alors qu’une polémique autour de la place des Juifs en France a émergé, plusieurs responsables israéliens les appellant à faire leur « alyah » (immigration en Israël).
Plus tôt dimanche, des centaines de Juifs français ont participé à une réunion d’information organisée par l’Agence juive pour l’Aliyah (immigration) en Israël, tenue sous haute sécurité dans le centre de Paris. La réunion avait été planifiée avant les événements tragiques de la semaine.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) « respecte » la décision des Juifs qui partent en Israël mais juge qu’il faut « combattre en France » les « ennemis du judaïsme », a déclaré dimanche son président, Roger Cukierman, à l’issue d’un entretien avec François Hollande, quelques heures avant la tenue de la « marche républicaine ».
« Ceux qui prennent la décision de partir vers Israël, nous ne pouvons que respecter leur décision mais nous estimons que nous devons combattre en France contre tous les ennemis du judaïsme », a-t-il dit, interrogé sur les propos du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, qui avait estimé qu’Israël était le « foyer » des Juifs de France.
Cette position, a toutefois déclaré le président du CRIF, « correspond au sionisme fondé par Theodor Herzl ». Israël est « un refuge pour tous ceux qui se sentent en danger », a-t-il encore relevé.
Polémique sur l’Alyah des Juifs Français
Le Premier ministre, Manuel Valls, avait réagi samedi soir à M. Netanyahou, assurant que « la France, sans les Juifs de France, n’est plus la France », lors du rassemblement à Vincennes en mémoire des victimes.Kenzo Tribouillard
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Kenzo Tribouillard (AFP). « Le Premier ministre Manuel Valls serre la main de personnes participant à un rassemblement le 10 janvier 2015 Porte de Vincennes, près de la supérette casher attaquée la veille «
« Il est hors de question de céder à la terreur. Il nous faut rester debout dans la dignité, continuer de vivre notre vie de citoyen et de Juif », a pour sa part déclaré à l’AFP le grand rabbin de France, Haïm Korsia, peu après sa sortie de l’Elysée.
« Il ne faut plus parler de responsabilité mais de devoir », a ajouté le chef religieux de la communauté juive de France, ajoutant qu' »il est de notre devoir de stopper ceux qui sont une menace pour la société ».
D’autres responsables israéliens, comme l’ex-ministre des Finances Yair Lapid ainsi que le ministre de la Défense Moshe Ya’alon ont également appelé de leurs voeux la venue des Juifs de France en Israël.
Israël est le seul pays qui comptera plusieurs représentants lors de la « marche républicaine » à laquelle participeront le Premier ministre Netanyahou, le chef de la diplomatie Lieberman, le ministre de l’Economie Bennett, et le réprésentant de la Knesset Eli Yishai.
Première d’Europe et troisième dans le monde après Israël et les Etats-Unis, la communauté juive française, inquiète de la recrudescence des actes antisémites dans l’Hexagone, a constitué en 2014 la première source d’émigration juive vers l’Etat hébreu.
Le président français François Hollande et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou ont été ovationnés dimanche soir à leur entrée dans la Grande synagogue de Paris, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Les deux dirigeants participent à une cérémonie d’hommage à toutes les victimes des attentats de Paris, parmi lesquels figurent quatre juifs tués vendredi par Amedy Coulibaly, le preneur d’otages d’un supermarché casher de la capitale française.
[(i24news avec AFPArticle original)
MANIFESTATION CHARLIE – Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est invité lui-même à la manifestation de dimanche à Paris contre le terrorisme islamiste, alors que la présidence française lui avait demandé de ne pas venir, ont rapporté différents médias israéliens.
Irritée, la présidence française a répondu au gouvernement de Benjamin Netanyahu que, puisqu’il insistait, elle inviterait le président palestinien Mahmoud Abbas, ont rapporté la chaîne Channel 2 et d’autres médias à sa suite. Ils expliquent le forcing israélien par la campagne en cours pour les législatives anticipées du 17 mars.
Un semblant d’unité
La présence dimanche du Premier ministre israélien à seulement quelques mètres du président palestinien en tête de la manifestation de dimanche autour du président français François Hollande a été largement interprétée comme un signe de la communion de la communauté internationale autour de la même cause.
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Les dirigeants marchant côtes à côtes ce dimanche 11 janvier en vidéo :
En fait, quand la France a commencé à envoyer les invitations, le conseiller diplomatique de François Hollande, Jacques Audibert, a indiqué au conseiller à la sécurité nationale de Benjamin Netanyahu, Yossi Cohen, que le président français préférerait qu’il ne vienne pas, écrit sur son site le quotidien Haaretz en citant une source israélienne informée des contacts entre les deux pays.
Ne pas détourner l’attention
Le président de la République ne voulait pas que le conflit israélo-palestinien ou la question des relations entre juifs et musulmans par exemple détourne l’attention du message de la manifestation, a dit Jacques Audibert à son interlocuteur en espérant la compréhension israélienne, selon le Haaretz.
Benjamin Netanyahu aurait dans un premier temps accepté. Mais quand il a appris samedi soir que les ministres des Affaires étrangères Avigdor Lieberman et de l’Economie Naftali Bennett se rendraient à Paris pour défiler et rencontrer la communauté juive, il a informé les Français qu’il participerait également, dit le Haaretz.
Avigdor Lieberman et Bennett conduisent tous deux des listes de droite concurrentes à celle du représentant israélien aux législatives. Paris, énervé, a alors décidé d’inviter Mahmoud Abbas, écrit le Haaretz.
Aucune réaction n’a été obtenue des gouvernements israélien et français lundi.
Les participations des deux dirigeants à la marche de Paris n’ont été annoncées que très tard samedi. Mahmoud Abbas avait même dit auparavant au président français regretter que certaines circonstances, à commencer par la neige, l’empêchent de prendre part, selon son ministre des Affaires étrangères Ryiad al-Malki.
[Le HuffPost / AFPArticle original
Publication: 12/01/2015 14h32 CET Mis à jour: 12/01/2015 15h28
Personnellement, je n’ai pas souhaité participer à cette marche pour une raison très simple à savoir la présence de Mahmoud Abbas, terroriste patenté, et des membres du Qatar et des émirats du golfe dans le cortège des « chefs » d’état étrangers.
Cette démarche souligne, une fois de plus, la légèreté des politiques qui sont prêts à n’importe quelle posture, pourvu qu’elle aille dans le sens des affaires à traiter avec ses voyous.
Que ces Arabes financent les terroristes, n’est pas contradictoire avec les problèmes de sécurité lié au terrorisme.
40 ans de diplomatie Française:
Divorce Forcé entre la FRANCE et ISRAEL, pour un Mariage forcé entre la FRANCE et les ARABES
Cri des premiers nés:
« allahakbar, allahakbar etc….. »
Bravo BIBI, d’être venu avec beaucoup de présence. Même si les médias n’arrêtaient avec leurs toujours et même débile leïtmotive « Bibi et abbas » (du nom de terroriste Abbou masel) comme si tout ce qui se passait dépendait de cela. En attendant Abbas faisait plutôt petit nabot abandonné avec un gros bâton dans le cul.
Il nous faut briser le silence de Radio Alger de François Hollande: « les beurs sont dans les épinards », maintenant.