Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité Palestinienne a de nouveau menacé de couper les liens avec Israël si sa dernière initiative unilatérale à l’Organisation des Nations Unies (ONU) échouait.S’exprimant lundi, devant des journalistes au Caire, en marge de la conférence des bailleurs de fonds internationaux sur la reconstruction de Gaza, Abbas a déclaré que ses entretiens avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry n’avaient pas porté leurs fruits et que l’Autorité palestinienne entendait maintenant se tourner encore une fois vers le Conseil de sécurité de l’ONU et fixer un délai pour obliger Israël à « mettre fin à l’occupation ».

« Si tous nos efforts échouent, nous mettrons fin à nos relations avec Israël et “je demanderais au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de prendre la relève» ainsi c’est exprimé Abbas.

“Toutefois, je ne démantèlerais pas l’Autorité palestinienne, en revanche je vais présenter une demande d’adhésion à toutes les organisations appartenant à l’ONU « , a-t-il ajouté.

Le projet de résolution que M. Abbas envisage de soumettre au Conseil de sécurité s’intitulerait « mettre fin à l’occupation d’ici novembre 2016”.
Le ministre russe adjoint des Affaires étrangères a annoncé dimanche que la Russie soutenait le mouvement. En 2012, l’Autorité Palestinienne s’était déjà tournée de manière unilatérale vers l’Organisation des Nations Unies et avait réussi à etre reconnue comme un Etat observateur non-membre par l’Assemblée générale.

Depuis lors, l’Autorité palestinienne a menacé à plusieurs reprises de se tourner vers les institutions internationales et de poursuivre Israël devant la Cour pénale internationale si les pourparlers de paix échouaient.

D’autre part, hier M. Abbas a également déclaré aux journalistes que la réconciliation avec le Hamas ne s’opérera pas avant les élections législatives et présidentielles. Il a ajoute que le gouvernement palestinien d’unité dans la bande de Gaza existait mais il tout de même a admis que « le Hamas contrôle toujours la situation sur le terrain».

[Par Roger Haddad pour -Tel-Avivre –
Article original

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marman68

Absolument qu’est ce qu’il attend pour rompre avec Israël, car Israël n’a absolument pas besoin du Hamas,
Israël est assez riche, et a suffisament de richesse, pour suffire à vivre, en deux mots Israël n’a pas besoin du Hamas, car de toute façon le Hamas n’apporte que destruction, meurtre, assassinat, et guerre, et j’irai même jusqu’à conseillé à Israël de virer le Hamas de chez eux

laurent_1000

>>Abbas menace de couper les ponts avec Israël<< ? Pourquoi attendre ...

Armand Maruani

{{En fait nonisme s’écrit avec un seul N .}}

{{J’ai fait exprès de l’écrire avec deux N pour l’esthétique .}}

{{Je ne sais pas si je me suis fait comprendre . Ce n’est pas grave .}}

Armand Maruani

{{Est ce qu’un jour dans sa vie il va sortir de sa bouche un mot positif ou constructif ?}}

{{Je n’ai jamais vu de ma vie des mecs pareils .}}

{{Depuis Kartoum , ( souvenons nous des NON , NON ,NON ) , ils sont tous frappés de non…nisme et de désir de destruction .}}

{{Le seul instant où ils affichent à leur face de rat un petit sourire de satisfaction c’est quand ils passent à la caisse pour percevoir leurs chèques cadeaux .}}

rahm

Pauvre Palestine, Pauvre Peuple Palestinien !

Par Joseph Farah, journaliste Arabe Américain au http://www.worldnetdaily.com
7/10/2014
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La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?
Eh bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter les jets de pierres et les tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés.
Surpris ?
Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six Jours en 1967, il n’y eu aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne ?

« Avant 1967 ? » me direz-vous, « les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem ». C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est.
Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non.
Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre ?

La vérité est que la Palestine est un Mythe !
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins.
Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès. La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire. Jamais !
Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans — qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays –, par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale.
Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain.
Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens — la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques.

Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale ! Mais cela est encore trop pour les Arabes. Ils veulent TOUT. Et c’est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël.
Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas.
Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : « la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam , après la Mecque et Médine ».
Eh bien, sachez que c’est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem.
La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais — inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah — !
Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem.
Alors comment Jérusalem est-elle devenu le troisième lieu saint de l’Islam ?
Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée « le Voyage Nocturne » (1). Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit « du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte ».
Au 7ème siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Il n’existe aucune base solide qui prouverait qu’il est question de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem.
Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham.

La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?

Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité.
La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs.

Note de Francis NADIZI, islamologue
(1) Il n’existe aucune base solide qui prouverait qu’il est question de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem dans le vague passage du Coran, la 17ème Sourate intitulée « le Voyage Nocturne ».
Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar. Durant cette période, il n’y avait que des églises dans la ville. Sur le Mont du Temple, se trouvait l’église byzantine de Sainte Marie. Vers l’an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l’église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l’incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu’elle n’exista que trois générations après sa mort. D’ailleurs Mahomet n’éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ces fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les juifs de se tourner vers l’islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l’interdiction de prier en direction de Jérusalem.
Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.

Elie

….C’EST UN COMIQUE CE PRESIDENT D’UN ETAT QUI N’EXISTERA JAMAIS !!!!!

PRESIDENT D’UN PEUPLE DE BEDOINS VENUS DES PAYS ARRIERES POUR QUEMANDER

UN MORCEAU DE PAIN AUX JUIFS QUI ONT FAIT D’UN PAYS DE SABLE L’UN DES

PAYS LES PLUS MODERNES ET AVANT-GARDISTE DU MONDE !!!!

QU’ILS RETOURNENT EN JORDANIE BOIRE LEUR LAIT DE CHEVRE ET FAIRE LA SIESTE,

OU MANDIER COMME ILS SAVENT LE FAIRE AU RESTE DU MONDE !!!