Les musulmans murés dans leur silence sont les alliés naturels des terroristes djihadistes

Plus de 22 000 attentats terroristes dans le monde dont le Tsunami terroriste qui déferle sur les peuples syriens et irakiens et ses dommages collatéraux sur la Tunisie et la France sont à l’actif des musulmans depuis ce jour funeste du 11 septembre 2001.

Ce sont bien souvent les musulmans eux-mêmes qui sont les premières victimes de cette déferlante qui sonne comme le prélude du Grand Effroi coranique.

Le monde semble s’installer dans une banalisation du terrorisme qui remplit son quotidien au point que les attentats terroristes sont commentés comme des simples rencontres sportives; Comme si l’on cherchait à relativiser leur portée, pour occulter les vraies causes qui les fondent et reléguer au second plan moins les acteurs que leur idéologie fortement imprégnée de religion.

Rarement on s’interroge sur la nature toxique de la source à laquelle s’abreuvent les acteurs terroristes

Alors que tous se revendiquent de la religion musulmane à laquelle ils dédient leurs forfaits comme s’ils étaient des trophées de guerre, ou plutôt un trophée sportif appelé à être rangé dans l’inconscient collectif de leurs frères musulmans.

Les Merah, les Ben Laden, les Nemouche, les frères Kaouchi, les Ghannouchi, les Ali Belhaj, les Omar Bachir, grand génocidaire devant Allah et grand ami du nouveau Calife Musulman l’Emir du Qatar, les Ghannouchi, nouvel Emir de la Tunisie malgré son pedigree terroriste, les frères Tsarnaev font figure de héros dans l’imaginaire de leurs coreligionnaires. Eux qui n’ont fait que venger l’affront fait à l’islam par cet Occident qui un jour finira lui aussi par se plier à la loi de l’islam.

En effet, les musulmans connus pour leur état d’altération intellectuelle et leur absence de discernement ont l’art de se déculpabiliser en imputant à leurs victimes la cause de leur propre mort. Adulés et admirés comme s’ils avaient remporté la médaille d’or olympique, ils avaient fait flotter le drapeau musulman, de couleur noire portant mention de la profession de foi chère au coeur de chaque musulman, au plus haut mât de la victoire. Celle sur le mécréant ou pas tout-à-fait musulman.

Le terrorisme est vu comme un jeu, ses auteurs sont promis à la gloire éternelle sur terre comme dans l’au-delà quant à leurs victimes, elles sont considérées comme une question de détail, comme des adversaires vaincus sur le champ sportif. Personne ne va compatir sur leur sort. Surtout qu’en leur qualité de non-musulmans, elles ont payé le prix de leur insoumission au Dieu des musulmans.

Tant que perdure la culture du martyr puisant ses sources dans le Coran lui-même, le terrorisme dans le sens du djihad armé a encore de belles années devant lui. Qu’ils soient collectifs ou isolés, il est une composante essentielle de l’islam, une obligation cultuelle qui pèse sur les musulmans. Rien ne saura par conséquent l’enrayer.

A peine, les feux des projecteurs commencent à se détourner des attentats de Boston, ils ont été aussitôt rallumés par ceux qui ont visé l’Ambassade de France à Tripoli et celui évité de justesse à Toronto.

Au-delà de la nationalité des auteurs, c’est la religion qu’ils professent qui doit interpeller l’opinion publique. Il ne s’agit ni de faire le procès des musulmans et de leur imputer la responsabilité collective des crimes commis par leurs frères, ni de les stigmatiser, mais de les mettre en face de leur propre responsabilité morale et intellectuelle pour qu’ils cessent de surfer sur la victimisation de leur religion.

Qu’ils sachent que c’est au nom de l’islam que tous ces crimes sont commis et qu’ils ne font rien eux-mêmes pour enrayer cette spirale infernale. Qu’ils admettent que l’islam présente un réel péril pour la paix dans le monde et qu’en se murant dans leur déni de la réalité ils ne font qu’alimenter la phobie de l’islam. Qu’ils se rendent à l’évidence que tous les milliers d’attentats qui émaillent la scène mondiale et empoisonnent leur propre quotidien ne sont pas l’oeuvre d’athées, de « mécréants » ou de moines bouddhistes et qui ne font que conforter la thèse liant violence et islam.

L’amalgame ce sont les musulmans eux-mêmes qui le font en ne démarquant pas officiellement des agissements de leurs coreligionnaires et les bannir de leur sein. Comme s’ils avaient peur de commettre un sacrilège et d’enfreindre l’enseignement coranique. Belliciste et haineux.

Cette majorité qui soi-disant est étrangère à ces attentats qui sont devenus la préoccupation majeure de la communauté internationale, sait-elle que par son attitude trouble et ambiguë, elle ne fait qu’apporter de l’eau au moulin de tous qui doutent du caractère pacifiste de l’islam ? Est-ce que par exemple les tunisiens, les jordaniens ou les libyens sont-ils sortis dans la rue pour manifester leur opposition à l’envoi des djihadistes en Syrie pour tuer leurs propres frères musulmans ? Oserions-nous imaginer un jour entendre les musulmans partout dans le monde crier leur rejet de la barbarie qui est devenue la marque de fabrique de leur islam qu’ils se plaisent à draper dans les habits immaculés de la vertu qui n’a jamais été la sienne ? Comme aussi les imaginer organiser des journées de jeûne et de prières en guise de protestation contre le djihad qui répand la mort et brise des destins et surtout symptomatique du Grand Effroi coranique ? Sont-ils capables d’envoyer un message fort au monde entier et surtout à ceux qui soufflent sur la braise de la violence et excitent les pulsions terroristes latentes chez les musulmans : stop à la récupération de notre religion à des fins terroristes ?

Il est grand temps que les musulmans comprennent que s’ils veulent réellement défendre leur religion, ce n’est pas en se voilant la face et continuer à s’enfermer dans leur déni mental qu’ils vont pouvoir y arriver. Qu’ils fassent la même lecture littéraliste des sources que leurs frères intégristes mais de manière objective, distanciée et rationnelle afin qu’ils réalisent d’eux-mêmes que les lois de leur religion sont incompatibles avec les standards des lois humaines.

Il ne s’agit pas de réformer l’islam, mission impossible à mener, mais il s’agit d’extraire le ver venimeux du fruit musulman et que s’ils ne font rien pour y remédier, il va finir par se muer en cancer à l’état de métastase mortel pour eux-mêmes et leur religion.

L’Occident héritier de Machiavel qui feint sa bienveillance à l’égard de l’islam est entrain en réalité de lui faire subir le même sort qu’il a fait subir aux fascistes et aux communistes qui ne jouent pas dans la même catégorie qu’eux pourtant, mais que l’Occident a vaincus.

Que dire alors de ces potiches musulmans, éternels dominions, des marionnettes, consuméristes pathologiques, fatalistes, abrutis et avachis par leur religion, plus préoccupés par le tourments de la tombe et les prébendes divines que par les bienfaits de la vie terrestre que l’Occident n’a même pas besoin de combattre puisqu’il y a longtemps qu’ils lui ont abandonné la partie ?

Diaboliser pour mieux achever

Il revient aux musulmans de sauver leur religion en témoignant de leur volonté de vivre en paix et en harmonie avec le reste du monde. Mais ont-ils cette force mentale avec une religion qui a fait de la soumission un marqueur génétique ?

Salem Ben Amar

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BAY

L’islam est une fausse religion, et comme elle est intrinsèquement violente, elle est très mal compris du reste de l’humanité, qui est en cela le pire des totalitarisme après le nazisme et le communisme.

marman68

L’islam est une très mauvaise religion, pourquoi me direz-vous? Et je vous répondrait que c’est une mauvaise religion parce qu’elle n’accepte pas la critique, c’est en acceptant pas la critique qu’ils deviennent des extrémistes Qu’en pensez-vous ???

poid lourd

Bonjour, de mon humble et modeste point de vue c’est plus un système politique qu’une religion, refuser toute critique c’est se croire parfait, cette opinion conduit au fanatisme aveugle que celui-ci soit religieux ou idéologique.
Ils seraient capables de nous expliquer sans honte que Boko Haram fait de l’humanitaire en semant des cadavres et en ayant fait fuir environ un million de personnes qui vivaient en paix. Cordialement.