Si vous devez avoir un AVC, il est préférable de le faire en Israël.

Si vous devez avoir un AVC, il est préférable de le faire en Israël. Environ 81 % des patients en Israël subissent un cathétérisme cardiaque d’urgence dans les 12 heures suivant l’apparition des symptômes, selon une enquête sur le syndrome coronarien aiguë-israélien (ACSIS).

La moyenne mondiale est de 65% ; aux États-Unis, elle est de 70% ; et en Angleterre, elle est de 66%.

Un accident vasculaire cérébral (AVC), anciennement accident cérébro-vasculaire (ACV) et populairement appelé attaque cérébrale, infarctus cérébral ou congestion cérébrale, est un déficit neurologique soudain d’origine vasculaire causé par un infarctus ou une hémorragie au niveau du cerveau.

Le terme « accident » souligne l’aspect soudain ou brutal des symptômes, mais dans la plupart des cas les causes de cette affection sont internes (liées à l’âge, l’alimentation ou l’hygiène de vie, notamment).

Les symptômes varient beaucoup d’un cas à l’autre selon la nature de l’AVC (ischémique ou hémorragique), l’endroit et la taille de la lésion cérébrale : aucun signe remarquable, perte de la motricité, perte de la sensibilité, trouble du langage, perte de la vue, perte de connaissance, décès.

Les symptômes sont brutaux : ils apparaissent en quelques secondes. Ils peuvent disparaître assez rapidement ; s’ils disparaissent dans l’heure on parle d’AIT2, s’ils perdurent plus d’une heure on parle d’AIC.

En cas de survie, le processus de récupération (encore mal compris) passe par une phase de récupération spontanée durant de quelques semaines à quelques mois, suivie d’une période d’évolution plus lente, de plusieurs années.

Dans les pays occidentaux — Europe, États-Unis, etc. — un individu sur 200 est atteint d’un accident vasculaire cérébral chaque année (120 000 en France). 80 % de ces cas sont des ischémies et 20 % des hémorragies. La probabilité d’AVC ischémique augmente avec l’âge, tandis que la probabilité de faire un AVC hémorragique est indépendante de l’âge.

L’AVC est la première cause de handicap physique de l’adulte et la deuxième cause de décès dans la plupart des pays occidentaux.

www.israelvalley.com

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GUIBOR

@Elie de Paris –
Bonjour,
Merci pour les explications. j’en ai subi un (AVC) en 2001. Sept mois d’hospitalisation : plus de parole, un côté paralysé.
Lorsque j’ai retrouvé la parole, je ne connaissais plus le nom des choses et il m’a fallu cinq ou six mois pour retrouver les mots. Une fois sorti des soins, j’ai du réapprendre à conduire et assimiler des routes où j’étais pourtant passé des milliers de fois.
Il me reste de cet AVC des problèmes de mémoire. Je peux discuter de tout, aller à des conférences, lire, mais trois jours après je ne me souviens pas du thème de la discussion, de la conférence ou du livre.
Tout ce « bla bla » pour vous expliquer ma grande angoisse de refaire un autre AVC (prise de médoc à vie)
Je vais noter votre astuce sur le tableau blanc qui me sert de « pense bête ».

Élie de Paris

L’AVC « infarctant » 80% des cas, est le plus tueur, et ceux qui s’en sont sortis peuvent temoigner des séquelles…
On ne perd pas conscience.
À cause d’une minuscule particule qui ne passe plus, ayant grossie de quelque nanometre au virage d’une artère cérébrale.
En attendant les secours, s’ils sont prévenus , et qu’ils arrivent dans les temps (très aléatoire dans une ville comme Paris, intentionnellement trombosée par la maire de Paris), une seule voie, qui peut sauver une vie, ou éviter les sequelles d’un paraplégique, TOUSSER !, (et donc causer des sautes de la pression sanguine du cerveau) jusqu’à desobstruction de l’artère, puis se rendre aux urgences ou attendre les secours, pour recevoir les soins qui sauvent.(anticoagulants, chirurgie etc…)
Desobstruer (déboucher) n’est qu’un palliatif, qui ne soigne pas, mais qui sauve.
Dans l’instant.
La partie du cerveau n’étant plus oxygénée par le sang se nécrose rapidement, et c’est alors une course contre la montre…