Les rabbins Amar et Stern rappellent au public que les grands rabbins toutes générations confondues, ainsi que les rabbins de Jérusalem à travers les âges, ont interdit aux juifs l’entrée du Mont du Temple dans son ensemble.
« Les grands rabbins depuis de nombreuses générations, y compris le Rav Kook; le Rav Yitzchok Nissim, Rabbi Isser Y. Unterman, Rav Ovadia Yosef, Rabbi Avraham Shapira, ou encore le Rav Mordechai Eliyahu (et bien d’autres biensur…..) ont toujours averti le public de ne pas monter sur le mont du Temple et de ne pas toucher les murs qui l’entourent.
Les Rabbins Stern et Amar ont écrit: « Nous nous associons à nos prédécesseurs pour demander au public de ne pas pénétrer sur le Mont du Temple ».
Les rabbins précisent que l’interdiction d’entrée est aussi valable pour les Arabes mais le fait qu’ils y entrent quand même n’autorise pas les Juifs à y entrer.
« Bien sûr, le Mont du Temple n’appartient pas aux hommes, c’est la maison du Dieu de Jacob, il n’y a donc aucune autorisation d’y entrer ni pour les juifs, ni pour les non-juifs.
Nous demandons donc au gouvernement et aux forces de sécurité de faire tout ce qui est possible pour suivre la loi juive et donc mettre fin au sacrilège perpétué sur le Mont Zion « .
Les rabbins concluent leur lettre en appelant le public à renforcer l’étude des lois du Beit Hamikdach: « Nous appelons le public à étudier les lois du Temple afin de comprendre la sainteté du Lieu. Ce n’est pas le temple que vous devez craindre mais celui qui l’a commandé « .
Sous sa signature, le Rabbin Amar a ajouté dans sa propre écriture: « Malheur aux oreilles qui entendent cela à la légère ».
Source Koide9enisrael
Les plus grands maîtres d’Israël rapportent parfaitement les interdits concernant le mont du temple. Ce qui est interdit n’est pas d’aller sur le mont du temple, mais de marcher à l’emplacement du saint des saints ou, si l’on est pas Cohen, de marcher dans les espaces réservés aux Cohanims. Le reste du mont du temple est accessible à toute personne.
Les religieux n’en savent rien: ils repetent et amplifient ce qu’on leur a enseigné.
Qu’il le pensent c’est leur droit, comme c’est le notre de penser defferemment