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Si les propos antisémites se multiplient sur internet et les auteurs de la plupart de ces incidents ne se réfugient pas derrière l’anonymat. Une tendance inquiétante, selon un rapport de la Fédération suisse des communautés israélites.
Le nombre d’incidents antisémites physiques et verbaux en 2018 est resté stable outre-Sarine. Les propos et menaces circulant sur internet contre les 20 000 Juifs de Suisse continuent cependant d’inquiéter la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI).
Quarante-deux incidents antisémites ont été recensés en Suisse alémanique au cours de l’année écoulée, soit trois de plus qu’en 2017, apprend-on jeudi dans un rapport publié par la FSCI en collaboration avec la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme (GRA).
Ces incidents sont «moins nombreux en Suisse qu’en Allemagne ou en France», comparent les deux organisations.
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Théories du complot très présentes sur internet
L’antisémitisme est nettement plus présent sur la toile. Le rapport a dénombré 535 incidents en une année. Si l’antisémitisme relatif à l’Etat d’Israël et les théories des complotistes antisémites occupent des pourcentages marginaux dans l’espace public réel, ces deux catégories regroupent plus de 70% des incidents sur Internet
Deux textes d’opinion sur l’antisémitisme et l’antisionisme:
«La vitesse à laquelle ces théories et les fausses nouvelles se propagent sur Internet sème le doute dans l’esprit de gens qui n’ont rien contre les juifs», estiment la FSCI et la GRA.
Une centaine de cas d’antisémitisme et une trentaine de cas de négationnisme ou de banalisation de la Shoah ont également été dénombrées sur la toile.
Pas de recours à l’anonymat
La FSCI et la GRA sont frappées d’observer que les auteurs de la plupart de ces incidents ne se réfugient pas derrière l’anonymat. Selon elles, le monde politique et les exploitants des plates-formes de réseaux sociaux doivent agir.
Elles préconisent une action beaucoup plus intense, fondée sur la sensibilisation, l’information, ainsi qu’un «véritable dialogue entre les représentants de la société suisse et des ses minorités». Quant à la prévention, elle doit s’étendre à Internet et inciter notamment les jeunes à vérifier et interroger les informations mises en circulation.
La Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (CICAD) a annoncé en février avoir recensé 174 cas d’actes antisémites en 2018 en Suisse romande. Il a recensé soit 24 de plus qu’en 2017.
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Nous revoilà revenu dans les années 1930 /39 chaque fois qu’il y a une crise en Europe sur qui on tape toujours sur les Juifs c’est si facile et simple depuis des lustres l’église à monter du doigt le JUIF qui a mis en croix JÉSUS quand il y a la peste c’est a cause des juifs etc etc c’est plus simple que de donner des explications sur la mondialisation de toute façon le niveau intellectuel des européens a tellement bas que c’est une cause perdue de vouloir expliquer les causes et les effets quand en Espagne les juifs sont partis le pays est rentrée dans un marasme Economique pourquoi mais c’est la simplicité même pour le monde chrétien et surtout catholique le mot argent et la notion de plaisir sexuel est « » »sale » »gagner de l’argent c’est un péché
si une femme jouis de son corps c’est péché elle doit uniquement procréer etc etc de ce fait laissons aux JUIFS tout ce qui entraîne le PÉCHÉ et donc nous sommes des « »êtres abjectes » jetés en pâture a l’homme de la rue qui à besoin d’un bouc émissaire
Il est loin le temps ou les peuples qui ce disent civiliser apprendrons la tolérance ,l’amour , le respect de l’autre dans les veines des êtres humains sur cette terre le sang a la même couleur il est rouge symbole de caritas in veritate ou l’amour de la vérité et non de la charité que nous retrouvons dans les « » pétales de la rose et ou de l’aubépine ………………… a suivre