(L to R) A picture taken on March 17, 2019 in the Israeli city of Ramat Gan in the suburbs of Tel Aviv shows a billboard bearing portraits of Blue and White (Kahol Lavan) political alliance leaders Moshe Yaalon, Benny Gantz, Yair Lapid and Gabi Ashkenazi, with a caption below reading in Hebrew "The nation of Israeli lives"; alongside another billboard showing Prime Minister Benjamin Netanyahu flanked by extreme right politicians Itamar Ben Gvir, Bezalel Smotrich and Michael Ben Ari, with another caption in Hebrew reading "Kahana Lives" in a reference to a banned ultranationalist party in the 1994. - People (Photo by JACK GUEZ / AFP)

VIDÉOS – Créativité, ironie, provocation ou mauvais goût: la guerre des images bat son plein sur les réseaux sociaux, avant même l’ouverture de la campagne officielle des législatives qui se tiendront le 9 avril.

Correspondant à Jérusalem

Les candidats aux législatives israéliennes du 9 avril n’ont pas attendu l’ouverture de la campagne officielle sur les écrans de télévision pour rivaliser à coups de clips chics ou chocs. La guerre des images bat son plein sur Twitter, Facebook et Instagram.

En quête de buzz, les partis sortent des chemins balisés de la communication politique classique pour s’aventurer sur les sentiers parfois glissants de la créativité, de l’ironie et de la provocation.

Ce jeudi de pourim, une fête juive marquée par des manifestations carnavalesques, Benyamin Nétanyahou se déguise en Nétanyahou pour se rendre à une soirée costumée.

Il tente désespérément de convaincre son hôte en tenue d’astronaute qu’il est bien le premier ministre en démolissant ses rivaux, Benny Gantz et Yaïr Lapid.

Puis sonne à la porte le duo du parti «Bleu et Blanc».

Ils sont grimés en Nétanyahou. «Il est temps de tomber les masques et de dire la vérité: ils sont une gauche faible, nous sommes une droite forte» lance le chef du gouvernement.

Depuis le début de sa course à sa réélection, Benyamin Nétanyahou mise sur les réseaux sociaux. Le premier ministre, qui se méfie des médias traditionnels qu’il juge hostiles à sa personne, privilégie ce mode de propagande sur les autres.

Il martèle ses slogans avec des scénarios souvent décalés, mais ses communicants n’hésitent pas à sortir l’artillerie lourde au risque de dérapages.

L’un des clips du Likoud, son parti, consacré à l’ascendant supposé du premier ministre sur ses adversaires en matière de sécurité a été retiré. Il exploitait des plans de tombes de victimes d’attentats. Benyamin Nétanyahou l’a qualifié d’«erreur».

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