Un Palestinien de 27 ans, soupçonné d’être militant du Hamas et jugé pour avoir piloté depuis l’Autriche un projet d’attentat en Israël, a été condamné lundi à la prison à vie par la justice autrichienne.

L’accusé, arrivé en Autriche début 2016 et arrêté dans un foyer de demandeurs d’asile, a été jugé coupable notamment d’infractions à caractère terroriste, de participation à une organisation terroriste et d’avoir donné des instructions en vue de meurtres.
La justice lui reproche d’avoir entretenu, depuis l’Autriche, des échanges avec deux autres hommes basés dans les Territoires qu’il avait chargés de commettre un attentat en Israël.
Les deux hommes ont été arrêtés séparément fin juin par les autorités israéliennes conduisant à l’interpellation du commanditaire présumé de l’attentat en Autriche.
Des messages sur Whatsapp et sur Facebook témoignant de la mise sur pied du projet d’attentat ont été retrouvés sur le téléphone du coupable, a expliqué l’accusation selon laquelle le mot « pomme » était employé dans les messages pour désigner des bombes.
L’accusé a contesté durant le procès être militant du Hamas et affirmé que son téléphone avait été piraté. Il a fait appel du verdict.
Selon l’acte d’accusation, l’homme, né en 1990, a été arrêté dans la bande de Gaza à l’âge de 14 ans et a effectué neuf ans de prison pour des violences contre l’armée israélienne.
I24News

 

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David Pasder

« Victimes collatérales » !!!!
J’espère que vous vous convainquez vous-même avec vos curieuses dérives. « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ».
Question : comment se fait-il que le commentaire de C. Hamon ne soit pas publié ?

Marc

“des victimes collatérales” : l’affaire des “réfugiés” devenue centrale dans toute historiographie pro-palestinienne est traitée comme volonté « ethnique » délibérée d’expulsion, alors qu’elle n’est que le résultat “logique” du conflit, avec les appels des chefs arabes, à mettre les Juifs à la mer en moins de temps qu’l n’en faut pour le dire. On ne peut, à cette époque là, pas traiter de ces populations comme actrices directes du conflit. On les compte parmi ceux « en faisant les frais ».

Il semble que vous ayez un véritable problème avec l’emploi du moindre mot : en quoi est-ce là de « curieuses dérives », monsieur l’idéologue Pasder? Cette soit-disant Dérive ou déviation, provient-elle bien d’une ligne directrice droite que nous devons tous suivre au pas de l’oie? Qu’en dit le parti?

Que vous le vouliez ou non, (hormis les manifestations d’hostilité claire) tous les avis divergents possibles sont admis sur ce site. On peut même y rencontrer des gens moins radicaux que soi. Si ce type de raisonnement vous est profondément étranger, changez vos habitudes de raisonnement, cela apprend beaucoup.

Marc

Un Palestinien commettant un attentat est donc condamné à perpétuité en Autriche. Qu’est-ce qui vous dérange là -dedans? Que son territoire se résume à une cellule? Quel besoin de revenir aux « origines du conflit »? A la « sémantique »? Il est condamné, point. Allez lui chercher des poux dans la tête à Vienne…

David Pasder

Qu’appelez-vous « les Territoires » ?

Marc

Il vous faut une explicitation terminologique digne de la méthode Coué à chaque mot? Certains pensent qu’en cessant de nommer les choses,les réalités sur le terrain ou les populations disparaîtront d’elles-mêmes comme par enchantement. Mais nous ne sommes plus dans le monde enchanté de Merlin depuis un bon moment. Revenir à chaque virgule sur des appellations de sens commun modifie éventuellement la perception sur l’instant. Cela n’a jamais changé le sens global des Faits, rien que les Faits et tous les faits. Vous faites de l’anti-KGBisme à l’envers, en contre-fonctionnant sur le même modèle de la traque à la trahison déviationniste, chaque agent n’adoptant pas votre ligne idéologique étant désigné indigne de la Doctrine du parti. Mais en fin de compte, le KGB n’est plus depuis 1989, recyclé en police politique de Poutine. Même Primakov, chef du KGB sous Eltsine, est tombé en disgrâce face à Poutine. Reste l’oeuvre de jeunesse. Les réalités géopolitiques, elles sont mouvantes et c'(est peut-être là qu’il faudra finir par agir. Ici, nous parlerons des « territoires disputés » s’il vous faut un terme, sachant que depuis la résolution 242, plusieurs acceptions du terme se disputent la vedette, selon le camp auquel on appartient. N’empêche,le sac de noeuds est bien vivace, lui.

David Pasder

Je constate que lorsque pris en flagrant délit d’informations inexactes ou biaisées, vous n’avez pas d’autre issue que de tourner vos lecteurs ou contradicteurs en dérision, ou pis. Consultez : il doit y avoir des traitements pour ce travers récurrent.
David Ben Gourion, dont vous avez certainement entendu parler disait que ‘ »Ce qui compte ce n’est pas ce que les nations disent, mais ce qu’Israël fait ».
La sémantique est importante : sa mauvaise utilisation est la cause de guerres. Puisque vous évoquez Evgéni Primakov, vous serez intéressé par le fait qu’il était juif, de son vrai nom Yona Finkelstein, et a eu l’idée satanique de l’invention du peuple « palestinien » arabe, fiction mensongère inventée dans le but de transformer Israël en colonisateur de son pays ancestral, dont le cœur est la Judée-Samarie et ce depuis 3800 ans. Y habitent des juifs ainsi que des arabes, fils et petits-fils de migrants de travail venus des pays arabes avoisinants.
Résolution 242 : relisez vos classiques, vous serez surpris. Vous apprendrez entre autres que les arabes des « territoires » (sic) n’y sont pas calculés, n’ayant jamais constitué une quelconque entité étatique ou autre.

Marc

Pourquoi cherchez-vous donc à raisonner en idéologue-commissaire du peuple, de la même façon que les pires caricatures de communiste?

La résolution 242 n’a jamais parlé d’Arabes particuliers (sinon l’Egypte, la Jordanie et la Syrie), mais des pays belligérants du conflit de 1967 pour lesquels les habitants des territoires comptent au titre de victimes collatérales, qu’il s’agisse de 1948, de 1967 ou tout autre conflit majeur dans le secteur, à preuve leur non-prise en compte à Yarmouk entre 2011 et ce jour, dans le conflit syrien. Gardez vos procès d’intention pour d’autres tribunes, comme si personne n’était au courant. Qui a « parlé » d’Etat, ou d’entité étatique? Même Peres et Rabin, entre 1993 et 1995 n’étaient pas synchrones sur cette affaire de devenir d’un « territoire ». Mais cette notion, sans l’attribuer à quiconque, existe, de toutes les façons, dans la mentalité israélienne, depuis 1967. Cela dit je vous laisse à vos inductions et contre-vérités historiques.

Je ne suis d’aucune façon l’auteur de ce texte et au final, il ne me paraît pas être un péché mortel que de parler de coup de fil vers les « territoires », sachant que le lecteur averti comprend qu’un Arabe palestinien téléphonant depuis Vienne en « territoires » correspond avec ses comparses et semblables en vue de commettre de nouveaux méfaits.

Maintenant, votre laïus sur Primakov n’est qu’une pure répétition reprise en litanie sur tous les sites, depuis une traduction de Michel Garroté, d’un texte qu’il a détourné d’Harry Mandelbaum, sans le citer, titre qui a même été republié autrefois par JForum en 2013 / https://jforum.fr/Le-jour-ou-les-Arabes-sont-devenus-Palestiniens.html Merci de ne pas nous prendre pour plus bêtes que nous sommes, en rabachant toujours les mêmes vieux slogans ou en vous grattant la tête pour y retrouver de vieux poux…

Le texte d’origine : (1) THE ARABS IN THE HOLY LAND – NATIVES OR ALIENS? — by Dr. Harry Mandelbaum
Prior to 1967, no news headlines ever referred to Arabs as “palæstinians”. The Middle East conflict was known as the Arab-Israeli Conflict and not the “Palestinian”-Israeli conflict.

PS : vous nous direz donc où il y aurait « information inexacte ou biaisée », à moins qu’il ne s’agisse que de pure diffamation, comme bien des inductions de même provenance. Les idéologues formés à l’école marxiste sont souvent très vite lassants.

Marc

pS : le commentaire de C.Hamon(plus à plaindre qu’à blâmer, mais qui peut irriter), qui est d’une hostilité crasse à l’égard de ce site n’y a donc pas sa place, n’en déplaise à ses acolytes. Il y a des règles minimales de respect pour ses interlocuteurs ou ceux qui apportent de l’information : les contrevenants sont irrémédiablement renvoyés en corbeille.