Si des personnes citées ou leurs proches sont en désaccord avec cet article, elles peuvent réagir par des commentaires ou par des lettres, mais pas par des invectives, pas par une agression verbale dénuée d’arguments.Le 20 novembre 2012, a eu lieu un « rassemblement unitaire » en soutien à Israël près de l’ambassade de cet Etat à Paris, à l’appel de la communauté Juive française institutionnalisée. Les sempiternels discours des mêmes dirigeants communautaires et édiles devant quelques milliers de Français Juifs. Un évènement significatif du fossé entre ce leadership communautaire, sans stratégie d’actions et de communication, et ses coreligionnaires.
« Les pro palestiniens défilent, les opposants au mariages gay défilent, les gays défilent aussi, les opposants syriens défilent, les opposants au traité européen défilent, les Anonymous, les néofascistes, et tout un tas de gens bizarres aux causes incertaines défilent… Nous, les Juifs, on se rassemble !!! On écoute des gens contents d’eux-mêmes parler dans un micro et s’accueillir à coups de « Hazak » (fort, en hébreu, Nda) et « Kol akavod » (bravo ; kavod signifie honneur, gloire, respect en hébreu, Nda), comme s’ils venaient de délivrer la parole de Dieu sur le Mont Sinaï !!! On fait du sur-place!!! », enrage un Français Juif, le 21 novembre 2012, en commentant ce récent rassemblement en soutien à Israël.
Désaffection croissante
A l’appel de la communauté Juive française institutionnalisée, les rassemblements en soutien à Israël se ressemblent : foule essentiellement Juive, discours convenus, orateurs identiques – dirigeants communautaires, édiles, ambassadeur d’Israël, artistes ou intellectuels –, absence de « nos-amis-musulmans-modérés », exagération dans le nombre de participants, appel au contenu parfois critiquable : « Parce qu’il est du devoir de chacun de vouloir que des négociations directes s’engagent pour la paix », donc la paix passerait par une négociation directe avec le Hamas ?! Et ce serait un devoir de l’accepter ?!
Souvent Gil Taïeb, notamment vice-président du FSJU (Fonds social Juif unifié), est à l’origine d’évènements parisiens similaires.
Le dimanche 18 novembre 2012, Gil Taieb exhortait donc par courriel à se réunir le jeudi 22 novembre, à 19 h, pour marquer sa solidarité avec l’Etat d’Israël. Il se prévalait de sa qualité de président de l’Association de soutien à Israël (ASI). Combien de manifestants aurait-il réuni sur son seul nom ?
Patatras ! Le lundi 19 novembre 2012, le CRIF, auquel se joignaient les grandes organisations françaises Juives, annonçait un « rassemblement unitaire » fixé au 20 novembre 2012, à 18 h 30 et que la manifestation prévue par Gil Taïeb était annulée.
Tout cela fleurait la précipitation, l’absence d’égard pour des conférences prévues les 20 et 22 novembre.
Seule différence, mais notable, entre tous ces rassemblements de la communauté française Juive : une foule de moins en moins nombreuse au fil des ans.
En ce froid 20 novembre 2012, ce « rassemblement unitaire » improvisé a attiré « 2 500 personnes selon la police, 5 à 7 000 selon les organisateurs », selon l’AFP, « environ 2 000 personnes » selon SIPA-AP.
Actualité juive a publié dans son numéro 1232 un reportage sur cette manifestation. Cet hebdomadaire communautaire incontournable a indiqué que Meyer Habib, vice-président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), l’avait « orchestrée », mais a omis curieusement le nombre de manifestants. Une information pourtant majeure et source de réflexions.
Le 22 juin 2010, un rassemblement similaire avait réuni 3 200 personnes selon la police, 10 à 15 000 selon les organisateurs.
Si ce trend se poursuit à ce rythme, le cap d’un nombre approchant 0 participant sera atteint entre 2018 et 2020 si l’on s’en tient aux chiffes de la police, entre 2013 et 2014 si l’on se réfère à ceux des organisateurs. Quel intérêt représenteront alors les dirigeants communautaires pour les autorités politiques françaises ? Et, faute de « plan B », comment exprimeront-ils leur « soutien à l’Etat d’Israël » ?
Le 20 novembre 2012, SIPA-AP indiquait : « Des centaines de CRS ont demandé à des membres de la Ligue de défense juive de baisser des drapeaux qui portaient leur insigne, une étoile de David et un poing serré ». Pourtant, des manifestants de la « rue arabe » haineuse ont brandi à Paris, et en toute impunité, des drapeaux de mouvements terroristes (Hezbollah, Hamas) lors de la guerre d’Israël contre le Hezbollah au Liban (12 juillet-14 août 2006) ou lors de l’Opération Plomb durci dans la bande de Gaza (27 décembre 2008-18 janvier 2009).
Le 21 novembre 2012, le CRIF et le Consistoire israélite de Marseille organisaient un rassemblement similaire près du consulat d’Israël. Dans la vidéo publiée sur le site du CRIF, on peine à distinguer les visages des orateurs tant la lumière est rare en ce début de soirée.
Comparons avec le rassemblement « en solidarité avec Gaza », « contre l’attaque israélienne sur Gaza » du samedi 17 novembre 2012 à l’initiative de la mouvance communiste, gauchiste, écologique et droitsdel’hommiste.
Le moment ? Le samedi après-midi. Donc la lumière naturelle et pendant le week-end, jour de grande affluence.
Le lieu : une partie de la place de l’Opéra, située dans un quartier animé par des touristes et des chalands amenant leurs enfants admirer les automates des vitrines du Printemps, et heureux de préparer leurs achats pour Noël et le Jour de l’An.
Les actions : slogans et banderoles scandaleuses, mais percutantes – « Ici, les enfants perdent leurs doudous, à Gaza ce sont les doudous qui perdent leurs enfants », « Israël casse-toi, la Palestine n’est pas à toi » -, distributions de tracts aux passants.
Le nombre : environ un millier d’individus selon la police, 5 000 selon les organisateurs.
Un parallèle guère flatteur pour ces « rassemblements unitaires » Juifs tenus dans l’obscurité automnale : plus nombreux, ces Français Juifs sont inaudibles, et quasi-invisibles, dans leur ville.
En effet, le leadership communautaire a abandonné les artères prestigieuses de la capitale aux haineux, et s’est retranché près de représentations diplomatiques israéliennes en France. Qui a vu leurs rassemblements ? Qui a entendu leurs gentils slogans : « Israël vivra, Israël vaincra » ?
Pourquoi des dirigeants communautaires et leurs services de communication persistent-ils dans cette voie qui signe leur faiblesse ? Par manque d’imagination ou de compétences ? Pour éviter de s’interroger sur leur part de responsabilité dans ces défiance et désaffection croissantes ? Pour masquer une incapacité à agir efficacement sur l’opinion publique ou le rééquilibrage de la diplomatie française ? Pour justifier leur fonction, se reconstituer une légitimité ébranlée ou préparer leur candidature à un poste électif ?
Le 24 novembre 2012 après-midi, un imposant dispositif policier était installé place de l’Opéra et dans les rues avoisinantes en prévision de l’arrivée de la manifestation « Halte aux agressions contre Gaza » qui partait à 14 h, du métro Barbès Rochechouart, et était organisée par le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI).
Que va faire la communauté française Juive institutionnalisée ? Pourquoi aucun média communautaire ne s’interroge sur ces mobilisations si réduites ?
Absence de stratégie
Seule la manifestation à l’appel d’organisations françaises Juives, dont le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), le dimanche 7 avril 2002, « contre les actes antisémites et en solidarité avec le peuple israélien » ciblé par le terrorisme palestinien, avait rencontré l’adhésion d’environ 50 000 à 100 000 Français Juifs qui avaient arpenté, en famille les boulevards d’un Paris printanier et ensoleillé.
En phase avec leurs dirigeants communautaires, ces manifestants avaient exprimé alors leur indignation à l’égard de l’attitude du gouvernement français – indifférence, inaction, minoration des actes antisémites – et de la désinformation.
Las ! Au fil des ans, la défiance s’est incrustée chez nombre de Français Juifs.
Et elle est fondée sur des constats inquiétants : niveau élevé du nombre d’actes antisémites, assassinats antisémites – Sébastien Selam (nuit du 19 au 20 novembre 2003), Ilan Halimi (13 février 2006), Jonathan, Arye et Gabriel Sandler ainsi que Miriam Monsonego (19 mars 2012) –, isolement et marginalisation dans la société française (absence de solidarité de la Nation, discrimination positive), « politique arabe » visant la destruction d’Israël et l’avènement d’Eurabia, désinformation non sanctionnée dont est emblématique l’affaire al-Dura.
Sans oublier le fonctionnement communautaire cacophonique, anachronique et émaillé de rivalités d’egos, la cooptation ou l’élection de dirigeants « communautairement corrects », une incapacité à élaborer une stratégie d’actions, un dialogue judéo-musulman superficiel et décevant, la défense de l’islam malgré son antisémitisme et son antijudaïsme, des migrations intra-régionales pour fuir des environnements devenus hostiles.
N’omettons pas un sexisme affligeant, par exemples l’inégalité homme/femme dans le calcul du minyan (quorum de dix hommes Juifs ayant fait leur bar-mitzva) indispensable pour certaines prières, ou le divorce religieux (Guet) accordé par le seul mari, etc. Une preuve récente de ce sexisme ? Le site Internet du CRIF a publié les discours des orateurs mâles – directeur de l’école, père et grand-père des victimes de l’école Ozar HaTorah, etc. – lors de la cérémonie à Toulouse (1er novembre 2012). Mais il manque le discours d’Eva Sandler, dont l’époux et les deux fils ont été assassinés par le djihadiste Mohamed Merah le 19 mars 2012.
Aussi leur soutien à l’Etat d’Israël, les Français Juifs l’ont exprimé par mille et une manières – séjours touristiques, aliyah, etc. -, et en ignorant ces évènements sans suite, et non intégrés dans une réflexion globale ou un plan d’actions et de communication.
VÉRONIQUE CHEMLA Article original« >Article original
Mots clés : AL-DURA, ANTISÉMITISME, ARABES, CHRÉTIENS, CRIF, EURABIA, FRANCE, ISLAM, ISRAËL, JUDAÏSME, JUIFS, MUSULMANS, OPÉRATION PLOMB DURCI, TSAHAL (IDF)
NDLR – L’UPJF avec l’UCCJ voyant l’absence de toute réaction, des grandes institutions juives, appellent le dimanche 18 novembre, à une manifestation, pour le dimanche 25 novembre.
Gil Taïeb pour le Fond Sociale, appelle alors à une manifestation pour le jeudi 22 novembre, afin de saborder celle du 25 de l’UPJF.
Le Crif jusqu’à là, absent, propose sans aucune préparation, une manifestation pour le mardi 20 novembre, obligeant les autres à annuler les manifestations prévues.
Pour donner une note unitaire, et bien qu’il n’y ait aucune consultation, ni aucun respect pour les autres associations, celles-ci soutiennent la manifestation du Crif, qui n’a rien à proposer, sauf des discours réchauffés.
Il y a eu 3 ou 4.000 participants, en PLEINE GUERRE avec le Hamas, qui a envoyé plus de 1.500 roquettes sur Israël (Ashdod, Ashkelon, et surtout Tel Aviv et Jérusalem). Il aurait fallu au moins 100.000 personnes dans pareille situation. Ce n’était pas le cas.
C’est la preuve que ces dirigeants ne sont pas à la hauteur, et qu’ils ont, par leur comportement, démotiver la Communauté.
Mais ils sauront rester à leur place, parce qu’ils détiennent tous les leviers communautaires, savent écarter les gêneurs, et coopter les amis. Et comme à l’UMP, ils maîtrisent la fameuse commission dite COCO-Hu !
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Qu’il y ait un manque d’organisation entre toutes ces associations, c’est normal, souvenez-vous lorsque nous sortions d’Egypte avec notre matsa à la main , nous n’étions guère disciplinés, » courage Moché tu y arriveras avec l’aide de D.. » et la suite vous la connaissez !
Mais là n’est pas le problème, nos manifestations ou nos rassemblements défilent avec des représentants d’associations juives en tête de file, contrairement aux manifestations pro-palestiniennes qui sont représentées par des politiques français ou des associations haineuses françaises; là est toute la différence.
Donc tout est fait pour que nous ne soyons pas entendus !
Battez-vous pour cela si vous voulez défendre Israël à distance.
Chabbat chalom de Jérusalem.
Cet article est bien construit, observe la profondeur du problème, mais et insuffisant.
Comme il a été mentionné dans les commentaires, la critique est aisé, mais il faut faire des propositions concrètes.
Perso, je penses qu’il faudrait monter un mouvement, qui lance une pétition qui demande la modernisation des institutions juives – CRIF, Consistoire, FSJU en priorité, pour les rendre plus démocratique, moins institutionnelle.
Elle fonctionne sans doute très bien, mais leur périmètre et l’adhésion communautaire est bien trop faible.
Pour se faire une vraie idée il faut effectuer un benchmark avec les autres communautés juives dans le monde.
On est très loin en France d’avoir un équivalent de JTS ou HUC ou encore de YU. – Consistoire il est temps de créer une Ecole Europeenne d’etude Juive, ou de creer un polytechnique de la spiritualité englobant juifs, chrétiens et musulmans, pour créer des hommes d savoir, de conscience, avec les spécialités respectives pour devenir rabbin, immam ou diplomate.
Le Crif et le Consistoire doivent se démocratiser, plutôt que d’être des corps super fermé.
Il faut que les règles et mécanisme de gouvernance soit clair, transparent et ouvert.
Ceci pour toutes les organisations, en fait, c’est notre culture organisationnel qui a veilli.
A l’heure de l’internet on pourrait faire des Miracles.
Pourquoi pas soutenir les méthodes qui marche ? Regardez [Limmud->http://www.limmud.org] en Angleterre.
Pourquoi avoir un judaïsme franco ou israélo centré alors qu’il y a les Etats Unis, l’Angleterre qui
sont exemplaire sur de nombreux points.
Bref, il nous faut un Judaïsme de valeur, plutôt qu’un judaïsme de fantasme ou d’institution.
Il faut tout de même reconnaître que le judaïsme de France, se distingue par les restaurant casher, et par des outils comme Akadem ( grande qualité ! )
les juifs ne défilent pas en braillant, nous sommes civilisés; L’être un peu moins nous ferait un bien fou.
Ce n’est pas le rassemblement des organisations juives francaises qui est crepusculaire, mais il traduit la realite: la disparition progressive de ce qu’a represente le Judaisme en France.C’est un etat des lieux moribond auquel vous vous accrochez desesperement. Le combat a livrer ne se trouve pas (plus) en France, mais ici en Israel ou se trouvent rassemblees toutes les forces vives de notre Peuple et ou chacun se mobilise face a un ennemi implacable. L’alya des juifs de France a beaucoup a apporter a notre Pays dans de nombreux domaines et elle est tres appreciee.Vous devriez vous mobliser et vous unir afin de la fortifier et la faciliter. Surtout je pense aux jeunes et aux ados qui se sentent de plus en plus « paumes » face a ce vide, contraire aux valeurs du Judaisme et a notre histoire.
Votre vraie place n’est plus « la bas ».
Be Atslarha,
Meira de Jerusalem.
{{La France est un territoire perdu pour nous les Juifs, quoiqu’il en soit.}}
J’ignore si cela peut en consoler quelques-uns, mais sachez qu’en Belgique nous assistons au même genre de phénomène: à l’appel du CCOJB (Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique-francophone), du Forum des Organisations Juives (équivalent flamand), de UEJB et du Congrès Juif Européen, un RASSEMBLEMENT pro-Israël fut organisé dimanche midi (25/11) au pied du Palais de Justice à Bruxelles. Nous étions entre 1000 et 1500 participants, auxquels 3 orateurs adressèrent la parole brièvement. Le rassemblement fut relativement court, digne et à la limite, bon-enfant.
De leur côté, les pro-Palestiniens eux, organisèrent deux manifestations ce même weekend, en défilant à chaque fois bruyamment dans les rues de la capitale.
L’on constatera qu’étrangement une certaine forme de parallélisme existe entre les stratégies des 2 Communautés. Est-ce par souci de ne surtout pas heurter les autorités respectives tout en restant bien sages?
que vient faire l’algérie ici?? vive l’algérie indépendante, parce que si elle était encore française, nous aurions 2 fois plus de musulmans en France, ils auraient changé le visage de la France, et la France, je l’aime gauloise, moi, contrairement à vous.
Le CRIF s’imagine être propriétaire de la communauté juive, et il serait temps que nous leur fassions savoir que nous sommes libres et qu’eux ne représentent qu’eux même.
Qu’ils cessent pour commencer d’organiser cette indécente soirée au cours de laquelle tout ce que la France compte comme personnalité vient faire allégeance au CRIF, ce qui leur donne le pouvoir de parler en notre nom.
Avoir changé la date de la manif afin de prouver qu’ils étaient les seuls à avoir le droit de décider où et quand nous manifesterions est une mascarade ; ces organisations juives ne servent que de tremplin à des individus qui veulent par ce biais obtenir des honneurs et des médailles, et c’est à nous de les rejeter au fond du placard d’où ils n’auraient jamais dû sortir.
Le CRIF a un site, écrivez leur pour protester, peut être que votre appel sera entendu? j’en doute. Ils me font penser à la grenouille de la fable qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf, mais eux ne vont pas éclater (platzen en yiddich), non, c’est nous qui éclatons de rage d’être si mal représentés.
Je suis d’autant plus d’accord que mes frères pieds-noirs sépharades, qui ont piteusement déserté l’Algérie pendant que nous défendions les armes à la main nos familles et nos maisons, font aujourd’hui le jeu de l’islamisation de la France (je n’en citerai qu’un: BHL… tous les autres se reconnaîtront d’eux mêmes). Les français juifs vivront-ils mieux en Métropole lorsque Notre Dame de Paris sera devenue une mosquée? Par ailleurs, à quoi joue Esther Benbassa dans ses relations avec l’IMA?.
Mon ami Ephraim de Toulouse me dit que ces jeux sont d’autant plus dangereux (suicidaires) qu’il sont importés à Jérusalem même (ex: prêche de Rabbins déments sur l’inter-textualité Torah-Coran). Notre sécurité exige que soit éradiqué de France l’islamisme coranique.
Augustin
Toutes ces discussions sont stériles !! La seule dépense d’énergie qui vaille pour soutenir Israel est contre l’Iran qui arme le Hamas et le Hezbollah , qui veut installer des missiles longues portées au Soudan et ….le nucléaire . Alors l’intracommunautaire ….doit se souder pour sensibiliser la population française et ses politiques sur ce sujet .
Il fut un temps ou effectivement les juif de France descendaient dans la rue crier leur attachement leur soutien à Israël, faut juste dire qu’en ce temps-là, les dirigeants communautaires, je veux parler de Jean Rosenta,74-76,Alain de Rothschild, 76-82, Théo Klein, 83-89, Jean Khan89-95, Henry Hardenberg 95-2001, c’est à partir Roger Cukierman, que ça à commencer à se dégrader, aussi bien au niveau du discours, qui se voulaient complaisant, et » politiquement correct » et que nous avions assisté, et ce sans rien dire, à la transformation, d’une manifestation en rassemblement, depuis Richard Prasquier c’est pire, cardiologue de son état, il dirige la communauté en des discours rassurant, comme si elle était un malade qu’il ne faut surtout excité, pourtant aujourd’hui elle est plus nombreuse qu’elle ne là jamais été, et à la place de l’encourager à s’exprimer dans la rue, le d’ordre est , réunions au pied des représentation d’Israël , ou dans les centres communautaires, en un mot , ne vous inquiétez pas je m’occupe du reste, il n’a pas encore compris que c’est en criant de Nation à République que l’on se fait entendre, il n’a pas encore compris que c’est en longeant la cannebière qu’on se fait entendre, en fait il n’a encore rien compris, et pendant ce temps nous brillons par notre déficience, et notre silence, et pendant ce temps les français sont de plus en plus nombreux à croire qu’Israël est toujours coupable de tout. Enfin n’est’ce pas en France qu’on dit… qui ne dis mot consent.
Il faut rajouter l’UEJF qui a condamné récemment le bloc identitaire, ce qui les décridibilise et montre qu’ils ne sont qu’une antenne du PS…
@ junkel
des insultes maintenant. Seriez vous encore un pro-palestinien qui n’ose montrer sa vraie figure ?
Dans le cas contraire vous aidez nos ennemis !
On peut proposer sans détruire: Siona ou le Crif pourrait lancer une concertation auprès des synagogues en France pour récupérer nos avis. Les responsables de nos synagogues seraient chargées de remonter les avis éclairés de notre communauté.
Critiquer c’est facile, proposer ça l’est moins.
Ce n’est pas seulement le ( ou les ) rassemblement ( s ) qui est crépusculaire mais la présence juive en France . L’immigration musulmane massive qui refuse l’intégration a amené le crépuscule pour tous les français en général et pour les juifs français en particulier et si les français non -juifs sont piégés à cause de l’attitude de leurs gouvernements frappés par la peur de maintenir avec énergie les valeurs républicaines et identitaires de la France, les juifs ont la chance inestimable de pouvoir monter en Israël , la Terre Retrouvée , alors juifs , virez la cuti et venez , ça deviendra urgent de plus en plus avec le temps qui passe !
Ephraïm – Jérusalem .
Les Juifs diasporiques sont des pleutres.
Ils feraient mieux de se retourner contre LEURS journalistes Coreligionnaires-Traîtres…..
Ils sont ridicules de « gentillesse »
Qu’ils prient et creusent donc leurs tombes…. au lieu de se battre à coups de pelles.?
Tout à fait d’accord avec le fonds de votre article.Nous nous plions en règle générale aux religieux en manifestant dans certaines villes le dimanche quand personne ne nous voit alors que les hordes de socialo-verdo-communistes manifestent à grands coups de slogans haineux le samedi en centre ville au milieu des foules faisant leurs courses.
Nous avons réussi enfin à faire comprendre au maire de Toulouse et à sa majorité municipale que nous n’étions pas dupes de leurs gesticulations indécentes et électoralistes après les assassinats de Toulouse et Montauban.J’éspère que nous saurons nous en souvenir pour les prochaines municipales en les mettant d’office à la retraite