Lors d’un débat dans l’émission Real Time, sur HBO en octobre dernier, l’invité Bill Maher a déclaré que l’Islam est « la seule religion qui agit comme la Mafia, qui n’hésitera foutrement pas à vous tuer si vous dites ce qu’il ne faut pas dire, si vous dessinez le dessin qu’il ne faut pas dessiner, ou si vous écrivez le livre qu’il ne fallait pas écrire ».

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« Mahomet : « la Mafia de l’Obscurantisme, » Par Imran Firasat.

Maher faisait apparemment référence aux lois sur le « Blasphème » en Islam, qui condamne à la peine de mort toute « insulte » – qu’on la trouve dans n’importe quelle déclaration, imager ou livre – contre l’Islam et, tout particulièrement contre son Prophète, Mahomet.

Alors que Maher a dû subir les critiques de ceux qui classent son affirmation comme « Islamophobe », lui et d’autres seraient très surpris d’apprendre que les similitudes entre l’Islam et la Mafia dépassent de loin le simple fait de punir ceux qui disent, dessinent ou écrivent « la chose qu’il ne fallait pas ».

Dans ce qui suit, nous allons examiner un certain nombre de ces similitudes.

Nous commencerons par constater la relation qui existe entre Allah, son messager, Mahomet et les Musulmans, et nous remarquerons plusieurs points communs avec la relation e,ntre le parrain, le Lieutenant et les membres de la Mafia.

Ensuite, nous examinerons la nature clanique de la Mafia et la comparerons avec le tribalisme islaique, notamment dans la contexte de la Doctrine islamique concernant « la Loyauté et l’Hostilité ». Par exemple, à la fois dans l’Islam et la Mafia, les membres qui veulent échapper au clan, « apostasier », se font éliminer.

Nous prendrons en compte la façon dont la Mafia et l’Islam ont, tous deux, profité, tout au long de l’histoire, du racket contre la « protection » : l’Islam exige la Jiziya de la part du Non-Musulman qui vit sous son autorité ou dans son territoire et la Mafia exige le pizzo, de la part des gens qui tombent sous sa juridiction.

En définitive, on considérera ce qui compte vraiment dans ces nombreuses similitudes entre l’Islam et la Mafia, y compris d’un point de vue historique.

1. Allah et Mahomet : Le Parrain et son Bras-Droit

Le padrino des plus grandes familles et organisations de la mafia – littéralement, le « Parrain » ou le « Patron des Patrons » « Capo de tutti Capi » – dispose du contrôle absolu sur ses subordonnés et il est le plus souvent craint pour son caractère impitoyable. Il a un « sous-patron », un bras-droit qui diffuse ses ordres et fait appliquer sa volonté. Le Parrain lui-même est souvent inaccessible ; les membres de la Mafia doivent intercéder auprès du sous-patron ou des autres associés de haut-rang.

En comparant cette hiérarchie avec celle entre Allah et son Messager, »Mahomet » (en Arabe, on réfère le plus souvent à Mahomet, comme étant l’asal-rasul, le messager »). A la différence du Dieu judéo-chrétien, un Dieu personnel, un Père, qui, selon le Christ consiste à communier directement avec lui (Matt 6:9)— le dieu de l’Islam, Allah, est inaccessible, inconnaissable, intouchable. Comme le Parrain. Ses ordres sont révélés uniquement à son messager, Mahomet.

Si le Dieu judéo-chrétien demande au fidèle « Viens, réfléchissons ensemble » (Isaïe 1:18), Allah dit : « Ne pose pas de questions sur des choses qui, si tu en avais connaissance, ne pourraient que t’infliger des douleurs supplémentaires » ((Coran 5:101). Tu n’as qu’à suivre les ordres.

2. « Une part du gâteau »

Le Parrain et son bras droit touchent toujours « une part de gâteau » – de tous le butin acquis par leurs subordonnés.

Ainsi font Allah et son messager, Mahomet. Coran 8 : 41 informe les Musulmans que « Un cinquième de tout butin de guerre que tu acquières va à Allah et au Messager « (suivis par la famille de Mahomet et, en dernier par le pauvre).

3. Assassinats

Le Parrain, grâce à son lieutenant, envoie régulièrement les hommes de la Mafia pour faire des coups –pour assassiner- ceux qui sont réputés être les ennemis de la Famille.

Ainsi font Allah et son Messager. Un exemple : un poète non-Musulman, Ka’b ibn Ashraf, a insulté Mahomet, poussant ce dernier à affirmer : « Qui tuera cet homme qui a insulté Dieu et son messager ? ». Un jeune Musulman Ibn Maslama, s’est porté volontaire, à condition que s’il se trouvait assez près pour assassiner Ka’b, il pourrait mentir au poète.
Le messager d’Allah a accepté. Ibn Maslama a voyagé vers Ka’b et a commencé à dénigrer l’Islam et Mahomet jusqu’à ce que sa désaffection semble si convaincante que le poète a commencé à le prendre comme confident. Peu de temps après, Ibn Maslama est apparu zavec un autre Musulman et, dès que le garde de Ka’b a été neutralisé, ils ont assassiné le poète, amené sa tête à Mahomet aux cris triomphants habituels de « Allah W’akbar ».

4. Tout dépend des circonstances

Bien que la mafia adhère à un code général de conduite, le Parrain donne des ordres plus fluides selon les circonstances.

Cela transparaît dans la totalité de la « Révélation » du Coran, où les derniers versets prennent le dessus et même contredisent les versets précédents, tout dépendant des circonstances ( connus, dans la jurisprudence islamique comme étant la al-nāsikh wal-mansūkh, ou la doctrine de l’abrogation).

Ainsi, alors qu’Allah est supposé avoir dit à Mahomet qu’il « n’y a aucune contrainte en matière de religion » (Koran 2:256), dès que le messager devient assez fort, Allah lui transmet de nouvelles révélations, l’appelant à une guerre totale/ au Jihad, jusqu’à ce que l’Islam obtienne la suprématie planétaire ((Coran 8:39, 9:5, 9:29, etc.).

Alors que d’autres écritures et religions comportent leurs propres contradictions, il n’y a que l’Islam qui les rationalise au moyen d’abrogations – qui correspond au fait de donner plus de prédominance aux derniers versets, qui sont les toutes dernières décisions de la Déité.

5. La Loyauté au Clan

La loyauté est fondamentale pour la Mafia. Suivant des rituels élaborés de pactes de sang, on attend des membres de la Mafia qu’ils fassent preuve d’une loyauté absolue envers la famille, sous peine de mort.
De façon identique, on attend des membres de la mafia qu’ils soient toujours disponibles pour la famille – « même si ta femme va accoucher, » comme le précise l’un des dix commandements de la Mafia – et qu’ils défendent le Parrain et son honneur, même si cela doit leur coûter la vie.

On peut comparer cela à la propagation de la violence et aux soulèvements qui surgissent, dès qu’Allah ou don prophète sont offensés – c’est-à-dire dès que des « infidèles » non-musulmans blasphèment. Ou , comme le définit Bill Maher : « la seule religion, qui agit comme la Mafia, qui n’hésitera pas à foutrement vous tuer si vous dites ce qu’il ne faut pas dire, si vous dessinez le dessin qu’il ne faut pas dessiner, ou si vous écrivez le livre qu’il ne fallait pas écrire ».

La doctrine islamique de « La Loyauté et de l’inimitié » (al-wala’ wa’l bara’) –qui appelle tous les Musulmans à être loyaux l’un envers l’autre, même s’ils se détestent l’un l’autre – est particulièrement illustrative. Le passage de Coran 9:71 déclare que : « Les Croyants et les Croyantes sont alliés les uns envers les autres (voir aussi 8:72-75). Et selon Mahomet, « Le Musulman est le frère du Musulman. Il ne l’opprime jamais ni ne l’humilie ni ne le regarde de haut… Tout ce qui appartient à un Musulman est inviolable pour son frère de la foi ; son sang, sa fortune et son honneur » – qui sont précisément les trois choses que respectent les hommes de la Mafia entre eux. C’est pourquoi, les Musulmans comme le Major de l’armée américaine Nidal Hassan, dont le « pire cauchemar » est d’être déployé pour combattre des semblables musulmans, se déchaînent.

6. Mort aux Traîtres

Dès que le membre novice de la Mafia prête serment de loyauté à la mafia – y compris au code du silence et de secret dit de l’Omerta – tenter de quitter la « famille » équivaut à une trahison et est punissable de mort. Tout membre de la famille, petit ou grand, a autorité pour tuer le traitre, celui qui a « retourné sa veste ».

Comparez cela à ce qui se passe en Islam : le fait de naître de père musulman fait automatiquement du nouveau-né un musulman – il n’y a même pas de serment à passer, pas plus que de choix en la matière. Et selon la loi islamique, si ceux qui sont nés musulmans, à n’importe quel moment de leur vie, choisissent de quitter l’Islam, on les désigne comme « apostats » -traitres- et son punis, y compris par la mort. Tout musulman zélé, et pas uniquement les autorités – est justifié à tuer l’apostat (d’où les familles musulmanes qui tuent leurs enfants apostats sont rarement, voire jamais poursuivies).

Selon les paroles de Mahomet –le messager, sous-chef d’Allah (le parrain) : « Quiconque quitte sa foi islamique, tue-le »

7. Ne jamais croire ni sympathiser avec les Etrangers ».

Excepté la loyauté envers la famille, on attend aussi des membres de la mafia qu’ils s’acoquinent pas ou qu’ils ne s’associent pas aux « étrangers » -qui, par nature, ne doivent pas inspirer confiance, puisqu’ils ne font pas partie de la famille –à moins qu’une telle « amitié » contribue à faire progresser les positions de la famille.

De la même manière, la seconde moitié de la doctrine de « Loyauté et d’inimitié » (al-bara’)— appelle les musulmans à maintenir leurs distances et à porter de l’inimitié à tous les non-musulmans ou »infidèles ».

Ainsi Coran 5 :51 met en garde les Musulmans contre le fait de « prendre les Juifs et les Chrétiens comme amis et alliés… Quiconque d’entre vous les prend pour amis et alliés, il est sûrement l’un d’entre eux ». Selon l’exégèse principale de l’Islam, celle d’al-Tabari, Coran 5 : 51 signifie que les Musulmans » qui s’allient à eux [les non-Musulmans »>Article original et les favorisent contre les croyants, de même que ces membres de leur foi et de leur communauté », c’est un déserteur, un apostat et un ennemi.

Des passages identiques comprennent Coran 4:89, 5:54, 6:40, 9:23, et 58:22 ; ce dernier déclare simplement que les vrais Musulmans ne deviennent pas amis des non-Musulmans –« même si étaient leurs pères, frères, fils ou membres de leur famille ». Coran 60:1 déclare : « ö vous qui croyez ! Ne prenez pas mon ennemi ni votre ennemi [le non-croyant »>Article original pour ami : pourriez-vous leur offrir de l’amour, alors qu’ils nient la vérité qui vous est donnée [alors qu’ils démentent l’Islam »>Article original » ? Et le Coran 4 : 144 déclare : « ö Vous qui croyez ! Ne prenez pas les infidèles comme alliés, plutôt que les croyants. Voulez-vous donner à Allah [au parrain »>Article original un cas manifeste contre vous-mêmes ? ».

8. Tromperie et Dissimulation

Comme mentionné, les relations étroites avec les individus qui n’appartiennent pas à la mafia qui s’avèrent avantageuses pour la famille (par exemple, la collaboration avec un « flic pourri ») sont permises – tant que la Mafia conserve une distance de sécurité, maintenant avec l’étranger un lien de dépendance.

En comparant ceci avec le verset 3 : 28 du Coran, qui commande : « Croyants, ne prenez pas les infidèles comme amis et alliés, plutôt que les croyants… à moins que vous vous gardiez contre eux, en prenant vos précautions ». Selon la norme du commentaire du Coran par Tabari, « prendre ses précautions » signifie :

« Si vous [Musulmans »>Article original vous trouvez sous leur autorité [des non-Musulmans »>Article original, craignez pour vous-mêmes, comportez-vous loyalement envers eux et tenez-leur un langage aimable, tout en conservant une animosité intérieure contre eux… [Mais sachez que »>Article original Allah interdit aux croyants d’être amical ou en bons termes intimes avec les infidèles plutôt qu’envers d’autres croyants – excepté quand les infidèles les dominent [par leur autorité »>Article original. Si tel est le cas, laissez-les agir amicalement envers eux de façon à préserver leur religion.

Après avoir interprété le verset 3 : 28 du Coran, comme signifiant que les Musulmans peuvent « se protéger par les signes extérieurs » quand ils sont sous autorité non-musulmane, through outward show, qui est, peut-être le plus célèbre exégète musulman, cite le prophète de l’Islam (le lieutenant) qui dit : « Vraiment, nous sourions au visage de certains peuples, alors que nos cœurs les maudissent ».

De façon identique, le Cheikh Muhammad Hassan— un Imam salafiste dominant en Egypte – affirmait en direct à la télévision qu’alors que les Musulmans ne devraient sourire en face de non-Musulmans, ils doivent cependant le faire, quoi que de façon insincère, si le faire permet de renforcer l’Islam, particulièrement dans le contexte de la da’wa [prédication »>Article original.

L’idée de haïr les « étrangers » est, apparemment, à tel point ancrée en Islam qu’un autre imam salafiste important, le Dr. Yasser al-Burhami insiste sur le fait que, lorsque des hommes musulmans épousent des femmes chrétiennes et juives, ils doivent continuer de les haïr au fond de leur cœur — et leur montrer qu’ils les haïssent dans l’espoir qu’ils se convertissent à la « famille » de l’Islam.

(Pour en savoir plus sur la doctrine de « la loyauté et de l’inimitié », dont les références aux sources exégétiques citées au-dessus, voir le traité complet du Dr Al Zawahiri, chef d’al Qaïda, diffusé sous ce titre dans The Al Qaeda Reader, pages. 63-115.)

9. « Une offre que vous ne pourrez pas refuser »

Bien que le roman transformé en film, « Le Parrain »,est fictionnel, il saisit néanmoins l’essentiel du modus operandi de la Mafia. Prenez en compte, par exemple, que l’une des répliques restées les plus célèbres— »Je vais lui faire une offre qu’il ne peut pas refuser »— prononcée par Le Parrain à l’un de ses filleuls, un jeune qui aspire à devenir acteur et chanteur. Après s’être vu refuser le rôle dont il rêvait désespérément par un directeur de studio, le filleul se tourne vers son Parrain pour obtenir son aide.
Alors que le film se poursuit, il devient clair que cette offre qu’il ne pouvait pas refuser consiste en rien de moins que des menaces de violence et de mort : après le refus signifié par le directeur de studio au messager du Parrain, le directeur se réveille le matin suivant en trouvant la tête décapitée et ensanglantée de son étalon favori dans le lit auprès de lui. A la suite de quoi, le filleul obtient le rôle dans son film.

Tout au long du scénario de la trilogie toute entière du Parrain (qui saisit bien l’approche mafieuse des affaires) faire une « offre qu’il ne peut pas refuser » à quelqu’un veut dire : « Fais comme je te le dis ou subis-en les conséquences », probablement la mort.

On doit comparer cela au triple choix laissé par l’Islam : « Sur les ordres de Mahomet, chaque fois que les Musulmans conquièrent un territoire au nom de l’Islam, ses habitants non-musulmans sont mis face à trois choix possibles : 1) se convertir à l’Islam (« rejoindre la famille »), 2 Garder votre identité religieuse, mais payer le tribut (Jiziya, voir ci-dessous) et vivre comme un étranger, « un dhimmi » soumis. Ou 3) l’exécution.

A travers l’histoire, se convertir à l’Islam a été une « offre » qu’un nombre incalculable de non-Musulmans n’ont pas pu refuser. En fait, cette « offre » est responsable de la transformation de la majorité du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, qui étaient en majorité chrétiens au 7ème Siècle, alors que le Jihad a éclaté depuis l’Arabie, pour devenir le « Monde musulman ».

Et cette offre est toujours bien vivante de nos jours. Par exemple, plusieurs Chrétiens trop vieux ou handicapés qui n’étaient pas en mesure de se joindre à l’exode hors des zones contrôlées par l’Etat Islamique ont opté pour la conversion à l’Islam plutôt que de mourir.

Comme la Mafia, l’offre de l’Islam de soumettre les non-Musulmans (les étrangers) correspond fondamentalement à « rejoindre notre famille », aidez-nous et nous vous aiderons ; refusez et nous vous porterons préjudice ».

10. Le Racket de « protection »

Dès que la Mafia prend possession d’un territoire, l’un des tout premiers moyens dont il profite consiste à récolter « l’argent de la protection » extorqué à ses habitants. Bien que le racket de protection puisse prendre plusieurs formes, l’un en particulier est semblable à une pratique islamique : contraindre les gens, à l’intérieur du territoire de la mafia à verser de l’argent pour la « protection », ostensiblement contre les éléments extérieurs ; en fait, la protection achetée est due à la mafia elle-même – ce qui n’est autre chose que de l’argent extorqué, ou pizzo. Les « clients » potentiels qui refusent de payer pour la « protection » de la mafia, voient souvent leur propriété vandalisée et ils sont régulièrement menacés et harcelés.

On peut comparer la récolte du pizzo au concept islamique de jiziya. Le terme de jiziya appara^ti dans le verset 9 : 29 du Coran : « Combattez ceux au sein des peuples du Livre [Chrétiens & Juifs »>Article original qui ne croient pas en Allah ni au Jugement dernier, ni ne pardonnent ce qu’Allah et son Messager ont pardonné, ni n’adoptent la religion de Vérité, jusqu’à ce qu’ils paient la jiziya avec la volonté de soumission et le sentiment qu’eux-mêmes se soumettent (insistance ajoutée) ».

Dans le Hadith, le Messager d’Allah, Mahomet – dans notre analogie, le « « lieutenant » – appelle régulièrement les Musulmans à exiger la Jiziya des non-Musulmans : « S’ils refusent de reconnaître l’Islam », dit le prophète, « exigez d’eux la jiziya. S’ils acceptent de payer, acceptez-le d’eux et retenez votre main. S’ils refusent de payer la Jiziya, cherchez l’aide d’Allah et combattez-les ». La racine du terme « jiziya » en arabe signifie simplement « reversement » ou « récompense », essentiellement de « compenser » pour quelque chose. Selon le Dictionnaire Hans Wehr, le dictonnaire arabe-anglais standard, jiziya est quelque chose qui « prend la place » de quelque cxhose d’autre, « ou sert à sa place ».

Dit simplement, les Non-Musulmans conquis doivent racheter leur vie par de l’argent, sans quoi elle leur est prise par leurs conquérants musulmans. Comme l’a dit un juriste médiéval : « Leur vie et leurs possessions ne sont protégées qu’en raison d’un paiement ou jiziya » (Crucified Again, p. 22).

Pour couronner le tout, tout comme la mafia rationalise son recueil « d’argent de la protection », en le présentant comme l’argent qui achète la protection de la mafia contre les « étrangers » – alors que cet argent ne sert qu’à protéger le client de la mafia elle-même – de même les apologistes de l’Islam présente la récolte de la Jiziya comme de l’argent destiné à acheter la protection des Musulmans contre les étrangers, alors qu’en fait, cet argent/jiziya achète la protection contre les Musulmans eux-mêmes.

Conclusion : La Mafia, en un mot, qu’est-ce que c’est ?

Qu’est-ce qui compte vraiment dans ces similitudes entre l’Islam et la Mafia ? On en trouve un indice dans le fait que le seul mot de « mafia » en lui-même, qui signifie : « hostilité à la loi, audace » découle du mot arabe mahya , qui, traduit, veut dire : « se vanter, faire de la bravade, faire le fanfaron ».

Cette étymologie est un rappel que la Sicile, lieu de naissance de la mafia, a été sous domination arabo-islamique durant plus de 200 ans. Au-delà d’un emprunt étymologique, est-ce que certains modus operandi de la mafia ont aussi été empruntés à l’Islam ? Isolés sur leur île, est-ce que les autochtones siciliens ont coopté les techniques de contrôle social qu’ils ont eux-mêmes vécu et appris sous le règne de leurs anciens suzerains – en les soustrayant à toute vénération islamique ?

La mafia n’est pas le seul exemple historique d’organisation criminelle non-musulmane à avoir été influencée par l’Islam. Par exemple, les Thugees (ou secte d’étrangleurs indiens) – auxquels nous devons le terme de « Thug » -voyou- étaient une confrérie de bandits alliés et d’assassins qui attaquaient et assassinaient sauvagement les voyageurs en Inde, souvent en feignant d’abord l’amitié. Bien qu’ils aient plus tard été associés au culte hindou de Kali, les Thugees originels étaient tous Musulmans. Jusqu’au 19 ème siècle, un grand nombre de Thugees capturés et condamnés par les Britanniques, étaient musulmans.

Les similitudes sont évidentes : En même temps qu’il assassinait ses opposants, y compris, comme on l’a vu, grâce à la tromperie, Mahomet s’est aussi, personnellement engagé dans le banditisme, en saccageant les caravanes des tribus ennemies.

Et si les termes « mafia », « voyou » renvoient à une étymologie arabe-islamique, les mots « assassiner » et « assassin » découlent d’une secte médiévale islamique : les Haschichins, qui ont été les pionniers en matière d’assassinat politique – à travers des promesses de paradis hédoniste en faveur de l’assassin qui était presque certain de mourir – au nom de l’Islam.

A tout niveau, lorsque Bill Maher, personnalité sur HBO a récemment proclamé que l’Islam est « la seule religion qui agit comme la Mafia, qui n’hésitera pas à foutrement vous tuer si vous dites ce qu’il ne faut pas dire, si vous dessinez le dessin qu’il ne faut pas dessiner, ou si vous écrivez le livre qu’il ne fallait pas écrire », il ne faisait en fait, que toucher du doigt les similitudes entre la Mafia et d’autres organisations criminelles et l’Islam.

Raymond Ibrahim est expert Shillman au Centre David Horowitz pour la Liberté, Ecrivain de la promotion Judith Friedman Rosen au Middle East Forum et contributeur pour CBN. Il est l’auteur de : Crucified Again : Exposing Islam’s New War on Christians(2013) et de : The Al Qaeda Reader (2007).

Par Raymond Ibrahim
PJ Media
5 décembre 2014
[http://www.meforum.org/4923/ten-ways-the-mafia-and-islam-are-similarArticle original

Adaptation : Marc Brzustowski.

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jacqueline

Le point commun n ‘est pas seulement avec la mafia mais aussi avec tous les fascistes ; nazisme, stalinisme et tous ces chefs des pays de l’URSS etc etc

Ce sont des menteurs, des voleurs,des tueurs et autres méfaits pour arriver à leur fin et bien sûr, les islamistes ont tout ces points communs.

Richard

Et le meilleur moyen de couper les têtes serai d’arrêter de financer cette via l’or Noir cette pourriture. Achetons plutôt le pétrole aux Russes et aux Américains, et croyez-moi la pieuvre va se bouffer les tentacules.{{ C’est juste Total qui fera un peu la gueule, mais bon on peu faire l’effort de s’adapter.}}

Armand Maruani

{{L’Islam ? Un fond de commerce que l’on offre aux plus violents et qui soumettent le maximum de personnes a leurs idees ,}}

{{Un melange du criminel , pedophile , escroc , menteur , bref la pourriture parfaite a qui il ne faut jamais tourner le dos car lache en plus .}}

{{Il est temps comme pour les pieuvres , a commencer par couper les tetes ………. ce qui est valable pour toutes les mafias .}}

alloin

Si l on prend la Torah et ses preceptes ,lois ,interdis et choses autorisees ,malgres le plagia il y a des divergences d incompatibilite ,en prenant le nouveau testament a Revelation 22\19 « tu ne retrancheras rien ,ni n ajouteras rien .(les musulmans disent reconnaitre les prophetes de la bible et Jesus )donc il y a gros probleme car en se referant deja a Revelation ,le nouveau testament considere toute religion a venir comme fausse .,,maintenant le petit detail que Abraham devait sacrifier Ismael !!!chose que des milliards d individus croient et que ca devient « l aid »!! enfin quand Machia se revelera nous serons deja soulage de ce cote ,,,,

JD NICE

Personnellement, j’aurai plutôt travailler le côté spirituel de la chose,
en faisant un comparatif du Coran et de la Bible…

Les Musulmans devrait savoir que Dieu est Tout Puissant,
et donc que Sa Parole, la Bible n’ a pas été modifié…
reconnaître l’inverse est en soi-même une négation de Dieu, et de Sa Toute Puissance !
Car c’est clairement faire passer Dieu pour faible, ou menteur !!!

Mohamet ne répond pas aux critères demandé par Dieu en tant que prophète !
Sans parler que la vie de Mahomet est un contre témoignage vivant à l’encontre de Dieu…

Depuis quand Dieu, agirait-Il de manière démoniaque ?!
Dieu n’est pas un homme pour mentir !!!

Dieu a choisit Isaac, et non, Ismaël…

Dieu a choisit Jérusalem, et non la Mecque, connu pour son idolâtrie…

Dieu a choisit Israël, et non l’Arabie Saoudite…

Tous les prophètes étaient Juifs, et non Mahomet…

Il est très facile de prouver les choix de Dieu…

Malheureusement, les Musulmans n’ont pas le droit de discuter
en ce qui concerne leur religion, car ils seraient facile de les déstabiliser,
de leurs prouver qu’ils sont dans l’erreur !!!

Et même le fait, même de reconnaître qu’ils se sont fait « séduire »,
ferait d’eux des apostats, digne de mort par les autres Musulmans !

C’est donc vraiment l’histoire du serpent qui se mord la queue !!!

Il est très facile de prouver que Mahomet était un faux prophète…
et qu’Il était dans l’obligation de mentir et de tricher pour imposer le Coran et l’Islam…
par le mensonge, l’intimidation, la violence, et le meurtre !!!

La Vérité et l’Intégrité n’ont malheureusement pas leurs places dans l’Islam !