La députée Les Républicains Brigitte Kuster a fustigé mercredi le refus du Premier ministre Édouard Philippe de nommer l’antisémitisme musulman.
“Vous l’avez annoncé vous-même la semaine dernière, les actes antisémites ont augmenté de 69% depuis début janvier. Pour marquer les consciences, vous avez même été jusqu’à faire référence à la terrible Nuit de cristal perpétrée il y a 80 ans en Allemagne”, a rappelé l’élue lors des questions au gouvernement à l’Assemblée.
“Mais de quel antisémitisme parlons-nous ? Vous ne le nommez jamais ! Vous ne le nommez jamais ! C’est comme si derrière ces statistiques il n’y avait ni coupables ni criminels. Bien sûr, toutes les formes d’antisémitismes sont à combattre sans relâche. Que cela soit l’antisémitisme des groupuscules néonazis, tout comme l’antisémitisme, plus sournois, des activistes du boycott d’Israël. Ces mouvements sont-ils la cause principale de l’explosion de haine que nous connaissons actuellement ? Le doute est permis”, a-t-elle poursuivi.
“À l’inverse, il existe une forme d’antisémitisme qui procède d’un véritable système, qui agit à visage découvert et dont la dangerosité n’est plus à prouver. Cet antisémitisme tue : Mireille Knoll, Sarah Halimi et tant d’autres… Il chasse des familles de quartiers où elles vivaient depuis des générations. Il refuse, voir interdit, l’enseignement de la Shoah à l’école. Cet antisémitisme a un nom : islamisme. Mais ce nom, jamais vous ne le prononcez ! Croyez-vous, Monsieur le Premier ministre, que les mesures que vous avez annoncées suffiront à combattre le fascisme islamiste ?”, a conclu la députée.
Merci à Mme la députée Brigitte Kurster pour la clarté et la lucidité de son exposé.
La réponse vaseuse du ministre qui noie le poisson est très décevante.
Remercions Madame Kuster pour sa position claire et courageusement exprimee.
Et les 10 millions d arabes qui votent en France ? Qui refuse leurs voix , desormais capables de faire et defaire une election en attendant la charia ?
Appeler un shah un shah.
En l’occurrence, le concerné est resté cerné. Un merdhyque le reste parce qu’il l’ est, merdhyque. Comme disait Georges, quand on est c…, on le reste. Sauf que le gars, c’est le Premier.
De quoi ?
Elle est bien, cette petite…
nous attendons la réponse de ce connard de ministre