L’ancien président français Nicolas Sarkozy, chef du parti républicain, a affirmé que tout ce qui aurait dû être fait « depuis dix-huit mois » et l’attentat de Charlie Hebdo « ne l’a pas été », dimanche sur TF1, trois jours après l’attentat de Nice.
« Je veux dire que tout ce qui aurait dû être fait depuis 18 mois ne l’a pas été », a lancé l’ex-chef de l’État sur un ton très ferme. « Je sais parfaitement que le risque zéro n’existe pas », a-t-il ajouté, mais « nous avons une obligation de moyens pour assurer la sécurité des Français ».
« Nous sommes en guerre, une guerre totale. Nos ennemis n’ont pas de tabous, pas de frontières, pas de principes. Donc, je vais employer des mots forts: ça sera eux ou nous », a-t-il déclaré, ajoutant qu’une « autre politique est possible ».
Il a estimé que l’appel du gouvernement à rejoindre la réserve opérationnelle civile après l’attentat de Nice qui a fait 84 morts, n’était pas de nature à « résoudre le problème du terrorisme », même si, a-t-il souligné, « personne ne pense » que ce « ne soit pas bien ».
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Boyer m’interdit de dire la même chose, bravo.
Nous avons sur notre sol des individus capables, (la cinquième colonne) de ce mobiliser pour attaquer individuellement et à plusieurs, en plusieurs endroits.
Arrêtons d’enfouir nos cerveaux dans le sable et ce n’est pas avec un nombre restreint de réservistes que nous arriverons à donner un coup de main à nos jeunes engagés volontaires.
Supplémentairement, recrutons des Français Européens, armons-les et cessons de jouer au nini.
Au sujet des Anglais, ce n’est pas quand l’Europe est en danger qu’il faut voter pour la désertion.
il n’aurait pas fait mieux, car il n’osera jamais à s’attaquer aux racines du probleme: l’envahissement de la France dont les mains sont liées par l’Europe.
Chapeau bas aux anglais, qui ont quelque chose dans le pantalon