Marche de la colère: Pourquoi le nombre de suicides dans la police a explosé
Les syndicats policiers ont appelé à un grand rassemblement ce 2 octobre. Avec, en tête de leurs préoccupations, la lutte contre le suicide au sein de la profession.
POLICE – “Pour accepter tout ce qu’on subit et faire quand même notre boulot, on est forcément amoureux de notre métier…”
Ce mercredi 2 octobre, ils pourraient être 20.000 policiers à marcher dans les rues de Paris pour protester contre leurs conditions de travail et contre le silence de leur hiérarchie, jusqu’au ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Et, surtout, contre une vague de suicides sans précédent.
Depuis le 1er janvier, le “compteur de la honte” affiche 52 morts, issus de tous les corps de la police nationale.
En temps normal, il n’atteint généralement pas 40 en un an. Le fruit, à en croire les policiers qui ont bien voulu témoigner auprès du HuffPost, d’une nouvelle donne sociale à laquelle la police n’a plus les moyens de répondre, d’une évolution des composantes de l’administration, d’un rôle de bouc-émissaire de la société que les intéressés ne s’expliquent pas vraiment.
“C’est impressionnant à quel point on se fiche de nous”, explique au HuffPost un fonctionnaire qui affiche 25 ans d’ancienneté.
“On a l’impression d’être des sous-citoyens. Si on fait un truc de travers, on a des associations sur le dos. Mais quand Jean-Luc Mélenchon nous traite de barbares, ça ne choque personne. Rien n’est fait pour nous défendre.”
Trois ans et demi de douleurs et de sollicitations
Or, ces femmes et ces hommes ont souffert, comme ils le clameront ce mercredi. Un couple de fonctionnaires tués par un terroriste à l’été 2016 à Magnanville, des collègues visés par des cocktails Molotov à Viry-Châtillon quelques mois plus tard, les manifestations contre la loi Travail en 2017 qui ont vu les opposants devenir de plus en plus violents, l’affaire Théo et les accusations de violences portées contre le corps dans son ensemble, la crise des gilets jaunes et la mobilisation de tous les instants demandée aux policiers depuis un an, le qualificatif de “barbares” utilisé par le leader des Insoumis… Chaque flic date à sa manière le point de départ de cette colère qui aura bientôt cessé d’être sourde. Lire la suite
OK. Faute aux législateurs.
Mais pourquoi tuer des collègues au… couteau ?
Et l’avoir abattu, le « collègue », dans la cour, inoffensif ?
Tempérance avant de juger : le type de la Préfecture de Police serait visiblement un récent converti à l’Islam qui ne saluait plus les femmes et qui était convoqué par sa cheffe pour « évaluation » : cette dernière a eu lieu plus tôt que prévu. Réside à Gonesse, ça va encore danser dans les banlieues. Le cas était quand même affecté au service informatique du « renseignement » : tout un poème
On se doutait qu’une attaque au couteau, ce n’était point le fait d’un snob, mais d’un amateur de rituel. Fauk’ça saigne.
Et qui aime quand ça beigne dans l’ hémoglobine ? Ça les amuse, ulman.
@ » A moins que Napoléon Bonaparte par miracle se réveille et revienne aux Tuileries . »
Je me serai bien présenté à sa place mais dans la minute qui suivrait mon élection il y aurait une nuit de Cristal .
Et puis avec mes origines séfarades je ne ferai pas l’unanimité même au sein de notre communauté .
Qu’il est difficile d’être Bonaparte quand on est Juif tunisien .
Vous me voyez kidnapper le Pape et le garder prisonnier à Fontainebleau ?
Non j’ai bien réfléchi je ne me présenterai pas .
C’est mon dernier mot .
La police et l’armée ne se sentent pas soutenues par notre dirigeant .
Un illusionniste qui s’en fout de tout .
Seul son égo compte .
Franchement ce genre de nouvelles me fend le coeur .
Notre police et notre armée sont les derniers remparts d’une République en grand danger .
Je pense que l’armée avec le soutien du peuple de France devrait prendre le pouvoir .
Pourquoi pas un référendum ?
A moins que Napoléon Bonaparte par miracle se réveille et revienne aux Tuileries .