D’abord signalé par « le Collectif des Vigilants »

Nadir Kahia, le Président de « Banlieues-Plus », une officine de Gennevilliers qui prétendait lutter pour l’émancipation et la reconnaissance des atouts des périphéries des grandes villes, et qui, au final ne travaille presque exclusivement que pour la promotion d’un discours misérabiliste sur les Musulmans et l’Islam, vient d’émettre une « perle » en matière de révisionnisme historique aux accents victimaires inégalables :

Par une fausse équivalence morale, il veut distordre les règles de comparaison historiques en les stigmatisant comme « hypocrites », alors qu’il s’agit de critères moraux atemporels indispensables à fonder le jugement

En l’absence de tout événement historique grave, il s’invente une victimisation  par défaut, en accusant autrui d’attendre ou de préparer un « génocide » imaginaire, dès qu’on refuserait d’admettre que le traitement des seuls « Musulmans » en banlieue aujourd’hui « équivaut » au « Malheur des Juifs français, suite au génocide européen (Shoah) ».

Mais, comble d’apitoiement sur soi-même, il faudrait encore que l’Etat français d’aujourd’hui « mette en oeuvre » l’étape « finale » de la ghettoïsation en HLM, à savoir le prétendu « génocide en bonne et due forme » dont l’accuse l’hystérique Nadir Kahia, pour que le monde comprenne « enfin! ».

Une telle supercherie discursive relève de la pure imposture pour s’asseoir à « la place du mort » et en tirer tous les « bénéfices » présumés, dans la pire des concurrences victimaires, nous rappelant que les processus n’ont strictement rien à voir entre eux :  depuis l’exclusion politique et sociale des Juifs à Nuremberg (1933), à la promulgation des lois scélérates d’octobre 1940, en France, ici opposées à la promulgation dans les années 50-60 de l’Habitat à Loyer Modéré, à la démultiplication de l’offre de sanitaires, de lavabos, de baignoires (où abattre épisodiquement le mouton), d’ascenseurs, d’eau chaude et d’électricité, même si tous ces bienfaits du progrès n’ont pas résolu le problème de l’absence de mixité sociale et l’intégration de tous… Pour des raisons qui demeurent à éclaircir, mais c’est un autre chapitre.

En attendant, ces conditions de vie, tant que se maintient « ‘l’ascenseur social », ont permis l’émergence d’une « Beurgeoisie », une classe intermédiaire qui a su en finir avec la paupérisation en banlieue, avec ou sans, mais le plus souvent sans, revendication ultra-musulmane.

La victimisation en banlieue sert surtout à y légitimer une offre alternative à la République, qui n’est autre que le séparatisme que dit combattre Darmanin, aujourd’hui : si les ministères régaliens ont échoué, alors il faut ouvrir toutes grandes les portes des banlieues aux associations issues des Frères Musulmans et recoloniser à l’envers les « territoires perdus » par la République. Ainsi va le fond du discours et des arrière-pensées de Nadir Kahia, l’infiltré. Dès 1990, aux arrêts de bus de Vaulx-en-Velin-Dimitrov, on voyait fleurir les barbes afghanes et bonnets caractéristiques des cousins algériens revenus du Jihad et visitant les futurs Khaled Kelkal du coin…

Nadir-le-démago-menteur nous rappelle d’ailleurs un autre énergumène de même acabit :

Le maire EELV de la banlieue privilégiée de Colombes (Hauts-de-Seine) Patrick Chaimovitch comparant les forces de l’ordre à la police de Vichy. 

Le véritable drame de ces ignorants de l’histoire qui crachent sur l’absence de tombes de nos grands-parents s’accentue alors quand certains de ces gauchistes dévoyés se réclament encore d’un patronyme juif, ajoutant l’insulte et la haine de soi à l’ignominie de leurs comparaisons indécentes.

Mais si le Ministre de l’Intérieur et des Cultes porte plainte contre le Maire si peu « écolo » des mentalités,

Qui en fera autant contre le faussaire Nadir Kahia? L’honneur des policiers d’aujourd’hui sera sauf, si cette plainte va jusqu’au bout. Qu’en est-il pour les victimes juives d’alors, déportées à Drancy, puis Auschwitz et que piétine Nadir- l’escroc moral et intellectuel? Où sont passées les associations juives de la mémoire?

Marc Brzustowski (impliqué donc subjectif)

Le collectif des Vigilants alerte : 

Une comparaison qui ne passe pas. La polémique enfle ce lundi après la diffusion sur les réseaux sociaux de déclarations du maire EELV de Colombes (Hauts-de-Seine) Patrick Chaimovitch comparant les forces de l’ordre à la police de Vichy.

« Les policiers français, les gendarmes français qui ont obéi aux ordres de leurs supérieurs en mettant en œuvre la rafle du Vel d’Hiv et d’autres rafles après et ailleurs sont les ancêtres de ceux qui aujourd’hui avec le même zèle traquent les migrants, les sans-papiers (…) », a déclaré l’édile le 19 juillet, selon une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, tournée lors d’une commémoration de la rafle du Vel d’Hiv.

« Regrets » et « soutien aux policiers et gendarmes »

Dans un communiqué adressé à l’AFP, le maire dit « regretter que (s) on propos ait pu porter à confusion » et rappelle son « soutien aux policiers et aux gendarmes qui exercent la lourde responsabilité républicaine de sécurité dans des conditions extrêmement difficiles ».

« Il n’y a pour moi aucune comparaison possible entre police et gendarmerie d’un Etat démocratique d’une part, et police et gendarmerie de l’État pétainiste d’autre part », insiste-t-il, réfutant tout parallèle entre « le sort des migrants » et celui « des Juifs promis à l’extermination ».

Polémique et menace de plainte

Dimanche, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait dénoncé des « propos scandaleux et insupportables » envers la police et la gendarmerie, menaçant de déposer plainte s’ils étaient bien confirmés.

« Ce maire à peine élu à Colombes, par ses propos infâmes, incarne désormais la honte de la République et déshonore déjà son mandat », a dénoncé le syndicat des commissaires de la police nationale sur Twitter. « Il déshonore son mandat. Il est une honte pour la République. Comparer les policiers actuels avec ceux du régime de Vichy : c’est indigne (…), a également tweeté le syndicat indépendant des commissaires de police.

Plusieurs élus de droite dont la présidente de la région IDF Valérie Pécresse se sont émus de ces propos. « Comparaison insensée et scandaleuse du maire EELV de Colombes : nos forces de l’ordre agiraient comme la police de Vichy ! L’Etat doit porter plainte (…) », a-t-elle tweeté.

20minutes.fr