NEW YORK, NY - SEPTEMBER 24: Turkish President Recep Tayyip Erdoan speaks at the United Nations (U.N.) General Assembly on September 24, 2019 in New York City. World leaders are gathered for the 74th session of the UN amid a warning by Secretary-General Antonio Guterres in his address yesterday of the looming risk of a world splitting between the two largest economies - the U.S. and China. (Photo by Stephanie Keith/Getty Images)

Le gouvernement grec affirme que le flux migratoire à destination de la Grèce est sous le contrôle direct du président turc Recep Tayyip Erdoğan ; c’est lui qui active ou désactive ce flux en fonction des budgets et concessions politiques qu’il espère obtenir de l’Union européenne.

Ces derniers mois, le gouvernement turc a menacé à plusieurs reprises d’ouvrir les vannes de la migration de masse vers la Grèce et, par extension, vers le reste de l’Europe.

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Franck

il faudra bien un jour arrêter ce type qui agresse ses voisins tous azimuts .. En tout cas il ne faut plus compter sur Trump le petit comptable de la première puissance mondiale; néanmoins le satrape d’Istanbul a quand même réussi à se mettre à dos, Israël, la Grèce,Chypre, les kurdes et l’ensemble du monde arabe

Damran

Le Sultan d’Istanbul continue ses provocations insensées en toute tranquillité.
Ainsi, après avoir envoyé des navires pour tenter d’effectuer des forages au large de Chypre pour exploiter et s’accaparer des réserves de gaz, le voilà en train de provoquer un nouveau génocide contre les Kurdes qu’il veut exterminer comme les Arméniens, tout en utilisant le robinet de l’invasion de l’Europe par des millions de « réfugiés » qui peuvent être infiltrés par des terroristes islamistes, toujours prêts à commettre des massacres et des violences partout où il s’installent, nous le constatons dans les pays hôtes.
La réaction de TRUMP n’est pas à la hauteur de la situation, elle est exprimée de façon peu convaincante.
Il faut dire que d’un côté, le Sultan fait partie de l’OTAN, que des bases américaines sont installées en Turquie pour couvrir le Moyen Orient, sans parler des relations économiques importantes qui existent entre les deux pays, ceci peut expliquer la « timidité » de TRUMP.
Reste l’option des sanctions économiques qui ne sont pas sans risques; le Sultan dans sa folle fuite en avant, peut demander le départ des bases américaines installées en Turquie, ce qui provoquerait une situation géostratégique catastrophique en Méditerranée et dans la région.
Que faire contre un dirigeant mégalomane qui s’est mis dans la tête de restaurer l’Empire Ottoman, tandis que son allié objectif, tente lui aussi, de restaurer la grandeur de l’ex URSS ???