Un conglomérat de la désinformation.
On pourrait croire que plus il y a d’organes de presse, plus l’objectivité des révélations est réelle.
C’est peut-être là justement où se trouve la tromperie. Il y a les meneurs qui sont toujours les mêmes (New-York Times, Washington Post, le Monde les médias de gauche voire d’extrême gauche France-Inter France-Info et compagnie) et les moutons qui suivent.
Il y a peu, ce conglomérat de médias prétentieux avait essayé de déstabiliser Israël avec l’affaire Pegasus, qui a fait pschitt. C’est dans la même veine que la décision de Ben & Jerry cherchant à boycotter Israël, avait eu un écho mondial, et l’affaire s’est retournée contre les dirigeants et la société. Dans l’affaire qui nous concerne, c’est bizarrement DSK qui est visé, alors qu’il dément formellement les allégations mensongères.
En fait, la gauche semble vouloir se doter d’un moyen de pression planétaire, pour contrer la chute de son influence dans l’opinion publique qui s’est « droitisée » parce qu’une partie importante de l’opinion publique mondiale vomit la pensée gauchisante. Cette gauche aggrave chaque jour son cas en insultant ceux qui ne pensent pas comme elle, en traitant de droite, d’extrême droite, de populistes, voire de fascistes ou de nazis ceux qui ne partagent pas son point de vue. Pour cette gauche vous êtes démocrate quand vous pensez comme elle. Quand ce n’est pas le cas vous êtes un intolérant, et on n’a pas à être tolérants avec les intolérants. A cela s’ajoute un arrière gout d’antisémitisme.
Nous ne pouvons pas vérifier ce qui est dit, dans l’article ci-dessous. Mais nous le publions, tout en restant sceptiques sur son contenu.
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Pandora Papers: les juteux contrats offshore de DSK
L’ex-favori à la présidentielle française a créé deux sociétés qui échappent à l’impôt, au Maroc et aux Emirats arabes unis. Reconverti en super-consultant, il facture ses conseils à des chefs d’Etat et des entreprises russes et chinoises. Bilan des opérations : 21 millions de profits détaxés en 5 ans.
Tiens, revoilà Dominique Strauss-Kahn. Mais le décor a méchamment changé depuis la dernière fois. A plus de 10.000 kilomètres du siège du Fonds monétaire international (FMI), dont il fut directeur général, et du Sofitel de New York, on retrouve DSK en plein désert arabe au milieu des dunes de sable rouge et des dromadaires. Enfin, ce n’est pas lui en chair et en os, mais plutôt la société commerciale internationale qu’il a discrètement créée le 3 avril 2018, à Ras Al-Khaïmah, l’un des sept Emirats arabes unis, qui fait tout pour mériter ses galons de paradis fiscal. Privé de ressources en hydrocarbures, ce territoire a tout misé sur un taux d’imposition nul doublé d’un culte absolu du secret pour attirer le chaland et faire concurrence à son voisin Dubaï.
Ce qui a déjà séduit l’ex-favori à la présidentielle française. Car DSK y a récemment domicilié une société offshore, Parnasse Global Limited (en référence au mont Parnasse, où résidait le dieu de la beauté Apollon dans la mythologie). Il en est l’unique actionnaire et directeur, comme l’ont découvert nos partenaires français du Monde et de Premières Lignes (Cash Investigation) au sein du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ).
Les coudées franches au Maroc
DSK a fait appel aux services du cabinet SFM, basé à Dubaï, pour mettre en place cette société offshore. Ce fournisseur propose, dans sa gamme de produits, d’ouvrir en quelques heures une société écran, sans capital minimum, à Ras Al-Khaïmah. Avec la garantie d’un impôt nul et d’une confidentialité absolue… jusqu’à ce que les Pandora Papers passent par là.
Officiellement, comme l’assure Dominique Strauss-Kahn au Monde, le choix de ce paradis fiscal répond à la volonté d’un important client de la région d’y domicilier ses contrats. Il ne faut y voir aucune volonté d’éluder l’impôt : pourquoi aurait-il déployé tant d’efforts quand le taux d’imposition au Maroc peut être plafonné à moins de 9 % ?
Ah oui, il faut préciser que depuis « l’affaire DSK », il y a dix ans déjà, l’homme est parti refaire sa vie au Maroc. Il vit confortablement dans le riad de Tassoultante, au sud de Marrakech. Et y exerce son nouveau métier de consultant, dispensant des conseils économiques à tous les acteurs qui sont prêts à payer son tarif. Il envoie ses factures via une société locale, Parnasse international, constituée en 2013. Dans un premier temps, il est vrai que Strauss-Kahn n’avait pas de réel intérêt à courir vers un paradis fiscal… vu qu’il en avait déjà un à la maison. Sa société marocaine est en effet installée dans la zone franche de Casablanca, où elle bénéficiait de cinq ans d’exonération fiscale. Les premières années, de 2013 à 2018, il n’a donc pas payé le moindre euro d’impôt sur les 21 millions de profits réalisés. Et en 2018, quand ce régime préférentiel a pris fin, il a créé son offshore émiratie. Un pur hasard de calendrier, assure l’intéressé auprès du Monde. Qui a ajouté lundi, via le réseau social Twitter, avoir payé 812.000 euros d’impôt au Maroc pour les années 2018, 2019 et 2020 .
De sulfureux partenaires
Les Pandora Papers offrent également d’intéressants détails sur les activités de cette société marocaine, dont les comptes ne sont pas publiés. Donc sur les recettes que génère la lucrative reconversion de M. Strauss-Kahn. Les magazines Challenges et L’Obs avaient déjà révélé que ce spécialiste de la finance publique avait conseillé le Togo et le Congo-Brazzaville, deux régimes autoritaires largement endettés et en délicatesse avec le FMI. L’enquête du Monde et de l’ICIJ permet d’ajouter un nouveau client étatique à cette liste : le Sénégal. En 2017, le gouvernement de Macky Sall a versé plus de 10 millions de dirhams (près de 1 million d’euros) à Parnasse international.
Mais les missions de DSK ne se cantonnent pas à du « service public ». Il fait aussi dans les gros groupes privés. Il ressort des Pandora Papers qu’il a par exemple signé un contrat avec le géant pétrolier russe Rosneft pour du conseil macroéconomique. 1,7 million d’euros d’honoraires en deux ans, tout de même. A une époque (2016-2017) où le groupe, dirigé par un proche de Vladimir Poutine, était sous le coup de sanctions européennes et américaines. Parmi la liste de ses clients, on trouve encore le chinois HNA, géant de l’aviation en difficulté financière, ou le groupe congolais Orion, spécialiste du trading pétrolier.
Pour les années 2016 et 2017, l’ex-homme fort du PS français a pu se verser une confortable rémunération de 8,9 millions d’euros, en salaire et dividendes. Les affaires offshore de DSK semblent très bien se porter, merci pour lui.
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NDLR : l’article du journal LE SOIR ne fait pas état de la réponse de DSK, ce qui démontre de sa réelle objectivité. Nous l’avons trouvée ailleurs. De même ce journal ne s’intéresse qu’à DSK.
Les chevaliers blancs de la gauche caviar
Plusieurs pays et dirigeants ont rejeté ce lundi 4 octobre les révélations d’une vaste enquête du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) accusant plusieurs centaines de responsables politiques et leurs proches d’avoir dissimulé des avoirs dans des sociétés offshore, notamment à des fins d’évasion fiscale.
Publiée dimanche, cette enquête, à laquelle ont collaboré environ 600 journalistes, s’intitule Pandora Papers, référence à la légende de la boîte de Pandore. Elle s’appuie sur quelque 11,9 millions de documents provenant de 14 sociétés de services financiers et a mis au jour plus de 29.000 sociétés offshore.
Parmi les personnalités citées figurent la chanteuse colombienne Shakira, le mannequin allemand Claudia Schiffer ou la légende indienne du cricket Sachin Tendulkar. Apparaissent aussi les noms de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, pour l’achat d’un bien immobilier à Londres, et de l’ancien ministre français Dominique Strauss-Kahn.
Création de Parnasse Global Limited aux Émirats arabes unis
Dans un tweet, DSK a rejeté ces mises en cause. « Quand la méchanceté devient mensonge. Vos équipes de professionnels auraient pu vérifier que je suis résident fiscal marocain depuis 2013 et que j’y paie mes impôts à hauteur de 23,8 % de mes bénéfices, soit 812 000 euros pour les années 2018, 2019 et 2020 », écrit-il.
Sollicité par l’AFP, son avocat, Me Jean Veil, n’a pas fait de commentaire.
Après avoir été placé pendant plusieurs années sous surveillance, le Maroc est sorti début 2021 de la liste grise de l’Union européenne relative aux juridictions non coopératives à des fins fiscales.
Pandora Papers : DSK se défend et dénonce un « mensonge »
« Je suis résident fiscal marocain depuis 2013 »
Selon l’enquête, Dominique Strauss-Kahn aurait fait transiter plusieurs millions de dollars d’honoraires par une société marocaine exempte d’impôts, rapporte le Huffingtonpost. « Je suis résident fiscal marocain depuis 2013 et (…) j’y paye mes impôts à hauteur de 23,8 % de mes bénéfices, soit 812 000 euros pour les années 2018, 2019 et 2020 » a pourtant affirmé l’ancien directeur général du Fonds monétaire international dans un tweet à l’intention de l’émission Cash investigation.
“Je suis résident fiscal marocain depuis 2013 et (…) j’y paye mes impôts à hauteur de 23,8 % de mes bénéfices, soit 812.000 euros pour les années 2018, 2019 et 2020”, s’est défendu DSK sur Twitter s’agaçant que “la méchanceté devient mensonge”. “Vos équipes de professionnels auraient pu vérifier que je suis résident fiscal marocain”, écrit-il à l’attention de l’émission “Cash Investigation”.
600 Français auraient été nommés dans l’enquête, selon Le Monde. Cité, le Kremlin a rejeté des « allégations infondées ». Svetlana Krivonogikh, présentée comme l’ancienne maîtresse de Vladimir Poutine, aurait acquis en 2003 un appartement d’une valeur de quatre millions de dollars à Monaco via des comptes offshore, selon le Consortium.
JForum – Le Soir – Huffington Poste
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La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.
Qu’on lui foute la paix maintenant .
Il a assez donné .
Tout à fait de votre avis .
Ben quoi ?
Un être humain francophone sain d’esprit, apprend seul et rapidement, que la liste de merdia, qualifiés de « meneurs » dans l’article, ne sont que et seulement que, des organes de propagande, destinés aux déficients mentaux.
Ces déficients mentaux ont les meneurs qui leurs conviennent.
Ca ne sert à rien d’expliquer rationnellement à des débiles, car ils sont incapables de comprendre.