Un groupe de familles endeuillées par le terrorisme, membres du mouvement « Boh’arim Ba-Haïm » (Choisissons la vie), a adressé une lettre à la ministre de la Culture et des Sports Miri Reguev afin qu’elle annule la remise d’un prix.
Il s’agit du Prix ‘DocAviv 2019’ qui récompense cette année un film de Rachel-Leah Jones et Philippe Bellaïche retraçant de manière élogieuse la vie et la carrière de l’avocate Leah Tsemal, qui a consacré sa vie à la défense des terroristes. Leah Tsemal était à « bonne école » puisqu’elle est l’épouse de l’activiste gauchiste anti-israélien Michel Warschawski. Ce film-documentaire présente de manière positive celle que d’aucuns surnomment « l’avocate du diable ».
Le Prix DocAviv est remis par le Mif’al HaPaïs (Loterie nationale).
Dans leur lettre, les requérants écrivent: « Leah Tsemel représente depuis plus de cinquante ans avec conviction des terroristes ayant du sang juif sur les mains, celui de nos enfants, de nos époux et épouses, de nos maris, de nos frères et soeurs ou proches. Remettre un tel prix assorti d’une belle somme d’argent à une personne qui assure avec passion la défense des terroristes devant les tribunaux est un crachat à la figure des familles endeuillées. Le fait qu’un tel film puisse représenter Israël lors de concours cinématographiques internationaux provoque en nous la consternation et des frissons (…) Présenter sous un jour positif une avocate qui avec constance défend les pires terroristes est non seulement scandaleux mais montre à quel point le monde israélien du cinéma est déconnecté de la réalité israélienne. Leah Tsemel ne lésine sur aucun moyen pour assurer une vie normale et agréable à ceux qui nous ont pris ce que nous avions de plus cher ».
Parmi les « clients » récents de Leah Tsemel, le député-traître Bassel Ghattas ou encore Arafat Arfaiya le violeur et assassin de la jeune Ori Ansbacher hy »d.
La ministre de la Culture et des Sports a réagi en exprimant elle-aussi sa répugnance envers la remise d’une telle récompense mais a précisé qu’il s’agit d’une décision qui ne dépend pas de son ministère mais de celui des Finances et aussi de l’Office des collectivités locales. Elle a lancé un appel au Mif’al HaPaïs afin qu’il renonce à accorder ce prix à ce film qui fait l’éloge de Leah Tsemel. Le mouvement étudiant Im Tirtsou s’est joint à l’appel des familles et de Miri Reguev.
Vidéo:
Photo Flash 90
Juste pour info:
Je cherche des investisseurs et des sponsors pour un film à grand spectacle sans révisionisme ni antisionisme. Il s’agit d’une épopée sur fond de renaissance de l’État juif … du vrai et grand cinéma.
Le cinéma a toujours été une entreprise gauchiste , qui veut défendre le » Droit de l’Homme » … et les barbares !! » ses stars » ont toujours été communistes , c à d , partager l’argent des autres ( pas le leur ) ! et honorer ceux qui ont fait le plus de victimes , par ex STALINE avec ses goulags où tout un chacun pouvait se retrouver !!!
Aujourd’hui c’est le tour des gauchistes israéliens , main dans la main avec ceux d’EU qui honorent les tueurs de juifs !! Et aux ETATS UNIS , les démocrates glissent dangereusement dans le même sens avec ses députés musulmanes au Congrès qui disent au sujet des tours jumelles » quelques uns ont fait quelques chose …. » ( c’était sans doute un complot juif ) !!!!!