Amsterdam : Une montée inquiétante de violences antisémites perpétrées par de jeunes « motards » d’origine marocaine
Depuis la Seconde Guerre mondiale, Amsterdam a profondément changé, mais certaines inquiétudes resurgissent, rappelant une période sombre. Si, pendant l’Occupation, la police néerlandaise obéissait aux ordres allemands pour traquer les Juifs, aujourd’hui ce sont les descendants d’immigrés marocains qui, dans certains cas, perpétuent cette chasse. Récemment, des violences attribuées à de jeunes hommes en scooter, majoritairement d’origine marocaine, ont visé des supporters israéliens venus pour un match de football entre le Maccabi Tel Aviv et l’Ajax Amsterdam.
Malgré les titres de certains médias évoquant un conflit entre hooligans de clubs, ces actes ne découlent pas d’une rivalité sportive. L’Ajax Amsterdam entretient des liens historiques avec le judaïsme depuis les années 1930, et la veille du match, supporters néerlandais et israéliens s’étaient retrouvés pacifiquement pour chanter ensemble sur la place centrale d’Amsterdam. Mais le lendemain, des agressions visant les fans du Maccabi ont éclaté, révélant un antisémitisme latent qui ne peut être réduit à une simple dispute de supporters.
Amsterdam, qui abrite environ 920 000 habitants, compte aujourd’hui environ 90 000 musulmans, principalement d’origine marocaine et turque, soit environ 10 % de sa population. Beaucoup de ces familles sont arrivées lors de la période de reconstruction après la guerre, les hommes ayant été embauchés comme travailleurs immigrés dans les années 1960. Aujourd’hui, leurs enfants et petits-enfants sont imprégnés d’une identité hybride et de tensions parfois amplifiées par les débats sur le Moyen-Orient.
Depuis des décennies, la société néerlandaise s’efforce de maintenir une tolérance mutuelle envers la diversité religieuse. Cette approche, qui remonte au XVIe siècle, privilégie une attitude d’« indifférence bienveillante » envers les différences culturelles. Mais ce modèle, qui avait permis aux réfugiés juifs portugais de s’établir dans la ville et de prospérer, est aujourd’hui remis en question par l’intensification des tensions entre certains groupes musulmans et la communauté juive.
Pour une partie des jeunes descendants de la première génération d’immigrés marocains, les Juifs d’Amsterdam sont assimilés aux actions d’Israël, qu’ils considèrent comme oppresseur dans le conflit avec Gaza. Bien que les conflits intercommunautaires aient fait des millions de morts dans le monde musulman depuis 1945, c’est la question de Gaza, où les pertes humaines sont causées par une armée israélienne, qui cristallise les ressentiments de ces jeunes.
Depuis octobre 2023, les rues d’Amsterdam voient défiler régulièrement des manifestations antisionistes. Et dans la nuit du jeudi au vendredi, l’agressivité de certains a viré à la violence : de jeunes hommes, informés via des messages sur Telegram, ont localisé les hôtels où séjournaient les supporters israéliens et les ont attaqués. Il est rapporté que des chauffeurs de taxi, eux aussi d’origine marocaine, auraient participé à l’identification des cibles.
Vendredi, lors d’une conférence de presse, la maire d’Amsterdam, Femke Halsema, a évité tout lien entre ces violences et l’origine ou la religion des agresseurs, évoquant seulement des « jeunes en scooter ». Pourtant, cette omission masque la réalité de tensions à la fois culturelles et religieuses au sein de la communauté musulmane d’Amsterdam, où certains ressentent une « humiliation collective » liée à leur histoire migratoire et à leur statut perçu dans la société néerlandaise.
La violence croissante parmi cette jeunesse en scooter révèle des défis culturels qui peinent à être discutés publiquement. Le choc suscité par les événements de vendredi met en lumière un fait souvent ignoré : les Pays-Bas sont confrontés à des tensions héritées des conflits nord-africains et moyen-orientaux.
L’attaque de vendredi dernier marque un tournant. Alors que des voix minoritaires, comme celle du populiste Geert Wilders, dénoncent les dangers de l’immigration musulmane de masse, les autres leaders politiques néerlandais demeurent silencieux ou prudents dans leurs déclarations. Pim Fortuyn et Theo van Gogh, deux Néerlandais ayant critiqué ouvertement cette immigration, furent assassinés en 2002 et 2004 respectivement, rappelant la violence que peut susciter ce débat.
Pour certains, ces violences à Amsterdam rappellent les tristes pogroms d’antan. À une époque où l’antisémitisme reprend des formes nouvelles, cette attaque montre l’urgence de reconnaître les enjeux culturels profonds que représente ce conflit, sans tabou ni complaisance.
Jforum.fr
Je comprends, « des jeunes en scooter », super cool! »l´humiliation collective », »le populiste » Geert Wilders, extrême-droite, fasciste, »tensions soudaines aux Pays-Bas »,pays de la tolérance, tout cela, à cause d´ISRAEL, le méchant! quel texte diabolique au lieu de nommer les choses par leur nom! Pourquoi les nommer Maocains à la troisième génération? Soit ils sont Hollandais et intégrés, soit ils retournent au Pays qui les accueillera bras grands-ouverts… dans leur geôles pas trop sympas! Ces jeunes ont besoin de claques et de fessées qu´ils n´ont jamais recues
Pour moi, ce ne sont pas des formes nouvelles d’antisémitisme. L’Amsterdam des Juifs Sefardim du 17ième siècle, c’est du passé. La guerre 39-45 a clairement montré qu’une partie de la Hollande est antisémite, et depuis 1945, les Juifs, par principe, n’ont rien à faire en Europe. Les vidéos des manifestations qui suivent le pogrom dernier montrent une majorité d’hollandais soutenant l’antisémitisme. Ce n’est pas pour rien que l’extrême droite est déjà au gouvernement dans ce pays. L’immigration maghrébine de l’après-guerre est probablement coupable de ce pogrom, mais sur le terreau d’une jeunesse hollandaise en perdition. La Hollande, comme de nombreux pays européens mondialisés n’est qu’une fausse nation. Très peu d’hollandais manifestent contre l’antisémitisme. On s’attend au même type de pogrom en France, où la jeunesse est aussi en perdition. Il suffit de constater à Paris, que dans les lieux publics, le français n’est plus la langue majoritaire. Sur les panneaux indicateurs et les annonces phoniques, l’arabe devient la première langue du pays. Un bienfait de la mondialisation.
Asher, Geert WILDERS est anti déchets nazislamistes, c’est le but de son engagement et il est aussi pro-israélien. Il ne cesse de le répéter. Les déjections propagandistes du monde entier, y compris Israël, le qualifient « d’extrême droite ».
Asher, tu ne vas tout de même pas singer les dégénérés crifards ?
Qu’il me soit permis de douter que le parti de Geert Wilders, qualifié d’extrême droite sur l’échiquier politique néerlandais mais curieusement défenseur des Juifs, et majoritaire dans la coalition actuellement au pouvoir, réussisse à redresser ce pays à la jeunesse en perdition, dans sa nouvelle Réalité démographique, et qui sombre dans l’antisémitisme ridicule.
Les nouveaux nazis parlent en arabe et sont souvent d’origine arabo-musulmane.
La grande majorité d’entre eux est d’origine marocaine, tout le monde le sait.
Le jour où les responsables politiques diront ce que nous voyons et non des déclarations volontairement insipides/floues, alors, les choses iront mieux.
En France, le nombre de migrants d’origine marocaine frappés d’OQTF sont les auteurs de vols, viols, crimes, agressions violentes, tout le monde le sait.
Curieusement, les responsables de la sécurité nationale se trouvent paralysés dès qu’il leur faut prendre des décisions fortes contre ces barbares animalisés.
A l’allure où vont les choses, après les émeutes anti-juives en Belgique d’hier, qui est elle aussi un narco-Etat dominé par des arabo-musulmans, nous serons prochainement confrontés à des pogroms en Suède et en Norvège.
Le Danemark s’est ressaisi et pratique maintenant une politique moins bienveillante envers ces barbares dont il veut se débarrasser à n’importe quel prix…..
Les responsables politiques soutiennent la mondialisation et l’immigration maghrébine en Europe, donc ils ne peuvent pas la dénoncer, d’autant que certains tirent des bénéfices du narco-trafic. S’il n’y avait pas de consommateurs de drogues, il n’y aurait pas de narcotrafiquants. l’Europe a vécu durant des siècles sans immigration maghrébine. Cela fait des décennies qu’Israël a remplacé les squatters arabes par des travailleurs asiatiques, philippins, thaïlandais, indiens, etc.., donc l’Europe peut en faire autant, c’est plutôt un problème de corruption des responsables politiques achetés par des pétrodollars. La thèse Eurabia de Bat’ye-or est-elle vraie ?
Pourquoi ce point d’interrogation insultant, à propos d’Eurabia ?
Je ne vois pas comment ce point d’interrogation serait insultant. La thèse de Bath’ye-or est très grave, car elle révèlerait une trahison fondamentale de politiciens européens, passible de la Cour de sûreté de l’État dans de nombreux pays. Mon analyse de la corruption politique actuelle pose simplement la question, grave, de savoir si la thèse de Bath ye-or ne serait pas vraie, après tout. Je n’ai pas assez de preuves pour aller plus loin.