Rue de Bab el Oued Début à l’angle de l’hôtel de la Régence

Bab el Oued – Rue Bab Azoun et Rue de Bab el Oued

En prolongement de la rue Bab-Azoun, commençait donc la rue Bab el Oued avec ses immeubles à arcades, commerçante et populeuse, cette rue était toujours animée.
Les cafés y avaient conservé la tradition de la kémia, disposée sur le comptoir dans des soucoupes où les clients piochaient à volonté, : olives farcies d’anchois, petits escargots,
fèves, cramous, le tout salé et pimenté suffisamment pour donner soif.
Dans l’air flottait l’odeur de l’anisette, boisson nationale, dont une dose raisonnable dans de l’eau glacée était en été le meilleur rafraîchissement qui soit.
Sur le trottoir, le marchand de calentita annonçait sa venue en frappant de son couteau le zinc du plateau avant de débiter la pâte chaude en languettes.

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Alain delon

Nostalgique?
Le passée est passer, il ne reste même pas les souvenirs,
Les juifs d’Afrique du Nord, pour beaucoup était sauvé et réfugié des griffes d’Isabelle la catholique et de l’inquisition
Entre temps, beaucoup de berbères furent converties au judaïsme, une époque ou l’islam était un islam des lumières, ou l’anti-judaisme n’existait pas, puisque peuple du livre et du dieu unique ?