L’histoire d’une élection, qui finit bien.
Ce matin le Consistoire central avait une épreuve à surmonter, la nomination du grand rabbin de France. Il s’agissait pour cette institution de redonner de la crédibilité au Rabbinat Français, surtout après l’affaire du guet, et de ne pas donner l’impression que les choses étaient jouées d’avance. Une épreuve aussi parce que les choses n’aillaient pas de soi, puisque ces derniers jours les pressions étaient très fortes pour faire barrage à l’élection du rabbin Haïm Korsia.
L’élection du grand rabbin de France avait été imposée à Joël Mergui après une campagne initiée par quelques élus du Consistoire de Paris avec l’appui de quelques membres du Consistoire Central. Si leur démarche n’avait pas été relayée par Avenir du Judaïsme, JForum.fr, puis par la presse nationale, l’élection aurait été soit repoussée à une date indéterminée, soit n’aurait pas eu lieu dans l’alternative de la fusion du Consistoire Central avec le Consistoire de Paris.
De plus en plus, l’apparition de médias indépendants modifie les choses, et les princes qui nous gouvernent se doivent d’en tenir compte. Il reste bien quelques médias aux ordres, notamment ceux qui ont fait campagne pour le rabbin Berros le présentant comme le rabbin de la plus grande communauté juive de France à savoir Sarcelles, qui en fait est en fort déclin depuis son arrivée, et pour le rabbin Kaufmann grand rabbin de France par intérim, quasiment absent depuis sa nomination. Cette presse les donnait largement gagnants devant Haïm Korsia. Elle avait pris en compte l’influence que peut avoir l’équipe Mergui sur le corps électoral, mais n’avait pas pris en compte, les divisions internes à cette équipe qui n’a pas su choisir entre Kaufmann et Berros.
Ce matin donc, à l’ordre du jour deux points importants. L’Assemblée Générale du Consistoire central, avec l’approbation des comptes en déficit comme d’habitude, et le rapport moral. Puis élection du Grand Rabbin de France.
Sur les neufs candidats seuls six avaient maintenu leur candidature. Le rabbin Meyer Malka, dont les chances étaient très faibles, n’avait pas retiré sa candidature, mais avait préféré célébrer un mariage en province. Le rabbin Banon présent avait retiré sa candidature comme le rabbin Elie Elkiess ou le rabbin Yoni Krief.
On peut dire que du côté Mergui il y avait deux postulants : le rabbin L. Berros, et O. Kaufman. Du côté du grand rabbin Sitruk, il y avait deux de ses disciples le rabbin Sénior et le rabbin Berros. L’influence du grand rabbin Sitruk dans ce jeu est en net recul. Le travail acharné de Mergui pour Kaufman, et un peu pour Berros n’a pas suffi à faire barrage à la candidature quasi incontestable du Grand Rabbin Haïm Korsia.
Haïm Korsia, élève du grand rabbin Chouchna za’l, sorti du séminaire israélite, avec en plus un doctorat d’histoire, fut aussi auprès du Grand Rabbin Sitruck la cheville ouvrière de ses dix premières années au grand rabbinat de France, avant de prendre ses distances.
Après l’audition des cinq rabbins restés en lice et présents, c’est-à-dire Berros, Korsia, Kaufmann, Sénior, et Soushana, tous sauf peut-être le jeune rabbin Soushana croyaient en leurs chances.
La forte délégation de supporters du rabbin Sénior, qui pouvait se targuer d’avoir sa communauté de Créteil derrière lui, était sure de la victoire. Téléphone en main un membre de l’équipe était en Face Time avec un des électeurs dans la salle, et le reste de l’équipe autour de lui écoutait ce qui se passait à l’intérieur. Alors que tout le monde était tenu à l’extérieur, la presse comprise.
Le rabbin Berros avait trois amis avec lui, bien que dans le Parisien de la semaine dernière, il se targuait d’avoir toute la Communauté de Sarcelles à ses côtés dans ce combat. Les trois en question ont en commun d’être de ceux qui aiment la proximité avec les politiques locaux, ils en font une de leurs activités préférées.
Le petit comité du rabbin Soushana se résumait à deux personnes.
Manifestement les soutiens du rabbin Korsia et Kaufmann étaient plus dans la salle «HAVANE» au troisième étage du Palais des Congrès qu’à l’extérieur.
On se demande d’ailleurs pourquoi la presse a été tenue à l’écart, des présentations des candidats.
Autre remarque, qui nous semble être un dysfonctionnement important, c’est le fort absentéisme des membres du Consistoire pour cette élection. Sur les 313 électeurs, seuls étaient présents 177, et une cinquantaine de suppléants. Au final, il y avait 233 votants ( 177 électeurs et 56 suppléants). Par contre il n’y a eu que 227 suffrages exprimés au premier tour et 228 au second.
Cela est inacceptable. Nous ne parlons pas de simples membres de l’institution, mais des élus, de personnes qui prétendent régenter la vie de la Communauté juive. Or 177 sur 313 cela représente 45% d’abstentionnistes. À ce niveau, il nous semble que beaucoup ne méritent plus leur place, ou s’ils ont des remarques à formuler qu’ils s’en expliquent publiquement.
Vers 13h00 commence la distribution des boîtiers pour le vote électronique. Si l’on a perdu du temps dans cette distribution, le gain s’est fait dans le dépouillement et encore, du premier et du deuxième tour.
Lors du test de fonctionnement des boîtiers les résultats se sont affichés immédiatement sur le grand écran. Bizarrement lors du vote pour le premier tour Elie Korchia s’est rendu dans le bureau où était localisé le matériel informatique et il a fallu attendre 10 minutes pour avoir les résultats. Pourquoi cela ? Mystère.
Le teste c’est correctement passé. Lors du passage au vote Elie Korchia, suivit de l’huissier Maître Cherki, de Monsieur Jean-Bernard Lemmel de la Commission électoral, du rabbin Banon scrutateur pour le Rabbin Shoushana, de Monsieur Buchinger scrutateur pour le rabbin Berros, de Monsieur Sulman scrutateur pour le Grand rabbin Haïm Korcia, de Monsieur Al-Harar scrutateur pour le rabbin Sénior, et de Monsieur Bohbot scrutateur pour le grand rabbin Kaufmann sont partis vérifier les résultats sur les écrans, et le procès verbal a été dressé. Après quoi les résultats ont été proclamés. Lors du second tour seul les deux scrutateurs des candidats en lice ont participé au contrôle.
Grand rabbin Haïm Korcia 94 voix
Grand rabbin Olivier Kaufmann 52 voix
Rabbin Laurent Berros 41 voix
Rabbin Alain Sénior 32 voix
Rabbin Meyer MALKA 4 voix
Rabbin David Shoushana 4 voix.
À ce moment tout le monde pense que le rabbin Kaufmann, a de fortes chances d’être élu grâce au report de voix. L’alliance du clan des Mergui plus celle des Sitruk soit 73 voix à quoi s’ajoutent les 52 voix du rabbin Kaufmann acquis au premier tour assure à ce dernier une confortable victoire.
On vote donc pour départager Korcia et Kaufmann.
Au deuxième tour, même petit cinéma Elie Korchia retourne dans le local informatique, et 10 minutes plus tard, la mine un peu défaite annonce à Mergui l’élection de Haïm Korcia, qui à son tour proclame les résultats.
Grand rabbin Haïm Korcia 131 voix
Grand rabbin Olivier Kaufmann 97 voix.
Le grand rabbin Haïm Korcia devient le quinzième grand rabbin de France. En hébreu nous n’écrivons pas 15 Yod (10) et Hé (5) parce que c’est le Nom de Dieu mais neuf(Thet) et six (Vav). Il n’en demeure pas moins qu’il y a là pour lui un bon siman (un bon signe)
J. Forum souhaite une pleine et entière réussite au Grand rabbin de France Haïm Korcia. La tache qu’il a devant lui est immense. Il ne lui appartient pas de l’accomplir dans sa totalité, mais de l’entreprendre le cœur vaillant.
Le Grand rabbin Chouchena ZA’L , lui avait dit : » ne te présente pas à l’élection du Grand rabbin de Paris, mais seulement à celle du Grand rabbin de France », il a écouté son Maître, et il a réussi.
Moshé COHEN SABBAN
JFORUM.fr
Plus d’un an après le scandale qui a provoqué la chute de Gilles Bernheim, les communautés juives liées au Consistoire central ont élu ce dimanche 22 juin, parmi cinq candidats, leur nouveau grand rabbin de France : Haïm Korsia, 51 ans. L’aumônier général israélite des armées a devancé Olivier Kaufmann, directeur de l’école rabbinique, 47 ans, en rassemblant 131 voix contre 97, a indiqué le Consistoire. Il a été choisi pour un mandat de sept ans par 315 grands électeurs (rabbins et représentants des communautés régionales et locales), membres du Consistoire central convoqué en assemblée générale ordinaire dès 9 h 45, au Palais des congrès à Paris.
Mis en cause pour avoir plagié divers textes et prétendu à tort être agrégé de philosophie, Gilles Bernheim, intellectuel reconnu, grand rabbin de France depuis 2009, avait démissionné en avril 2013. Ces accusations avaient suscité une onde de choc dans la première communauté juive d’Europe, forte de 500 000 à 600 000 membres.
L’intérim a été assuré par le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, et le directeur de l’école rabbinique, Olivier Kaufmann, ce dernier briguant la succession de Gilles Bernheim face à quatre autres prétendants : Laurent Berros, rabbin de Sarcelles (Val-d’Oise), le grand rabbin Haïm Korsia, aumônier général des armées, Alain Senior, rabbin de Créteil, et David Shoushana, rabbin de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne). Le retrait d’un sixième candidat, Meyer Malka, avait été annoncé samedi en fin de soirée.
UNE INSTITUTION DE 1808
« Nous sommes dans une élection sans sortant, le jeu est forcément plus ouvert », expliquait avant les résultats le président du Consistoire central, Joël Mergui, soulignant que les prétendants « sont tous respectueux de ce qu’on appelle la “halakha”, la loi juive, et issus de la même école, le Séminaire israélite de France ».
Mis en place en 1808 par Napoléon, le Consistoire central israélite de France rassemble la majorité des synagogues françaises. Il n’est cependant plus reconnu par l’ensemble de la communauté juive, certains lieux de culte se réclamant d’autres courants (libéraux, massortis…) et regrettant que le Consistoire se soit replié sur une ligne orthodoxe stricte.
À 51 ans, l’aumônier général israélite des armées et de l’École polytechnique a été élu ce dimanche grand rabbin de France pour sept ans.
Quatorze mois après le départ du grand rabbin de France, rattrapé par diverses affaires de plagiats et de diplômes factices, l’assemblée générale du consistoire central lui a choisi un successeur. Il s’agit de Haïm Korsia, 51 ans. Il a été élu ce dimanche grand rabbin de France pour sept ans.
L’aumônier général israélite des armées et de l’École polytechnique a devancé Olivier Kaufmann, directeur de l’École rabbinique, âgé de 47 ans. Il a rassemblé 131 voix contre 97, a indiqué le consistoire central. Le vote s’est déroulé auprès des membres de l’assemblée générale du consistoire, réunie au Palais des congrès à Paris.
Élu après un immense scandale
L’élection d’un nouveau grand rabbin intervient plus d’un an après le scandale qui avait provoqué la chute de son prédécesseur Gilles Bernheim. Mis en cause pour avoir plagié divers textes et prétendu à tort être agrégé de philosophie, cet intellectuel reconnu, grand rabbin de France depuis 2009, avait démissionné en avril 2013. Ces accusations avaient suscité une onde de choc dans la première communauté juive d’Europe, forte de 500 000 à 600 000 membres.
L’intérim avait été assuré par le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, et Olivier Kaufmann.
Mis en place en 1808 par Napoléon, le Consistoire central israélite de France rassemble la majorité des synagogues françaises. Il n’est cependant plus reconnu par l’ensemble de la communauté juive, certains lieux de culte se réclamant d’autres courants (libéraux, massortis…) et regrettant que le consistoire se soit replié sur une ligne orthodoxe stricte.
Haïm Korsia, 51 ans, est le nouveau grand rabbin de France. Il a été élu dimanche pour sept ans par 315 grands électeurs (rabbins et représentants des communautés régionales et locales), membres du Consistoire central, réuni au Palais des congrès à Paris.
Aumônier général israélite des armées et ancien rabbin de Reims, Haïm Korsia, qui fut également conseiller de Joseph Sitruk, grand-rabbin de France durant plus de vingt ans, a devancé Olivier Kaufmann, directeur de l’école rabbinique, 47 ans, en rassemblant 131 voix contre 97. Outre ces deux finalistes, trois autres personnes étaient candidates : Laurent Berros, rabbin de Sarcelles (Val-d’Oise), Alain Senior, rabbin de Créteil et David Shoushana, rabbin de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne). Le retrait d’un sixième candidat, Meyer Malka, avait été annoncé samedi en fin de soirée.
Un rabbin aguerri et moderne
Peu connu du grand public, Haïm Korsia avait pourtant fait parler de lui en 2004, en invitant l’humoriste Dieudonné à l’accompagner au Camp d’Auschwitz, un geste symbolique qui lui avait valu d’être rappelé à l’ordre par le Grand Rabbinat. Plus «capé» que tous les autres postulants au poste, il a fait campagne avec un profil d’orthodoxe plus moderne que la plupart de ses concurrents, notamment sur la place des femmes. Haïm Korsia a ainsi réagi à une récente affaire de divorce religieux très conflictuelle, dans laquelle des rabbins du Consistoire ont été accusés d’avoir fermé les yeux sur un chantage financier au détriment de l’épouse. «Il faut que les rabbins parlent aussi aux femmes», avait-il souligné dans une vidéo en ligne.
L’élection d’un nouveau grand rabbin intervient plus d’un an après le scandale qui avait provoqué la chute de son prédécesseur Gilles Bernheim. Mis en cause pour avoir plagié divers textes et prétendu à tort être agrégé de philosophie, cet intellectuel reconnu, grand rabbin de France depuis 2009, avait démissionné en avril 2013. Ces accusations avaient suscité une onde de choc dans la première communauté juive d’Europe, forte de 500.000 à 600.000 membres. L’intérim avait été assuré par le grand rabbin de Paris Michel Gugenheim et Olivier Kaufmann.
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Iska vous reprochez que l’on dise des « saletés » sur le consistoire, mais comment voulez-vous pensez autrement lorsque la communauté demande des comptes au consistoire sur des polémiques récentes et « motus » !
Un consistoire qui ne respecte pas sa communauté n’est pas digne de gérer le peuple Juif, il faut régénérer ce consistoire et remettre de l’ordre ou sinon c’est toute la communauté qui sera en péril !
C’est bizarre cela me fait penser à la politique, pendant que l’UMP et le PS se crèpent le chignon, Marine monte monte monte…….
Le contraire m’aurait étonné. Le Talmud thora accueille aujourd’hui 150 élèves. Il y 6 ou 7 écoles juives !!!! Il y a un Beth hamidrach qui fonctionne toute la journée et qui ne désempli pas. Il y a un collel extraordinaire qui dispose de 13 ou 14 avrehim et un grand nombre de ces havrehim donnent des cours 3 soirs par semaines à des dizaines de jeunes venant de toutes horizons. Dans les années 90 Mr Cohen Sabban il y avait 3 oratoires aujourd’hui il y en a une trentaine!!! C’est donc un peu normal que la grande synagogue se soit un peu vide et le rabbin n’est pas le rabbin de la grande synagogue il est le rabbin de toute la ville. Bref Mr Cohen Sabban vous dites des bêtises comme à votre habitude. Au lieu d’avoir de la reconnaissance pour la communauté qui a priori a été la votre pendant de nombreuses années vous la dénigrez et vous manquez de respect aux personnes qui la dirige. Vous êtes un Cohen Mr Cohen Sabban et un Cohen doit rechercher et poursuivre le Chalom et vous faites tout le contraire. C’est bien dommage!!!!
Je confirme et je signe. L’école Otsar Hatora a demandé au rabbin Berros de mener une action pour l’inscription d’élèves dans cette école. Rien n’a été fait. Le primaire perd 5 classes, de 20 classes l’école primaire passe à 15 classes.Une telle régression n’a jamais eu lieu. Le talmud torah est quasi inexistant. A l’époque du rabbin Guedj il y avait dans les années 90, 450 élèves et il y avait déjà une école juive. Les oratoires ont toujours existé et cela depuis plus de 15 ans, et s’ils existent c’est parce que les personnes quittent la synagogue. A la veillée de Chavouoth très peu de monde. Quant au projet de construction, outre le fait qu’il a trouvé ce projet dans les placards parce que j’en été l’auteur, c’est un mensonge qui se perpétue depuis plus de 10 ans. La Communauté est en déficit et ce n’est pas l’aide conditionnelle de la région à hauteur de 25 à 30% du montant des travaux qui changera les choses. Certes le rabbin Berros est gentil. Mais celui qui connait la communauté depuis 1958 sait de quoi il parle. C’est un fait la Communauté de Sarcelles a beaucoup perdu de ses effectifs, et les choses iront en s’accélérant. La ville n’est plus attractive comme par le passé, Israël s’impose comme projet, et d’autres lieux de résidence comme Paris, Vincennes, Saint Brice s’imposent à ceux qui ont les moyens. Les mouvements de jeunesse ne sont plus là. Certes il y a des activités sportives, mais le militantisme a disparu. La communauté n’a plus de perspective, ni d’espérance. Ses prédécesseurs ont bâati la synagogue, puis son extension, puis ont participé à la création de l’école juive. Un talmud Torah fort, un Bné Akiva avec plus de 150 havérim. A kippour la Communauté bénéficiait en plus de la Synagogue qui recevait + 2000 personnes, du Forum des Cholettes, de la Salle Pablo Néruda, et d’autres salles. Ce temps est révolu. Les mots ne changeront pas la réalité. Elle est têtue. Les marocains sont partis dans leur nouvelle synagogue. C’est au morcellement de la communauté auquel on assiste, plus qu’à son extension. Le rabbin doit l’unifier et non se targuer de la création de petits oratoires pour masquer son inefficacité.
Moshé COHEN SABBAN
Mr Cohen sabban affirme que la communauté de sarcelles est en fort déclin depuis l’arrivée du rabbin Berros ceci est totalement faux. Les jeunes ré fréquentent la synagogue Grace justement à l’ouverture et au contact privilégie que le rabbin Berros entretient avec les jeunes il n’y a jamais eu autant de salles de prière depuis son arrivée toute différentes mais toutes dans le respect de chacun. C’est un vrai rabbin de proximité gentil chaleureux intelligent et érudit. Il est inacceptable que vous puissiez parler de la sorte d’un rabbin j’espère que vous changerez un jour. Bien à vous
Comme c’est bizarre , vous seriez donc pour la « mise sous le boisseau » ? Prenez une vérité que vous tenez à ne surtout pas divulguer, cachez-la sous un boisseau retourné, et c’est gagné, personne ne sera au courant !
– Hélas pour vous , aujourd’hui ce n’est plus possible ! Et JForum ne fait rien d’autre que d’apporter sans complexe un peu d’éclairage sur ces cotés sombres …et honteux (lorsqu’ils existent ! )
– Un seul moyen pour apaiser ces situations : Que nos » zélites » fassent l’effort de correspondre à ce qu’ils attendent de chacun d’entre nous ….vous compris !
Les Juifs français avaient besoin d’un Grand Rabbin courageux, et intègre.
Il faut donc féliciter M. Haïm Korsia pour son élection , qui d’après ce que vous en dites, M. Cohen-Saban, n’était pas gagnée d’avance.
Nous devons l’accompagner de nos voeux et de notre confiance, croyants et non-croyants, car les français juifs vivent une situation périlleuse.La France, elle-même, est en péril.
Il ne faut pas déplorer que les journalistes aient été absents , éloignés de cette élection.Les amateurs de dissensions, de scandales, n’avaient rien à y faire.
Vous dites qu’il y eut bcp d’absentéisme de la part des électeurs, pour ce vote capital. Quelle sanction est prévue pour ces intermittents?
Enfin, dans son livre « Bioéthique, l’homme démultiplié », Ed. Oxus, 2009, M. Korsia écrivait, dans ses remerciements: « Merci à Emeric Deutsch qui m’a appris à penser et panser la vie ».
Que M. Le Grand Rabbin de France Haïm Korsia nous apprenne aussi à penser et panser la vie…
A Iska . Comme vous avez raison.Tous les articles de JForum sont systématiquement négatifs sur le Consistoire. Certes le Consistoire n’est pas parfait,et certains se demandent même sur l’utilité même de son existence. Mais quand même, ce site passe son temps à critiquer les personnes, taper sur l’institution,être négatif. A la fin, on est en droit de s’interroger sur les raisons profondes de ce « Consistoire bashing ». Echecs permanents des opposants? La démocratie oui, mais le négativisme qui sert de fonds de commerce, ça suffit ! Daï ! Daï .
Monsieur. Tous les articles que vous écrivez sur le consistoire sont toujours négatifs et de plus sont un ramassis de mauvaises paroles. A priori vous n’avez rien d’autre a faire que dire des saletés. Bientôt vous parlerez certainement mal aussi du nouveau rabbin. Ça doit être dans votre ADN!!!!!
Félicitations au Rabbin Haim KORSIA ainsi qu’aux médias dont JFORUM qui ont permis de laisser libre court aux considérations communautaires légitimes des coréligionnaires et permettant ainsi de renverser la tendance « institutionnelle ».
Bonne route au Rabbin KORSIA qui a de l’énergie à revendre et du pain sur la planche !!!!
Merci à J.Forum et à Moshé COHEN SABBAN .
les commentaires “korahiques” de cet individu sont particulièrement abjects! si l`élection d`un rabbin compétant est surement une bonne chose, pourquoi accompagner cette nouvelles de commentaires sales et déplacés?