« Ouest France » se prête au jeu de l’anti-israélisme

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Le 24 avril 2016, le quotidien « Ouest France » a publié un article intitulé « L’ex-militaire dénonce l’horreur en Palestine » dans lequel un ancien Préfet maritime de l’Atlantique à la retraite, l’Amiral Laurent Merer, livre son sentiment sur les conditions de vie des palestiniens en Cisjordanie. Parti y vivre pendant 3 mois avec son épouse, il présente Israël comme étant un Etat monstrueux qui bafouerait les droits des palestiniens. L’ensemble des thèmes abordés lors de l’interview, synthétise les clichés traditionnels qui relèvent, en fait, ni de l’antisémitisme, ni de l’antisionisme, mais bien de l’anti-israélisme.
L’anti-israélisme pourrait se définir comme l’expression publique d’un dénigrement d’Israël qu’il s’agisse de l’Etat lui même (son essence, son existence, son fonctionnement, son organisation, sa philosophie) ou du peuple proprement dit (dans sa globalité, ou en citant des personnes juives prises isolément) de nature à susciter une aversion de l’Etat juif ou générer une haine des juifs auprès du grand public. C’est bien le cas de l’article publié dans « Ouest France » : l’ancien responsable militaire accable Israël sur la base d’éléments faux ou mensongers, et amène le lecteur à prendre position contre Israël, de façon tout à fait subtile.
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La première question qui lui a été posée est celle de connaître la raison pour laquelle il s’est engagé dans une mission personnelle avec son épouse « en Palestine » (ce qui est un abus de langage. Le mot « Palestine » est repris de plus en plus systématiquement pour évoquer les territoires contrôlés par l’Autorité palestinienne et le Hamas). Il a alors répondu qu’il s’agissait « d’un engagement pour la paix, dans le cadre du service Protestant des missions étrangères organisé par le Conseil œcuménique des Eglises pour la Palestine ». Il a alors précisé qu’il ne se sentait pas concerné par le « sort des palestiniens », avant que les Eglises chrétiennes palestiniennes n’organise le programme (sa démarche humaniste est incontestable).
La journaliste l’a ensuite interrogé sur « l’horreur » (sic) qu’il a découverte sur place (question orientée).
Réponse : pour lui, la situation serait « révoltante » : « c’est ni plus ni moins un peuple qui vole la terre d’un autre peuple et dénie son existence» (sic). Pour lui les implantations juives « illégales » se répandent comme le cancer (sic) alors que ceux qui se comporteraient comme tel en Afrique ou en Asie seraient traînés devant la Cour pénale internationale (sic). Il fait alors part de son envie de crier l’horreur que constitue cette situation (sic).
Lorsque la question lui est posée de savoir pourquoi la cause palestinienne ne mobilise pas plus, il répond que le conflit date de 1967 et que « la question était accaparée par les partis d’extrême gauche, peu crédibles, face à l’habile propagande israélienne » (sic), (ce qui traduit sa méconnaissance de histoire puisque le conflit opposait alors Israël aux pays arabes).
L’Amiral a ensuite expliqué que les palestiniens n’étaient pas des terroristes (comme le soutient Israël) mais bien des résistants (sic)  dans un pays occupé depuis 50 ans, (ce qui est encore faux puisque l’occupation de la Cisjordanie concernait la Jordanie qui a, en 1988, renoncé à ce territoire qu’elle a annexé en 1950).
Son exposé concerne ensuite sa vie quotidienne à Hébron où il aide « les enfants à franchir les check-points pour se rendre à l’école ». Pour sa part, sa femme aide sur les lieux de culte puisque « les israéliens entravent l’accès des fidèles aux mosquées et aux églises » (sic) mais aussi dans le Grand Jérusalem « où vivent les bédouins chassés de leur pâturages » (sic), Israël leur rendant la vie impossible (sic).
Interrogé sur les destructions de maisons, l’ancien Préfet maritime explique que les demandes d’autorisations de permis présentés par les palestiniens « sont refusées dans la plupart des cas » et que les maisons construites en violation de l’interdiction sont immédiatement rasées. Il évoque alors les démolitions punitives des maisons des terroristes palestiniens (qui agressent les israéliens au couteau) et les maisons obstruées le temps d’un procès, avant de conclure : «  c’est cela la justice ici ». Manifestement, l’Amiral Laurent Merer ne doit pas être informé des accords israélo palestiniens d’Oslo qui ont réservé à Israël la plénitude de juridiction sur la « zone C » de Cisjordanie, soit sur 60% de ce territoire.
Lorsque la question lui est posée de savoir s’il discute avec les soldats, il indique qu’il s’agit « de gamins de 18-19 ans qui ne savent pas toujours très bien ce qu’ils font là », « avec un niveau de réflexion pas toujours très élevé par rapport à leur engagement et leur mission », « beaucoup de franco israéliens », « armés jusqu’au dents », « qui tirent sur les autres enfants lorsqu’ils se font caillasser »…« par peur » (sic). (Il est surprenant qu’un militaire confonde aussi aisément les cailloux et les couteaux). Il s’étonne ensuite de « ces pratiques d’un pays qui se dit démocratique » tout comme de la complaisance des pays occidentaux qui ne pourraient même pas imaginer de telles pratiques « chez nous », « c’est incompréhensible » (sic).
Pour l’Amiral, c’est Israël qui contrôle parfaitement la situation et influe sur la communauté internationale : si le conflit n’a trouvé aucune solution depuis 50 ans, c’est en raison de « la complicité de la communauté internationale qui a peur d’Israël et de ses relais puissants en Europe et aux Etats-Unis », et des « pays arabes qui ne soutiennent pas les palestiniens ». Pour lui la critique n’est pas possible sauf à « risquer d’être taxé d’antisémitisme » (sic).
Concernant la dimension religieuse du conflit, l’Amiral Laurent Merer estime que la querelle ne porte que sur les territoires (il n’a pas du lire la Charte du Hamas). Pire il estime que les chrétiens sont gênants pour Israël « puisqu’ils empêchent le conflit d’opposer exclusivement juifs et musulmans, ce qui serait plus vendable à l’opinion internationale » (sic). Il conclut son propos sur la nécessité de dire les choses telles qu’elles sont : « Israël a métastasé la Palestine » (ses propos calomnieux et injurieux affirment ainsi, pour la seconde fois, qu’Israël est un cancer).
La cerise sur le gâteau arrive à la fin de son propos, en guise de conclusion. Bien qu’il ait été engagé sur de nombreux théâtres extérieurs, la question lui est posée de savoir si « cette mission n’est pas la plus difficile ». Il indique alors n’avoir jamais « jamais vu des hommes et des femmes traités comme des bêtes » avant de poser la question : comment ce peuple, qui a vécu une abomination comme la Shoah, peut-il faire cela ? (sic). En somme, ce sont donc les juifs, anciennement persécutés, qui sont devenus les bourreaux d’un autre peuple (les juifs apparaissent ainsi comme n’étant pas dignes du pays que la communauté internationale leur aurait offert).
Il s’agit d’un cas typique « d’anti-israélisme ». La méthode est relativement simple : il suffit de laisser parler une personne, digne de confiance, présenter la situation contemporaine au Moyen Orient comme étant le résultat de la politique israélienne, sans évoquer la haine viscérale des palestiniens à l’égard de juifs, en travestissant les étapes historiques qui ont conduit à la situation contemporaine, et en occultant le rôle de l’islamisme radical, ciment de la haine anti-juive. Rien de bien nouveau. La démonstration quasi scientifique séduira incontestablement les antisémites qui rêvent de voir la chute d’Israël et la fin de sa réussite insolente. Pour autant, si ce discours est récurrent chez les ennemis d’Israël, il est surprenant qu’un quotidien aussi éminent que « Ouest France » tombe dans ce panneau de l’anti-israélisme.
Par © Maître Bertrand Ramas-Muhlbach 

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[…] Posted by Jeremy Date: mai 02, 2016 3 Views Le 24 avril 2016, le quotidien « Ouest France » a publié un article intitulé « L’ex-militaire dénonce l’horreur en Palestine » dans lequel un ancien Préfet maritime de l’Atlantique à la retraite, l’Amiral Laurent Merer, livre son sentiment sur les conditions de vie des palestiniens en Cisjordanie. Parti y vivre pendant 3 mois avec son épouse, il présente Israël comme étant un Etat monstrueux qui bafouerait les droits des palestiniens. L’ensemble des thèmes abordés lors de l’interview, synthétise les clichés traditionnels qui relèvent, en fait, ni de l’antisémitisme, ni de l’antisionisme, mais bien de l’anti-israélisme. L’anti-israélisme pourrait se définir comme l’expression publique d’un dénigrement d’Israël qu’il s’agisse de l’Etat lui même (son essence, son existence, son fonctionnement, son organisation, sa philosophie) ou du peuple proprement dit (dans sa globalité, ou en citant des personnes juives prises isolément) de nature à susciter une aversion de l’Etat juif ou générer une haine des juifs auprès du grand public. C’est bien le cas de l’article publié dans « Ouest France » : l’ancien responsable militaire accable Israël sur la base d’éléments faux ou mensongers, et amène le lecteur à prendre position contre Israël, de façon tout à fait subtile. La première question qui lui a été posée est celle de connaître la raison pour laquelle il s’est engagé dans une mission personnelle avec son épouse « en Palestine » (ce qui est un abus de langage. Le mot « Palestine » est repris de plus en plus systématiquement pour évoquer les territoires contrôlés par l’Autorité palestinienne et le Hamas). Il a alors répondu qu’il s’agissait « d’un engagement pour la paix, dans le cadre du service Protestant des missions étrangères organisé par le Conseil œcuménique des Eglises pour la Palestine ». Il a alors précisé qu’il ne se sentait pas concerné par le « sort des palestiniens », avant que les Eglises chrétiennes palestiniennes n’organise le programme (sa démarche humaniste est incontestable). La journaliste l’a ensuite interrogé sur « l’horreur » (sic) qu’il a découverte sur place (question orientée). Réponse : pour lui, la situation serait « révoltante » : « c’est ni plus ni moins un peuple qui vole la terre d’un autre peuple et dénie son existence» (sic). Pour lui les implantations juives « illégales » se répandent comme le cancer (sic) alors que ceux qui se comporteraient comme tel en Afrique ou en Asie seraient traînés devant la Cour pénale internationale (sic). Il fait alors part de son envie de crier l’horreur que constitue cette situation (sic). Lorsque la question lui est posée de savoir pourquoi la cause palestinienne ne mobilise pas plus, il répond que le conflit date de 1967 et que « la question était accaparée par les partis d’extrême gauche, peu crédibles, face à l’habile propagande israélienne » (sic), (ce qui traduit sa méconnaissance de histoire puisque le conflit opposait alors Israël aux pays arabes). L’Amiral a ensuite expliqué que les palestiniens n’étaient pas des terroristes (comme le soutient Israël) mais bien des résistants (sic)  dans un pays occupé depuis 50 ans, (ce qui est encore faux puisque l’occupation de la Cisjordanie concernait la Jordanie qui a, en 1988, renoncé à ce territoire qu’elle a annexé en 1950). Son exposé concerne ensuite sa vie quotidienne à Hébron où il aide « les enfants à franchir les check-points pour se rendre à l’école ». Pour sa part, sa femme aide sur les lieux de culte puisque « les israéliens entravent l’accès des fidèles aux mosquées et aux églises » (sic) mais aussi dans le Grand Jérusalem « où vivent les bédouins chassés de leur pâturages » (sic), Israël leur rendant la vie impossible (sic). Interrogé sur les destructions de maisons, l’ancien Préfet maritime explique que les demandes d’autorisations de permis présentés par les palestiniens « sont refusées dans la plupart des cas » et que les maisons construites en violation de l’interdiction sont immédiatement rasées. Il évoque alors les démolitions punitives des maisons des terroristes palestiniens (qui agressent les israéliens au couteau) et les maisons obstruées le temps d’un procès, avant de conclure : «  c’est cela la justice ici ». Manifestement, l’Amiral Laurent Merer ne doit pas être informé des accords israélo palestiniens d’Oslo qui ont réservé à Israël la plénitude de juridiction sur la « zone C » de Cisjordanie, soit sur 60% de ce territoire. Lorsque la question lui est posée de savoir s’il discute avec les soldats, il indique qu’il s’agit « de gamins de 18-19 ans qui ne savent pas toujours très bien ce qu’ils font là », « avec un niveau de réflexion pas toujours très élevé par rapport à leur engagement et leur mission », « beaucoup de franco israéliens », « armés jusqu’au dents », « qui tirent sur les autres enfants lorsqu’ils se font caillasser »…« par peur » (sic). (Il est surprenant qu’un militaire confonde aussi aisément les cailloux et les couteaux). Il s’étonne ensuite de « ces pratiques d’un pays qui se dit démocratique » tout comme de la complaisance des pays occidentaux qui ne pourraient même pas imaginer de telles pratiques « chez nous », « c’est incompréhensible » (sic). Pour l’Amiral, c’est Israël qui contrôle parfaitement la situation et influe sur la communauté internationale : si le conflit n’a trouvé aucune solution depuis 50 ans, c’est en raison de « la complicité de la communauté internationale qui a peur d’Israël et de ses relais puissants en Europe et aux Etats-Unis », et des « pays arabes qui ne soutiennent pas les palestiniens ». Pour lui la critique n’est pas possible sauf à « risquer d’être taxé d’antisémitisme » (sic). Concernant la dimension religieuse du conflit, l’Amiral Laurent Merer estime que la querelle ne porte que sur les territoires (il n’a pas du lire la Charte du Hamas). Pire il estime que les chrétiens sont gênants pour Israël « puisqu’ils empêchent le conflit d’opposer exclusivement juifs et musulmans, ce qui serait plus vendable à l’opinion internationale » (sic). Il conclut son propos sur la nécessité de dire les choses telles qu’elles sont : « Israël a métastasé la Palestine » (ses propos calomnieux et injurieux affirment ainsi, pour la seconde fois, qu’Israël est un cancer). La cerise sur le gâteau arrive à la fin de son propos, en guise de conclusion. Bien qu’il ait été engagé sur de nombreux théâtres extérieurs, la question lui est posée de savoir si « cette mission n’est pas la plus difficile ». Il indique alors n’avoir jamais « jamais vu des hommes et des femmes traités comme des bêtes » avant de poser la question : comment ce peuple, qui a vécu une abomination comme la Shoah, peut-il faire cela ? (sic). En somme, ce sont donc les juifs, anciennement persécutés, qui sont devenus les bourreaux d’un autre peuple (les juifs apparaissent ainsi comme n’étant pas dignes du pays que la communauté internationale leur aurait offert). Il s’agit d’un cas typique « d’anti-israélisme ». La méthode est relativement simple : il suffit de laisser parler une personne, digne de confiance, présenter la situation contemporaine au Moyen Orient comme étant le résultat de la politique israélienne, sans évoquer la haine viscérale des palestiniens à l’égard de juifs, en travestissant les étapes historiques qui ont conduit à la situation contemporaine, et en occultant le rôle de l’islamisme radical, ciment de la haine anti-juive. Rien de bien nouveau. La démonstration quasi scientifique séduira incontestablement les antisémites qui rêvent de voir la chute d’Israël et la fin de sa réussite insolente. Pour autant, si ce discours est récurrent chez les ennemis d’Israël, il est surprenant qu’un quotidien aussi éminent que « Ouest France » tombe dans ce panneau de l’anti-israélisme. Par © Maître Bertrand Ramas-Muhlbach  Jforum.fr […]

Maurice

Que ce Laurent Merer éructe ses épanchements, n’est pas chose exceptionnelle ,comme beaucoup d’autres comme lui et avant lui l’ont fait , issus de la grande muette , antidreyfusarde en son temps , antisemite parfois , avec ses limites intellectuelles passe encore , si cela restait en comité restreint .
Mais Ouest France qui édite et publie ce a sa responsabilité déontologique et éditoriale engagées dans sa propagation certes limitée mais tout de même.Cela fait partie du naufrage de la presse papier , bye bye Ouest France , on n’emballe même plus le poisson dans du papier journal ! Encore moins dans les canalisations , on n’en trouve plus! Triste destin mais tous les moyens ne sont pas bon pour exister .

Ch. B.

C’est « bizarre » mais il me semble que Ouest France a sorti cet article dans la même période où la presse a commencé à parler du vote de l’Unesco.

André

Le « Conseil œcuménique des Eglises pour la Palestine »… les chrétiens d’Orient sont périodiquement persécutés et massacrés par les musulmans au point que leurs communautés se réduisent comme peau de chagrin mais tout ce qui intéressent ces connards c’est les « palestiniens » ! Il est vrai que les chrétiens d’Orient ne sont pas des « réformés »…

André

Ne pas tenir compte de la dernière phrase, je pensais aux protestants. Là c’est tous ensemble que les chrétiens pleurent sur les « palestiniens » qui vivent « comme des bêtes »…
Et pendant ce temps les chrétiens d’Afrique et d’Orient se font massacrer par les musulmans, ceux de Turquie voient leurs églises transformés en écuries et entrepôts, que les coptes d’Égypte sont persécutés et assassinés etc… Mais pour l’Amiral pas de problème, le plus urgent c’est d’aller en « Palestine » !

André

Et les maghrébins qui tirent à la kalachnikov dans les rues de Paris en criant allah ouakbar, c’est aussi à cause d’Israël ? Pauvre type, occupe toi de ton pays au lieu de lécher des babouches en Orient et raconter des saloperies sur les juifs…

Ratfucker

Traiter un état nation et son peuple de « cancer », c’est le déshumaniser, méthode de base des génocideurs, et cela revient, une fois de plus à considérer le peuple juif comme une erreur de la nature. Cela pose l’auteur de cette profonde réflexion comme un médecin chargé de la réparer. On connaît ce genre de bienfaiteurs de l’humanité. Décidément, les souvenirs de mon passage dans l’armée française remontent en surface; j’avais oublié le niveau de connerie des militaires de carrière.

djindji

Vous n’êtes pas obligé d’insulter l’armée française.

jlmsika

L’armée française, qui a été écrasée par les Viets en bicyclette et en guenille, après avoir laissé passivement envahir son pays par les Nazis, ne peut pas supporter que le petit état juif se défende vaillamment et victorieusement contre des ennemis 100 fois plus nombreux. C’est de la jalousie maladive de la part de couards antisémites!

marie

il est bien connu que les bretons sont des anti juifs viscéralement et à un tel point qu’ils sont liés aux catholiques intégristes
De plus en Bretagne les français juifs sont inexistants et on compte une petite synagogue à Brest: les bretons sont comme les polonais, anti juifs dans une région sans juifs mais beaucoup de musulmans en bretagne
EN 2012 lors des réunions et défilés celtiques le responsable avait invité les arabes colons de la Judée samarie sous prétexte qu’ils jouaient de la cornemuse enseignée par les britannique , ces bandits de rosbeef qui ont volé 80% des terres juives pour créer la jordanie: c’était tellement indécent de voir des arabes dans ce défilé des représentants celtiques que le responsable breton a été remplacé en2013
Je ne suis donc pas étonné que cet officier à la retraite descendant des complices des allemands pour exterminer les juifs tienne ce type de discours mensonger : les bretons ont pactisé avec les nazis et la marine française composée à 90% de bretons était pétainiste et pro nazie surtout après la destruction d’une partie de la flotte à Mersel Kebir par les anglais
C’est la mode en France d’être anti juif pour se faire bien voir des arabes de peur qu’ils s’en prennent à votre famille . La france d’aujourd’hui est l’image de Vichy en 1940-44 et les arabes ont remplacé les allemands
Les bretons sont restés à au temps du moyen âge concernant la religion juive dont ils adorent jésus, myriam, les apôtres….. c’est à dire des juifs et des vrais juifs mais ne savent rien de la religion juive et pour cause il n’y a aucun cours sur cette religion dans ce pays catholique intégriste et païen
Leur région est truffée de calvaires, d’églises avec des statues qu’ils idolâtrent en bons païens
Le bretons devraient retourner dans leur pays d’origine c’est à dire en Irlande ou en Ecosse et emmener avec eux tous ces arabes qui ont envahi la fronce( ils parlent de cette manière): vive la Francarabia musulmane pour bientôt

Patoche

Merci BC de nous avoir relayé l’article paru dans OuestFrance le quotidien au plus grand tirage,

J’avoue ne pas comprendre les antisémites de ces acabits qui usent de leur titre pour nous souiller .

Salopard de Breton et préfet de mes deux.

Pelegrino

A mon humble avis ce pauvre amiral à peur des représailles que lui feraient subir les terroristes tueurs au couteau !
Tous ces gens qui ont un titre ne peuvent critiquer qu’Israël , sachant pertinemment qu’ils n’ont rien à craindre d’un peuple démocratique qui a les mêmes valeurs , le même amour de la vie ,MAIS critiquer les terroristes de Daech ou de Gaza , c’est trop dangereux , leur vie même est en jeu. Certains sont même bien payés pour leur faire de la pub… alors pourquoi se gêner ? Ils ne se rendent même pas compte qu’ils desservent les malheureux qui vivent sous la menace du Hamas &C° .et que je plains .Pourquoi les riches pays du M.O. n’accueillent-ils pas leurs frères et les envoient -ils en Europe ? où est la générosité musulmane que nous connaissions tous ?